Le Pluvier A en mission de police des pêches

publié le Jeudi 12 octobre 2023

Le Pluvier A en mission de police des pêches

Le Pluvier A en mission de police des pêches

© Marine nationale

Du 23 septembre au 1er octobre 2023, l’équipage A du patrouilleur de service public (PSP) Pluvier a conduit une mission de police des pêches sous le contrôle opérationnel de CECLANT, avec l’appui du centre national de surveillance des pêches (CNSP).

C’est le long des Côtes d’Armor que le Pluvier a pu affirmer la présence étatique auprès des pêcheurs. Avec un bilan de 11 navires - chalutiers comme coquillers – contrôlés en 6 jours, le Pluvier a rempli sa mission de police des pêches, avant d’effectuer une relâche dans la cité corsaire de St Malo.

 Les missions de police des pêches contribuent à la protection des ressources halieutiques et des intérêts économiques. Elles permettent d’empêcher et de sanctionner toute activité de pêche illicite ou non réglementée à l’échelle européenne ou nationale. Le Pluvier a ainsi été garant du respect des règlementations en vigueur et a eu un rôle de dissuasion de par sa présence affirmée dans les différentes zones de pêche.

 Avec un rythme de deux à trois contrôles par jour, le CNSP a pu compter sur la rigueur du Pluvier pour mener à bien sa mission, à quelques jours de l’ouverture de la saison de pêche à la coquille St Jacques.

Source : Marine nationale


Le Pluvier A en mission de police des pêches

publié le Jeudi 12 octobre 2023

Le Pluvier A en mission de police des pêches

Le Pluvier A en mission de police des pêches

© Marine nationale

Du 23 septembre au 1er octobre 2023, l’équipage A du patrouilleur de service public (PSP) Pluvier a conduit une mission de police des pêches sous le contrôle opérationnel de CECLANT, avec l’appui du centre national de surveillance des pêches (CNSP).

C’est le long des Côtes d’Armor que le Pluvier a pu affirmer la présence étatique auprès des pêcheurs. Avec un bilan de 11 navires - chalutiers comme coquillers – contrôlés en 6 jours, le Pluvier a rempli sa mission de police des pêches, avant d’effectuer une relâche dans la cité corsaire de St Malo.

 Les missions de police des pêches contribuent à la protection des ressources halieutiques et des intérêts économiques. Elles permettent d’empêcher et de sanctionner toute activité de pêche illicite ou non réglementée à l’échelle européenne ou nationale. Le Pluvier a ainsi été garant du respect des règlementations en vigueur et a eu un rôle de dissuasion de par sa présence affirmée dans les différentes zones de pêche.

 Avec un rythme de deux à trois contrôles par jour, le CNSP a pu compter sur la rigueur du Pluvier pour mener à bien sa mission, à quelques jours de l’ouverture de la saison de pêche à la coquille St Jacques.

Source : Marine nationale


Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

publié le Vendredi 04 août 2023

Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

© Marine nationale

Après deux mois de mission en mers Baltique et en Atlantique Nord, la frégate multi-missions (FREMM) Auvergne a accosté à Brest le 27 juillet.

Début juin, l’équipage participait à la 52ème édition de l’exercice OTAN « BALTOPS », aux côtés d’une cinquantaine de navires de 19 nations de l’Alliance, dont quatre autres bâtiments français, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison, le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme, chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire et le bâtiment base de plongeurs démineurs (BBPD) Vulcain.

Au sein d’un task group d’escorteurs et de ravitailleurs commandé par un état-major danois, la FREMM Auvergne et son hélicoptère embarqué Caïman Marine se sont illustrés dans tous les domaines. Ils ont conduit un exercice de lutte anti-sous-marine (ASWC) face à deux sous-marins classiques suédois et allemand, ont tenu la fonction de surface action group commander (SAGC) en lutte anti-navire, et participé à la surveillance de l’espace aérien pour détecter les nombreux assauts d’aéronefs ennemis.

Après une escale en Allemagne, en compagnie des autres bâtiments de BALTOPS 23, l’Auvergne a opéré de conserve avec les unités de la force navale multinationale en Baltique, sous contrôle opérationnel du Maritime command de l’OTAN (MARCOM) et du commandement tactique d’un amiral allemand, dans le cadre de l’opération de rassurance de l’OTAN dans la zone.

Au cours de son déploiement en mer Baltique, des échanges de personnels ont été menés avec le destroyer américain USS Paul Ignatius, les frégates allemandes Mecklenburg-Vorpommern et Ludwigshafen Am Rhein et la frégate néerlandaise Vam Amstel. Dans le cadre de la coopération OTAN, un officier finlandais a également embarqué à bord de la FREMM.

La seconde partie de la mission s’est déroulée en Atlantique Nord sous commandement national. En patrouille de surveillance avec ses sonars remorqués à l’eau et l’hélicoptère en vol très régulièrement, l’équipage s’est accoutumé à la navigation dans les hautes latitudes en passant à proximité de l’île de Jan Mayen, au-delà du cercle polaire et d’un iceberg dérivant dans le détroit du Danemark entre le Groenland et l’Islande. Ces deux mois de mission ont également été jalonnés de riches escales, dont celle d’Helsinki qui marquait le premier passage d’une FREMM en Finlande, nouvel allié de l’OTAN.

Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

Source : Marine nationale


Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

publié le Vendredi 04 août 2023

Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

© Marine nationale

Après deux mois de mission en mers Baltique et en Atlantique Nord, la frégate multi-missions (FREMM) Auvergne a accosté à Brest le 27 juillet.

Début juin, l’équipage participait à la 52ème édition de l’exercice OTAN « BALTOPS », aux côtés d’une cinquantaine de navires de 19 nations de l’Alliance, dont quatre autres bâtiments français, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison, le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme, chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire et le bâtiment base de plongeurs démineurs (BBPD) Vulcain.

Au sein d’un task group d’escorteurs et de ravitailleurs commandé par un état-major danois, la FREMM Auvergne et son hélicoptère embarqué Caïman Marine se sont illustrés dans tous les domaines. Ils ont conduit un exercice de lutte anti-sous-marine (ASWC) face à deux sous-marins classiques suédois et allemand, ont tenu la fonction de surface action group commander (SAGC) en lutte anti-navire, et participé à la surveillance de l’espace aérien pour détecter les nombreux assauts d’aéronefs ennemis.

Après une escale en Allemagne, en compagnie des autres bâtiments de BALTOPS 23, l’Auvergne a opéré de conserve avec les unités de la force navale multinationale en Baltique, sous contrôle opérationnel du Maritime command de l’OTAN (MARCOM) et du commandement tactique d’un amiral allemand, dans le cadre de l’opération de rassurance de l’OTAN dans la zone.

Au cours de son déploiement en mer Baltique, des échanges de personnels ont été menés avec le destroyer américain USS Paul Ignatius, les frégates allemandes Mecklenburg-Vorpommern et Ludwigshafen Am Rhein et la frégate néerlandaise Vam Amstel. Dans le cadre de la coopération OTAN, un officier finlandais a également embarqué à bord de la FREMM.

La seconde partie de la mission s’est déroulée en Atlantique Nord sous commandement national. En patrouille de surveillance avec ses sonars remorqués à l’eau et l’hélicoptère en vol très régulièrement, l’équipage s’est accoutumé à la navigation dans les hautes latitudes en passant à proximité de l’île de Jan Mayen, au-delà du cercle polaire et d’un iceberg dérivant dans le détroit du Danemark entre le Groenland et l’Islande. Ces deux mois de mission ont également été jalonnés de riches escales, dont celle d’Helsinki qui marquait le premier passage d’une FREMM en Finlande, nouvel allié de l’OTAN.

Bilan de mission en mers du Nord et Baltique pour la FREMM Auvergne

Source : Marine nationale


Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

publié le Mercredi 26 juillet 2023

 Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

© Marine nationale

Tout juste installé à Cherbourg, le détachement de la 32F a réalisé sa première mission SAR (search and rescue) le dimanche 23 juillet.

Pour cette toute première mission opérationnelle, l’équipage du H160 a été engagé par le CROSS Jobourg au petit matin. L’équipage a ainsi décollé en moins de 30 minutes, pour effectuer une recherche en mer au nord des îles anglo-normandes suite à la disparition d’une passagère sur un navire réalisant la liaison entre Portsmouth et Jersey. Malheureusement, les 2 heures de recherche n’ont pas permis de retrouver la personne disparue.

Ce premier engagement confirme que le détachement 32F/Cherbourg est désormais opérationnel et a pleinement assuré la succession du détachement de la flottille 33F.

Source : Marine nationale


Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

publié le Mercredi 26 juillet 2023

 Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

© Marine nationale

Tout juste installé à Cherbourg, le détachement de la 32F a réalisé sa première mission SAR (search and rescue) le dimanche 23 juillet.

Pour cette toute première mission opérationnelle, l’équipage du H160 a été engagé par le CROSS Jobourg au petit matin. L’équipage a ainsi décollé en moins de 30 minutes, pour effectuer une recherche en mer au nord des îles anglo-normandes suite à la disparition d’une passagère sur un navire réalisant la liaison entre Portsmouth et Jersey. Malheureusement, les 2 heures de recherche n’ont pas permis de retrouver la personne disparue.

Ce premier engagement confirme que le détachement 32F/Cherbourg est désormais opérationnel et a pleinement assuré la succession du détachement de la flottille 33F.

Source : Marine nationale


Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

publié le Mercredi 26 juillet 2023

 Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

Première opération pour le H160 du détachement 32F/Cherbourg

© Marine nationale

Tout juste installé à Cherbourg, le détachement de la 32F a réalisé sa première mission SAR (search and rescue) le dimanche 23 juillet.

Pour cette toute première mission opérationnelle, l’équipage du H160 a été engagé par le CROSS Jobourg au petit matin. L’équipage a ainsi décollé en moins de 30 minutes, pour effectuer une recherche en mer au nord des îles anglo-normandes suite à la disparition d’une passagère sur un navire réalisant la liaison entre Portsmouth et Jersey. Malheureusement, les 2 heures de recherche n’ont pas permis de retrouver la personne disparue.

Ce premier engagement confirme que le détachement 32F/Cherbourg est désormais opérationnel et a pleinement assuré la succession du détachement de la flottille 33F.

Source : Marine nationale


AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

publié le Vendredi 21 juillet 2023

 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

© Marine nationale

Le 20 juillet 2023, l’hélicoptère Caïman Marine basé à Maupertus-sur-Mer a été remplacé par un hélicoptère H160 de la flottille 32F implantée au sein de la base d’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic (29).

Alors que la flottille 32F prévoit de déployer ses nouveaux hélicoptères sur les trois façades métropolitaines (Lanvéoc, Hyères et Cherbourg) dans les prochaines semaines, le département de la Manche est le premier à recevoir cet aéronef qui participera à l’action de l’état en mer au travers des missions SPI (secours, protection et intervention).

Issus d’un travail entre la Marine nationale, Babcock, Airbus Helicopters et Safran Helicopters Engines, le H160 FI est la version civile qui sert au développement du HIL Guépard. Configurés pour le sauvetage en mer, ces hélicoptères sont équipés d’un treuil, d’un système électro-optique Euroflir 410 et d’une cabine modulaire permettant un aménagement optimisé pour chaque mission. Ils seront également certifiés pour le vol avec jumelles de vision nocturne.

Comme le souligne la devise de sa flottille « pour que les autres vivent », le H160 sera pleinement engagé dans des missions d’utilité publique.

Recherche et sauvetage en mer, évacuations médicales et sanitaires, protection du trafic maritime et assistance aux navires en difficultés seront au cœur des missions des « marins du ciel » embarqués à bord du H160.

Après 7 années de service à Maupertus, le Caïman Marine de la 33F retourne quant à lui dans le Finistère et reprendra des missions essentiellement tournées vers le combat aéromaritime.

La Marine a décidé de recourir à une flotte d’hélicoptères de location afin de compenser le retrait du service actif du Lynx en 2020, celui de l'Alouette III prochainement, et en attendant l’arrivée de l'hélicoptère interarmées léger (HIL) Guépard programmée à partir de 2029. Cette « flotte intérimaire » permettra aux flottilles de Caïman Marine et Panther d’être pleinement investies sur les missions de combat depuis les frégates. Une partie de cette flotte, constituée de Dauphin N3, a vocation à opérer depuis les bâtiments porte-hélicoptères. L'autre volet de la flotte intérimaire, constitué de 6 hélicoptères H160, opérera depuis la terre afin d’armer les plots SECMAR (secours maritime) : après avoir reçus les trois premiers hélicoptères H160, la flottille 32F est désormais réactivée depuis le 29 juin 2023.

 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160
 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

Source : Marine nationale


AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

publié le Vendredi 21 juillet 2023

 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

© Marine nationale

Le 20 juillet 2023, l’hélicoptère Caïman Marine basé à Maupertus-sur-Mer a été remplacé par un hélicoptère H160 de la flottille 32F implantée au sein de la base d’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic (29).

Alors que la flottille 32F prévoit de déployer ses nouveaux hélicoptères sur les trois façades métropolitaines (Lanvéoc, Hyères et Cherbourg) dans les prochaines semaines, le département de la Manche est le premier à recevoir cet aéronef qui participera à l’action de l’état en mer au travers des missions SPI (secours, protection et intervention).

Issus d’un travail entre la Marine nationale, Babcock, Airbus Helicopters et Safran Helicopters Engines, le H160 FI est la version civile qui sert au développement du HIL Guépard. Configurés pour le sauvetage en mer, ces hélicoptères sont équipés d’un treuil, d’un système électro-optique Euroflir 410 et d’une cabine modulaire permettant un aménagement optimisé pour chaque mission. Ils seront également certifiés pour le vol avec jumelles de vision nocturne.

Comme le souligne la devise de sa flottille « pour que les autres vivent », le H160 sera pleinement engagé dans des missions d’utilité publique.

Recherche et sauvetage en mer, évacuations médicales et sanitaires, protection du trafic maritime et assistance aux navires en difficultés seront au cœur des missions des « marins du ciel » embarqués à bord du H160.

Après 7 années de service à Maupertus, le Caïman Marine de la 33F retourne quant à lui dans le Finistère et reprendra des missions essentiellement tournées vers le combat aéromaritime.

La Marine a décidé de recourir à une flotte d’hélicoptères de location afin de compenser le retrait du service actif du Lynx en 2020, celui de l'Alouette III prochainement, et en attendant l’arrivée de l'hélicoptère interarmées léger (HIL) Guépard programmée à partir de 2029. Cette « flotte intérimaire » permettra aux flottilles de Caïman Marine et Panther d’être pleinement investies sur les missions de combat depuis les frégates. Une partie de cette flotte, constituée de Dauphin N3, a vocation à opérer depuis les bâtiments porte-hélicoptères. L'autre volet de la flotte intérimaire, constitué de 6 hélicoptères H160, opérera depuis la terre afin d’armer les plots SECMAR (secours maritime) : après avoir reçus les trois premiers hélicoptères H160, la flottille 32F est désormais réactivée depuis le 29 juin 2023.

 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160
 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

Source : Marine nationale


AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

publié le Vendredi 21 juillet 2023

 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

© Marine nationale

Le 20 juillet 2023, l’hélicoptère Caïman Marine basé à Maupertus-sur-Mer a été remplacé par un hélicoptère H160 de la flottille 32F implantée au sein de la base d’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic (29).

Alors que la flottille 32F prévoit de déployer ses nouveaux hélicoptères sur les trois façades métropolitaines (Lanvéoc, Hyères et Cherbourg) dans les prochaines semaines, le département de la Manche est le premier à recevoir cet aéronef qui participera à l’action de l’état en mer au travers des missions SPI (secours, protection et intervention).

Issus d’un travail entre la Marine nationale, Babcock, Airbus Helicopters et Safran Helicopters Engines, le H160 FI est la version civile qui sert au développement du HIL Guépard. Configurés pour le sauvetage en mer, ces hélicoptères sont équipés d’un treuil, d’un système électro-optique Euroflir 410 et d’une cabine modulaire permettant un aménagement optimisé pour chaque mission. Ils seront également certifiés pour le vol avec jumelles de vision nocturne.

Comme le souligne la devise de sa flottille « pour que les autres vivent », le H160 sera pleinement engagé dans des missions d’utilité publique.

Recherche et sauvetage en mer, évacuations médicales et sanitaires, protection du trafic maritime et assistance aux navires en difficultés seront au cœur des missions des « marins du ciel » embarqués à bord du H160.

Après 7 années de service à Maupertus, le Caïman Marine de la 33F retourne quant à lui dans le Finistère et reprendra des missions essentiellement tournées vers le combat aéromaritime.

La Marine a décidé de recourir à une flotte d’hélicoptères de location afin de compenser le retrait du service actif du Lynx en 2020, celui de l'Alouette III prochainement, et en attendant l’arrivée de l'hélicoptère interarmées léger (HIL) Guépard programmée à partir de 2029. Cette « flotte intérimaire » permettra aux flottilles de Caïman Marine et Panther d’être pleinement investies sur les missions de combat depuis les frégates. Une partie de cette flotte, constituée de Dauphin N3, a vocation à opérer depuis les bâtiments porte-hélicoptères. L'autre volet de la flotte intérimaire, constitué de 6 hélicoptères H160, opérera depuis la terre afin d’armer les plots SECMAR (secours maritime) : après avoir reçus les trois premiers hélicoptères H160, la flottille 32F est désormais réactivée depuis le 29 juin 2023.

 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160
 AEM - Le département de la Manche reçoit un hélicoptère H160

Source : Marine nationale

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