Le patrouilleur outre-mer (POM) Teriieroo a Teriierooiterai a appareillé de Brest le 16 mars pour rallier Papette son futur port base.

Ce départ vient clore une phase d’armement en métropole qui a duré près de deux ans, puisque le noyau d’équipage a été constitué en mai 2022. Au terme de cette période, le navire a reçu une autorisation de naviguer par la commission permanente des programmes et essais (CPPE), qui lui permet de réaliser le transit jusqu’à Papeete. L’équipage s’est lui vu attribuer la qualification opérationnelle après une mise en condition opérationnelle (MECO) qui s’est achevée quelques jours avant l’appareillage.

Le jour du départ, les familles ont pu bénéficier d’un dernier moment avec leurs proches en venant à bord du bâtiment avant l’appareillage. Après une visite du navire, fin prêt pour la grande traversée, et un dernier au-revoir, le patrouilleur a largué les amarres à 17h00 pour quitter le port de Brest et les eaux bretonnes.

Le déploiement vers Papeete, planifié sur plus de deux mois, amènera le bâtiment à traverser l’océan Atlantique, franchir le Cap Horn, puis rejoindre la Polynésie à travers l’océan Pacifique. Les objectifs de cette mission sont de vérifier les capacités du bâtiment dans tous les environnements et de contribuer à l’entretien des relations bilatérales avec les pays traversés.

Au terme de ce déploiement, le navire qui est toujours la propriété de l’industriel deviendra la propriété de l’État et sera livré à la Marine. Il sera également tout proche de son admission au service actif (ASA), à partir de laquelle il contribuera à la protection de l’espace maritime polynésien.

Le 14 décembre, le Patrouilleur Arago des Forces armées en Polynésie française (FAPF) a rejoint Papeete après 3 semaines de déploiement dans le cadre de la mission AQUARIUS. Déployé depuis le 21 novembre, l’Arago a réalisé plusieurs patrouilles et relâches opérationnelles dans les Etats voisins du Pacifique Sud.

Durant la première phase de sa mission, l’Arago a patrouillé dans la Zone Economique Exclusive (ZEE) de Polynésie française où il a intercepté et neutralisé deux dispositifs de concentration de pêche (DCP) dérivants.

L’Arago a ensuite patrouillé dans les eaux internationales, au sein desquelles il a agi sous le mandat de la Western & Central Pacific Fisheries Commission, organisation régionale de gestion de la pêche dont la France est membre. Puis le patrouilleur s’est rendu dans les ZEE des Etats voisins du Pacifique Sud, comme les Kiribati, les Îles Cook, les Samoa Américaines et Niué. Ces patrouilles de lutte contre la pêche illégale, non déclarée et non règlementée (INN) en ZEE étrangères ont été réalisées en soutien associé à l’opération OP365 coordonnée par la Forum Fisheries Agency (FFA).

L’Arago a effectué plusieurs relâches opérationnelles lors de ces différentes patrouilles afin de réaliser des exercices et des actions en coopération avec les forces de sécurité maritime locales. Il a notamment effectué, à la demande des autorités de Niué, une reconnaissance d’une épave échouée située dans leur ZEE. Aux Îles Cook, les marins ont réalisé deux exercices permettant de confronter les modes d’action respectifs des équipes de visite de l’Arago et du Te Kukupa II, le patrouilleur des forces de police locales.

Ces actions ont renforcé l’interopérabilité des FAPF avec les forces des Etats voisins du Pacifique Sud en matière de lutte contre la pêche INN et réaffirmé l’engagement de la France pour la sûreté maritime dans le Pacifique Sud.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont pour mission principale de protéger la Polynésie et les Polynésiens, de défendre les intérêts souverains de la France, de coopérer à la sécurité régionale dans le Pacifique et, face aux catastrophes naturelles, d’apporter une aide solidaire. Composées de 1200 militaires et civils originaires des trois armées, les FAPF assurent une présence dans tous les archipels de Polynésie, protègent la zone économique exclusive, lutte contre le trafic de drogue et la pêche illégale, et lors de leurs déploiements, affirment l’attachement de la France au droit international et à la liberté de navigation. Enfin, les FAPF animent un réseau de coopération militaire avec l’ensemble des pays riverains de la zone.

Le 14 décembre, le Patrouilleur Arago des Forces armées en Polynésie française (FAPF) a rejoint Papeete après 3 semaines de déploiement dans le cadre de la mission AQUARIUS. Déployé depuis le 21 novembre, l’Arago a réalisé plusieurs patrouilles et relâches opérationnelles dans les Etats voisins du Pacifique Sud.

Durant la première phase de sa mission, l’Arago a patrouillé dans la Zone Economique Exclusive (ZEE) de Polynésie française où il a intercepté et neutralisé deux dispositifs de concentration de pêche (DCP) dérivants.

L’Arago a ensuite patrouillé dans les eaux internationales, au sein desquelles il a agi sous le mandat de la Western & Central Pacific Fisheries Commission, organisation régionale de gestion de la pêche dont la France est membre. Puis le patrouilleur s’est rendu dans les ZEE des Etats voisins du Pacifique Sud, comme les Kiribati, les Îles Cook, les Samoa Américaines et Niué. Ces patrouilles de lutte contre la pêche illégale, non déclarée et non règlementée (INN) en ZEE étrangères ont été réalisées en soutien associé à l’opération OP365 coordonnée par la Forum Fisheries Agency (FFA).

L’Arago a effectué plusieurs relâches opérationnelles lors de ces différentes patrouilles afin de réaliser des exercices et des actions en coopération avec les forces de sécurité maritime locales. Il a notamment effectué, à la demande des autorités de Niué, une reconnaissance d’une épave échouée située dans leur ZEE. Aux Îles Cook, les marins ont réalisé deux exercices permettant de confronter les modes d’action respectifs des équipes de visite de l’Arago et du Te Kukupa II, le patrouilleur des forces de police locales.

Ces actions ont renforcé l’interopérabilité des FAPF avec les forces des Etats voisins du Pacifique Sud en matière de lutte contre la pêche INN et réaffirmé l’engagement de la France pour la sûreté maritime dans le Pacifique Sud.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont pour mission principale de protéger la Polynésie et les Polynésiens, de défendre les intérêts souverains de la France, de coopérer à la sécurité régionale dans le Pacifique et, face aux catastrophes naturelles, d’apporter une aide solidaire. Composées de 1200 militaires et civils originaires des trois armées, les FAPF assurent une présence dans tous les archipels de Polynésie, protègent la zone économique exclusive, lutte contre le trafic de drogue et la pêche illégale, et lors de leurs déploiements, affirment l’attachement de la France au droit international et à la liberté de navigation. Enfin, les FAPF animent un réseau de coopération militaire avec l’ensemble des pays riverains de la zone.

Du 20 novembre au 24 novembre, des militaires des Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) et des représentants de la Direction régionale des douanes de Polynésie française ont été formés au système d’information de l’Union européenne Indo-Pacific Regional Information Sharing (IORIS) sur le camp d’Arue, à Tahiti.

ette initiative s’inscrit dans le cadre du programme Critical Maritime Routes Indo-Pacific II (CRIMARIO II) visant à développer le partage d’informations et l’interconnexion entre les acteurs de la zone Indopacifique pour accroître la sûreté maritime. Dans cette logique, l’Union européenne a déployé dans un nouveau système d’information dénommé IORIS afin de renforcer ses capacités maritimes. Ce nouveau système contribue à l’amélioration de la connaissance du domaine maritime par le partage d’informations et la formation dans les océans Indien et Pacifique. 

Ce programme soutient la stratégie de l’Union européenne pour la coopération et l’interconnexion dans l’Indopacifique. L’UE y affirme sa contribution à la sécurité maritime mondiale, en promouvant une architecture maritime régionale ouverte et fondée sur les règles du droit international. Le programme CRIMARIO II a pour objectif de renforcer l’interopérabilité entre l’ensemble des acteurs régionaux de la sûreté maritime.

A travers cette formation, les militaires des FAPF ont ainsi renforcé leurs capacités de coopération et de communication avec les partenaires de la zone Indopacifique, afin de contribuer activement à la sûreté maritime et aux opérations de surveillance dans leur zone de responsabilité permanente. L’action des FAPF illustre l’engagement de la France pour la coopération et la sécurité dans la zone Indopacifique.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud. 

Du 20 novembre au 24 novembre, des militaires des Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) et des représentants de la Direction régionale des douanes de Polynésie française ont été formés au système d’information de l’Union européenne Indo-Pacific Regional Information Sharing (IORIS) sur le camp d’Arue, à Tahiti.

ette initiative s’inscrit dans le cadre du programme Critical Maritime Routes Indo-Pacific II (CRIMARIO II) visant à développer le partage d’informations et l’interconnexion entre les acteurs de la zone Indopacifique pour accroître la sûreté maritime. Dans cette logique, l’Union européenne a déployé dans un nouveau système d’information dénommé IORIS afin de renforcer ses capacités maritimes. Ce nouveau système contribue à l’amélioration de la connaissance du domaine maritime par le partage d’informations et la formation dans les océans Indien et Pacifique. 

Ce programme soutient la stratégie de l’Union européenne pour la coopération et l’interconnexion dans l’Indopacifique. L’UE y affirme sa contribution à la sécurité maritime mondiale, en promouvant une architecture maritime régionale ouverte et fondée sur les règles du droit international. Le programme CRIMARIO II a pour objectif de renforcer l’interopérabilité entre l’ensemble des acteurs régionaux de la sûreté maritime.

A travers cette formation, les militaires des FAPF ont ainsi renforcé leurs capacités de coopération et de communication avec les partenaires de la zone Indopacifique, afin de contribuer activement à la sûreté maritime et aux opérations de surveillance dans leur zone de responsabilité permanente. L’action des FAPF illustre l’engagement de la France pour la coopération et la sécurité dans la zone Indopacifique.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud. 

Pour la première fois depuis son admission au service actif en 2003, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré opère sous le contrôle opérationnel de l’amiral commandant la zone Asie-Pacifique.

Le 18 juin, après avoir quitté la zone de responsabilité d’ALINDIEN, il a honoré la mémoire des batailles de Suffren - 240 ans avant son passage - autour d’une cérémonie célébrant la bataille de Gondelour (20 juin 1783) remportée par la flotte du Bailli sur la Royal Navy. Durant son transit, il a également profité des conditions de navigation exceptionnelles pour réaliser une série d’entraînements individuels (sécurité, plongée sous coque à la dérive, entraînement de la brigade de protection).

Arrivé le 25 juin à Sabang sur l’île de Weh en Indonésie, le Beautemps-Beaupré a reçu un chaleureux accueil de la part des autorités civiles et militaires indonésiennes.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

Pour la première fois depuis son admission au service actif en 2003, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré opère sous le contrôle opérationnel de l’amiral commandant la zone Asie-Pacifique.

Le 18 juin, après avoir quitté la zone de responsabilité d’ALINDIEN, il a honoré la mémoire des batailles de Suffren - 240 ans avant son passage - autour d’une cérémonie célébrant la bataille de Gondelour (20 juin 1783) remportée par la flotte du Bailli sur la Royal Navy. Durant son transit, il a également profité des conditions de navigation exceptionnelles pour réaliser une série d’entraînements individuels (sécurité, plongée sous coque à la dérive, entraînement de la brigade de protection).

Arrivé le 25 juin à Sabang sur l’île de Weh en Indonésie, le Beautemps-Beaupré a reçu un chaleureux accueil de la part des autorités civiles et militaires indonésiennes.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

Pour la première fois depuis son admission au service actif en 2003, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré opère sous le contrôle opérationnel de l’amiral commandant la zone Asie-Pacifique.

Le 18 juin, après avoir quitté la zone de responsabilité d’ALINDIEN, il a honoré la mémoire des batailles de Suffren - 240 ans avant son passage - autour d’une cérémonie célébrant la bataille de Gondelour (20 juin 1783) remportée par la flotte du Bailli sur la Royal Navy. Durant son transit, il a également profité des conditions de navigation exceptionnelles pour réaliser une série d’entraînements individuels (sécurité, plongée sous coque à la dérive, entraînement de la brigade de protection).

Arrivé le 25 juin à Sabang sur l’île de Weh en Indonésie, le Beautemps-Beaupré a reçu un chaleureux accueil de la part des autorités civiles et militaires indonésiennes.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

Pour la première fois depuis son admission au service actif en 2003, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré opère sous le contrôle opérationnel de l’amiral commandant la zone Asie-Pacifique.

Le 18 juin, après avoir quitté la zone de responsabilité d’ALINDIEN, il a honoré la mémoire des batailles de Suffren - 240 ans avant son passage - autour d’une cérémonie célébrant la bataille de Gondelour (20 juin 1783) remportée par la flotte du Bailli sur la Royal Navy. Durant son transit, il a également profité des conditions de navigation exceptionnelles pour réaliser une série d’entraînements individuels (sécurité, plongée sous coque à la dérive, entraînement de la brigade de protection).

Arrivé le 25 juin à Sabang sur l’île de Weh en Indonésie, le Beautemps-Beaupré a reçu un chaleureux accueil de la part des autorités civiles et militaires indonésiennes.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

Dans le cadre de la mission PASSION 2023, la frégate de surveillance Germinal a débarqué une partie de son personnel les 18 et 19 avril 2023 sur l’atoll de Clipperton.

Pendant deux jours, les marins ont procédé à une reconnaissance complète de l’atoll et à la restauration des marques matérielles de souveraineté sur l’île.

Les marins du Germinal ont récolté plus de 200 kg de déchets plastiques échoués sur les plages au gré des courants et répertorié plus d’une vingtaine de dispositifs de concentration du poisson. Ils ont, par ailleurs découvert, à la laisse de haute mer, un ballot de cocaïne échoué.

Conduite régulièrement par les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ou par des moyens placés sous le contrôle opérationnel de l’Amiral commandant la zone Pacifique (ALPACI), la mission PASSION permet d’affirmer la souveraineté de la France sur cet atoll éloigné mais dont la position stratégique illustre parfaitement les enjeux maritimes français : protection des ressources halieutiques d’une ZEE (435000 km2) d’une superficie aussi grande que la France métropolitaine, protection des fonds marins (présence de nodules polymétalliques), préservation de l’environnement et de la biodiversité.

La dernière mission sur l’atoll menée par les FAPF et plus précisément le BSAOM Bougainville date de juin 2022. Pour la première fois, une Frégate de surveillance basée aux Antilles participe à cette mission démontrant que les forces armées françaises se rendent régulièrement sur l’atoll de Clipperton.

Ces deux jours passés sur Clipperton resteront gravés dans la mémoire de l’équipage, heureux d’avoir foulé le sol de cet atoll mythique, difficile d’accès, qui suscite les passions, et satisfaits d’avoir pu rendre les honneurs au drapeau tricolore.