Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

publié le Vendredi 02 juin 2023

 Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

© Marine nationale

Le 26 mai 2023, une cérémonie symbolique s’est tenue au sein de la base navale de Toulon, pour reconnaître l’admission au service actif du remorqueur portuaire de 30 tonnes (RP30) Céladon et le retrait du service actif prochain du remorqueur côtier Voith-Schneider (RCVS) Bison, sous la présidence du vice-amiral d’escadre Gilles Boidevezi, commandant la zone et l’arrondissement maritimes Méditerranée.

A cette occasion, les équipages des deux engins portuaires « nouvelle et ancienne générations » étaient réunis sur le quai Castigneau (CA3) proche du service des moyens portuaires de Toulon, devant leurs remorqueurs respectifs. « C’est une grande satisfaction et une immense fierté de nous voir réunis ici, pour l’admission au service actif du Céladon, notre premier remorqueur portuaire à propulsion azimutale de la Marine nationale » ; c’est par ces mots que le capitaine de vaisseau Sébastien Rosier, commandant la base navale de Toulon, débutait son allocution.

Le Céladon est en effet le premier d’une série de vingt remorqueurs portuaires (RP) et portuaires côtiers (RPC) 30 tonnes, commandés en avril 2020 auprès du chantier Piriou de Concarneau, dont huit sont destinés au port de Toulon. Ces remorqueurs ont vocation à remplacer quatre types d’engins : les RCVS, tels le Bison, les RP/RPC12 et les fileurs d’antennes linéaires des sous-marins appelés caudataires (le Phaéton à Toulon).

Le Céladon se distingue de la génération précédente en particulier par un changement du mode de propulsion et le passage à la technologie Azimutal Stern Drive (ASD). Il offre également un supplément de puissance et de manœuvrabilité : une capacité à répondre efficacement à l’accroissement du tonnage moyen de la flotte. C’est à ce titre, après plusieurs mois de formation, que quatre officiers-mariniers ont reçu au cours de la cérémonie leur diplôme de patron RP30/RPC30.

Pour le dernier équipage du Bison, ce fut l’occasion de vivre une émouvante passation de relais. L’un des trois remorqueurs côtiers Voith-Schneider de la Marine nationale achève en effet une carrière de 42 ans durant laquelle il a accompli 350 remorquages et réalisé l’équivalent de 8 fois le tour de la Terre. Intervenant essentiellement dans la base navale de Toulon pour le remorquage portuaire, ses missions étaient dévolues à l’accompagnement de SNA pour le passage de Suez et à la surveillance des approches maritimes.

Une transition réussie qui confirme la volonté de rester à la pointe de l'innovation dans le domaine naval, et comme l’a souligné le capitaine de vaisseau Sébastien Rosier, au terme de son allocution : « C'est un jalon important dans l’histoire navale du port de Toulon, inscrivant ainsi le remorquage portuaire militaire dans une nouvelle ère ».

 Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

Source : Marine nationale


Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

publié le Vendredi 02 juin 2023

 Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

© Marine nationale

Le 26 mai 2023, une cérémonie symbolique s’est tenue au sein de la base navale de Toulon, pour reconnaître l’admission au service actif du remorqueur portuaire de 30 tonnes (RP30) Céladon et le retrait du service actif prochain du remorqueur côtier Voith-Schneider (RCVS) Bison, sous la présidence du vice-amiral d’escadre Gilles Boidevezi, commandant la zone et l’arrondissement maritimes Méditerranée.

A cette occasion, les équipages des deux engins portuaires « nouvelle et ancienne générations » étaient réunis sur le quai Castigneau (CA3) proche du service des moyens portuaires de Toulon, devant leurs remorqueurs respectifs. « C’est une grande satisfaction et une immense fierté de nous voir réunis ici, pour l’admission au service actif du Céladon, notre premier remorqueur portuaire à propulsion azimutale de la Marine nationale » ; c’est par ces mots que le capitaine de vaisseau Sébastien Rosier, commandant la base navale de Toulon, débutait son allocution.

Le Céladon est en effet le premier d’une série de vingt remorqueurs portuaires (RP) et portuaires côtiers (RPC) 30 tonnes, commandés en avril 2020 auprès du chantier Piriou de Concarneau, dont huit sont destinés au port de Toulon. Ces remorqueurs ont vocation à remplacer quatre types d’engins : les RCVS, tels le Bison, les RP/RPC12 et les fileurs d’antennes linéaires des sous-marins appelés caudataires (le Phaéton à Toulon).

Le Céladon se distingue de la génération précédente en particulier par un changement du mode de propulsion et le passage à la technologie Azimutal Stern Drive (ASD). Il offre également un supplément de puissance et de manœuvrabilité : une capacité à répondre efficacement à l’accroissement du tonnage moyen de la flotte. C’est à ce titre, après plusieurs mois de formation, que quatre officiers-mariniers ont reçu au cours de la cérémonie leur diplôme de patron RP30/RPC30.

Pour le dernier équipage du Bison, ce fut l’occasion de vivre une émouvante passation de relais. L’un des trois remorqueurs côtiers Voith-Schneider de la Marine nationale achève en effet une carrière de 42 ans durant laquelle il a accompli 350 remorquages et réalisé l’équivalent de 8 fois le tour de la Terre. Intervenant essentiellement dans la base navale de Toulon pour le remorquage portuaire, ses missions étaient dévolues à l’accompagnement de SNA pour le passage de Suez et à la surveillance des approches maritimes.

Une transition réussie qui confirme la volonté de rester à la pointe de l'innovation dans le domaine naval, et comme l’a souligné le capitaine de vaisseau Sébastien Rosier, au terme de son allocution : « C'est un jalon important dans l’histoire navale du port de Toulon, inscrivant ainsi le remorquage portuaire militaire dans une nouvelle ère ».

 Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

Source : Marine nationale


Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

publié le Vendredi 02 juin 2023

 Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

© Marine nationale

Le 26 mai 2023, une cérémonie symbolique s’est tenue au sein de la base navale de Toulon, pour reconnaître l’admission au service actif du remorqueur portuaire de 30 tonnes (RP30) Céladon et le retrait du service actif prochain du remorqueur côtier Voith-Schneider (RCVS) Bison, sous la présidence du vice-amiral d’escadre Gilles Boidevezi, commandant la zone et l’arrondissement maritimes Méditerranée.

A cette occasion, les équipages des deux engins portuaires « nouvelle et ancienne générations » étaient réunis sur le quai Castigneau (CA3) proche du service des moyens portuaires de Toulon, devant leurs remorqueurs respectifs. « C’est une grande satisfaction et une immense fierté de nous voir réunis ici, pour l’admission au service actif du Céladon, notre premier remorqueur portuaire à propulsion azimutale de la Marine nationale » ; c’est par ces mots que le capitaine de vaisseau Sébastien Rosier, commandant la base navale de Toulon, débutait son allocution.

Le Céladon est en effet le premier d’une série de vingt remorqueurs portuaires (RP) et portuaires côtiers (RPC) 30 tonnes, commandés en avril 2020 auprès du chantier Piriou de Concarneau, dont huit sont destinés au port de Toulon. Ces remorqueurs ont vocation à remplacer quatre types d’engins : les RCVS, tels le Bison, les RP/RPC12 et les fileurs d’antennes linéaires des sous-marins appelés caudataires (le Phaéton à Toulon).

Le Céladon se distingue de la génération précédente en particulier par un changement du mode de propulsion et le passage à la technologie Azimutal Stern Drive (ASD). Il offre également un supplément de puissance et de manœuvrabilité : une capacité à répondre efficacement à l’accroissement du tonnage moyen de la flotte. C’est à ce titre, après plusieurs mois de formation, que quatre officiers-mariniers ont reçu au cours de la cérémonie leur diplôme de patron RP30/RPC30.

Pour le dernier équipage du Bison, ce fut l’occasion de vivre une émouvante passation de relais. L’un des trois remorqueurs côtiers Voith-Schneider de la Marine nationale achève en effet une carrière de 42 ans durant laquelle il a accompli 350 remorquages et réalisé l’équivalent de 8 fois le tour de la Terre. Intervenant essentiellement dans la base navale de Toulon pour le remorquage portuaire, ses missions étaient dévolues à l’accompagnement de SNA pour le passage de Suez et à la surveillance des approches maritimes.

Une transition réussie qui confirme la volonté de rester à la pointe de l'innovation dans le domaine naval, et comme l’a souligné le capitaine de vaisseau Sébastien Rosier, au terme de son allocution : « C'est un jalon important dans l’histoire navale du port de Toulon, inscrivant ainsi le remorquage portuaire militaire dans une nouvelle ère ».

 Passage de relais entre deux remorqueurs de la base navale de Toulon

Source : Marine nationale


La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

publié le Jeudi 01 juin 2023

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

© Marine nationale

Poursuivant le séminaire de Guerre Navale de 2022, le premier séminaire sur la Supériorité Informationnelle dans la Guerre Navale s’est tenu les 31 mai et 1er juin 2023 à Toulon. Un événement durant lequel la nouvelle stratégie numérique de la Marine nationale a été présentée.

SIGNAL - La Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale de la Marine Nationale.

La révolution numérique a fait émerger l’espace informationnel comme un espace de conflictualité et de manœuvre à part entière entraînant des répercussions dans le domaine naval. Ce bouleversement technologique s’est traduit par un accroissement de la place des systèmes numériques pour l’appréciation de l’espace maritime, comme pour la conduite des opérations.

Or, dans le combat naval, l’avance technologique ne se traduit pas mécaniquement par un avantage tactique décisif. La profusion d’informations induit également des risques spécifiques pour les unités opérationnelles ou les structures de commandement. Ainsi pour intégrer efficacement les disruptions du numérique au sein de la Marine, il convient de les équilibrer avec les besoins de résilience, d’autonomie et d’évolutivité propres aux plateformes navales. Surtout, les programmes doivent contribuer à la manœuvre d’ensemble permettant de saisir, conserver, voire reprendre, l’initiative au combat.

C’est l’ambition portée par la stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale - SIGNAL qui a été présentée à Toulon le 1er juin dernier. Cet effort d’accélération technologique vise à articuler l’ensemble des programmes capacitaires de la Marine dans le domaine numérique. Il traduit la bascule liée à l’approche multi-champs multi-milieu.

Cette stratégie se décline en six axes :

- Diversifier les sources de captation de données, notamment avec les possibilités du new space ;

- Augmenter les capacités de connectivité, sans renoncer à leur résilience ;

- Optimiser la fusion des informations tactiques en temps réel ;

- Valoriser les données embarquées pour renforcer la compréhension des situations et l’aide à la décision ;

- Accélérer et fluidifier la circulation de l’information du C2 ;

- Ouvrir de nouvelles capacités tactiques dans les domaines de lutte.

 

En accélérant et en assurant la synergie des développements dans le domaine numérique, la stratégie SIGNAL permettra aux unités de la Marine nationale de disposer de l’information, juste et nécessaire, pour conserver l’initiative en mer.

Source : Marine nationale


La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

publié le Jeudi 01 juin 2023

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

© Marine nationale

Poursuivant le séminaire de Guerre Navale de 2022, le premier séminaire sur la Supériorité Informationnelle dans la Guerre Navale s’est tenu les 31 mai et 1er juin 2023 à Toulon. Un événement durant lequel la nouvelle stratégie numérique de la Marine nationale a été présentée.

SIGNAL - La Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale de la Marine Nationale.

La révolution numérique a fait émerger l’espace informationnel comme un espace de conflictualité et de manœuvre à part entière entraînant des répercussions dans le domaine naval. Ce bouleversement technologique s’est traduit par un accroissement de la place des systèmes numériques pour l’appréciation de l’espace maritime, comme pour la conduite des opérations.

Or, dans le combat naval, l’avance technologique ne se traduit pas mécaniquement par un avantage tactique décisif. La profusion d’informations induit également des risques spécifiques pour les unités opérationnelles ou les structures de commandement. Ainsi pour intégrer efficacement les disruptions du numérique au sein de la Marine, il convient de les équilibrer avec les besoins de résilience, d’autonomie et d’évolutivité propres aux plateformes navales. Surtout, les programmes doivent contribuer à la manœuvre d’ensemble permettant de saisir, conserver, voire reprendre, l’initiative au combat.

C’est l’ambition portée par la stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale - SIGNAL qui a été présentée à Toulon le 1er juin dernier. Cet effort d’accélération technologique vise à articuler l’ensemble des programmes capacitaires de la Marine dans le domaine numérique. Il traduit la bascule liée à l’approche multi-champs multi-milieu.

Cette stratégie se décline en six axes :

- Diversifier les sources de captation de données, notamment avec les possibilités du new space ;

- Augmenter les capacités de connectivité, sans renoncer à leur résilience ;

- Optimiser la fusion des informations tactiques en temps réel ;

- Valoriser les données embarquées pour renforcer la compréhension des situations et l’aide à la décision ;

- Accélérer et fluidifier la circulation de l’information du C2 ;

- Ouvrir de nouvelles capacités tactiques dans les domaines de lutte.

 

En accélérant et en assurant la synergie des développements dans le domaine numérique, la stratégie SIGNAL permettra aux unités de la Marine nationale de disposer de l’information, juste et nécessaire, pour conserver l’initiative en mer.

Source : Marine nationale


La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

publié le Jeudi 01 juin 2023

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

© Marine nationale

Poursuivant le séminaire de Guerre Navale de 2022, le premier séminaire sur la Supériorité Informationnelle dans la Guerre Navale s’est tenu les 31 mai et 1er juin 2023 à Toulon. Un événement durant lequel la nouvelle stratégie numérique de la Marine nationale a été présentée.

SIGNAL - La Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale de la Marine Nationale.

La révolution numérique a fait émerger l’espace informationnel comme un espace de conflictualité et de manœuvre à part entière entraînant des répercussions dans le domaine naval. Ce bouleversement technologique s’est traduit par un accroissement de la place des systèmes numériques pour l’appréciation de l’espace maritime, comme pour la conduite des opérations.

Or, dans le combat naval, l’avance technologique ne se traduit pas mécaniquement par un avantage tactique décisif. La profusion d’informations induit également des risques spécifiques pour les unités opérationnelles ou les structures de commandement. Ainsi pour intégrer efficacement les disruptions du numérique au sein de la Marine, il convient de les équilibrer avec les besoins de résilience, d’autonomie et d’évolutivité propres aux plateformes navales. Surtout, les programmes doivent contribuer à la manœuvre d’ensemble permettant de saisir, conserver, voire reprendre, l’initiative au combat.

C’est l’ambition portée par la stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale - SIGNAL qui a été présentée à Toulon le 1er juin dernier. Cet effort d’accélération technologique vise à articuler l’ensemble des programmes capacitaires de la Marine dans le domaine numérique. Il traduit la bascule liée à l’approche multi-champs multi-milieu.

Cette stratégie se décline en six axes :

- Diversifier les sources de captation de données, notamment avec les possibilités du new space ;

- Augmenter les capacités de connectivité, sans renoncer à leur résilience ;

- Optimiser la fusion des informations tactiques en temps réel ;

- Valoriser les données embarquées pour renforcer la compréhension des situations et l’aide à la décision ;

- Accélérer et fluidifier la circulation de l’information du C2 ;

- Ouvrir de nouvelles capacités tactiques dans les domaines de lutte.

 

En accélérant et en assurant la synergie des développements dans le domaine numérique, la stratégie SIGNAL permettra aux unités de la Marine nationale de disposer de l’information, juste et nécessaire, pour conserver l’initiative en mer.

Source : Marine nationale


La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

publié le Jeudi 01 juin 2023

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

La Marine Nationale dévoile sa Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale

© Marine nationale

Poursuivant le séminaire de Guerre Navale de 2022, le premier séminaire sur la Supériorité Informationnelle dans la Guerre Navale s’est tenu les 31 mai et 1er juin 2023 à Toulon. Un événement durant lequel la nouvelle stratégie numérique de la Marine nationale a été présentée.

SIGNAL - La Stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale de la Marine Nationale.

La révolution numérique a fait émerger l’espace informationnel comme un espace de conflictualité et de manœuvre à part entière entraînant des répercussions dans le domaine naval. Ce bouleversement technologique s’est traduit par un accroissement de la place des systèmes numériques pour l’appréciation de l’espace maritime, comme pour la conduite des opérations.

Or, dans le combat naval, l’avance technologique ne se traduit pas mécaniquement par un avantage tactique décisif. La profusion d’informations induit également des risques spécifiques pour les unités opérationnelles ou les structures de commandement. Ainsi pour intégrer efficacement les disruptions du numérique au sein de la Marine, il convient de les équilibrer avec les besoins de résilience, d’autonomie et d’évolutivité propres aux plateformes navales. Surtout, les programmes doivent contribuer à la manœuvre d’ensemble permettant de saisir, conserver, voire reprendre, l’initiative au combat.

C’est l’ambition portée par la stratégie de Supériorité Informationnelle pour la Guerre Navale - SIGNAL qui a été présentée à Toulon le 1er juin dernier. Cet effort d’accélération technologique vise à articuler l’ensemble des programmes capacitaires de la Marine dans le domaine numérique. Il traduit la bascule liée à l’approche multi-champs multi-milieu.

Cette stratégie se décline en six axes :

- Diversifier les sources de captation de données, notamment avec les possibilités du new space ;

- Augmenter les capacités de connectivité, sans renoncer à leur résilience ;

- Optimiser la fusion des informations tactiques en temps réel ;

- Valoriser les données embarquées pour renforcer la compréhension des situations et l’aide à la décision ;

- Accélérer et fluidifier la circulation de l’information du C2 ;

- Ouvrir de nouvelles capacités tactiques dans les domaines de lutte.

 

En accélérant et en assurant la synergie des développements dans le domaine numérique, la stratégie SIGNAL permettra aux unités de la Marine nationale de disposer de l’information, juste et nécessaire, pour conserver l’initiative en mer.

Source : Marine nationale


Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

publié le Jeudi 01 juin 2023

 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

© EMA

Le 28 mai, après son appareillage de Limassol, la Frégate multi-missions (FREMM) Languedoc a mené une séquence de coopération avec la Marine et l’Armée de l’air chypriotes. Les deux partenaires ont renforcé leurs capacités opérationnelles et leur interopérabilité dans de nombreux domaines.

Après une relâche opérationnelle à Limassol qui a permis de préparer la séquence d’exercices, le Languedoc a conduit, avec le patrouilleur Alasia et un hélicoptère de l’armée de l’air chypriote des exercices dans de nombreux domaines : navigation en formation, communication par signaux lumineux à l’aide du Système de communication optique tout temps - SCOTT1 - présentation pour ravitaillement à la mer, exercice de visite ou encore appontage d’un hélicoptère sur le Languedoc.

Cette séquence a été profitable pour toutes les unités qui ont renforcé leurs capacités opérationnelles mutuelles. Elle a aussi permis d’illustrer l’excellente interopérabilité entretenue entre les marines chypriote et française. En participant à ces séquences de coopération opérationnelle régulières, la Marine française témoigne de son engagement dans le renforcement de la sécurité maritime en zone méditerranéenne.

Déployé depuis le 15 mai, le Languedoc est intégré au SNMG 2 de l’OTAN en Méditerranée centrale et orientale. Tout en participant aux opérations aux côtés des marines alliées de l’OTAN, le Languedoc assure la permanence de la présence française et l’appréciation autonome de la situation en Méditerranée orientale.

 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc
 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

Source : Etat-major des armées


Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

publié le Jeudi 01 juin 2023

 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

© EMA

Le 28 mai, après son appareillage de Limassol, la Frégate multi-missions (FREMM) Languedoc a mené une séquence de coopération avec la Marine et l’Armée de l’air chypriotes. Les deux partenaires ont renforcé leurs capacités opérationnelles et leur interopérabilité dans de nombreux domaines.

Après une relâche opérationnelle à Limassol qui a permis de préparer la séquence d’exercices, le Languedoc a conduit, avec le patrouilleur Alasia et un hélicoptère de l’armée de l’air chypriote des exercices dans de nombreux domaines : navigation en formation, communication par signaux lumineux à l’aide du Système de communication optique tout temps - SCOTT1 - présentation pour ravitaillement à la mer, exercice de visite ou encore appontage d’un hélicoptère sur le Languedoc.

Cette séquence a été profitable pour toutes les unités qui ont renforcé leurs capacités opérationnelles mutuelles. Elle a aussi permis d’illustrer l’excellente interopérabilité entretenue entre les marines chypriote et française. En participant à ces séquences de coopération opérationnelle régulières, la Marine française témoigne de son engagement dans le renforcement de la sécurité maritime en zone méditerranéenne.

Déployé depuis le 15 mai, le Languedoc est intégré au SNMG 2 de l’OTAN en Méditerranée centrale et orientale. Tout en participant aux opérations aux côtés des marines alliées de l’OTAN, le Languedoc assure la permanence de la présence française et l’appréciation autonome de la situation en Méditerranée orientale.

 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc
 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

Source : Etat-major des armées


Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

publié le Jeudi 01 juin 2023

 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

© EMA

Le 28 mai, après son appareillage de Limassol, la Frégate multi-missions (FREMM) Languedoc a mené une séquence de coopération avec la Marine et l’Armée de l’air chypriotes. Les deux partenaires ont renforcé leurs capacités opérationnelles et leur interopérabilité dans de nombreux domaines.

Après une relâche opérationnelle à Limassol qui a permis de préparer la séquence d’exercices, le Languedoc a conduit, avec le patrouilleur Alasia et un hélicoptère de l’armée de l’air chypriote des exercices dans de nombreux domaines : navigation en formation, communication par signaux lumineux à l’aide du Système de communication optique tout temps - SCOTT1 - présentation pour ravitaillement à la mer, exercice de visite ou encore appontage d’un hélicoptère sur le Languedoc.

Cette séquence a été profitable pour toutes les unités qui ont renforcé leurs capacités opérationnelles mutuelles. Elle a aussi permis d’illustrer l’excellente interopérabilité entretenue entre les marines chypriote et française. En participant à ces séquences de coopération opérationnelle régulières, la Marine française témoigne de son engagement dans le renforcement de la sécurité maritime en zone méditerranéenne.

Déployé depuis le 15 mai, le Languedoc est intégré au SNMG 2 de l’OTAN en Méditerranée centrale et orientale. Tout en participant aux opérations aux côtés des marines alliées de l’OTAN, le Languedoc assure la permanence de la présence française et l’appréciation autonome de la situation en Méditerranée orientale.

 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc
 Méditerranée orientale – Séquence de coopération de la marine et de l’armée de l’Air chypriotes avec la FREMM Languedoc

Source : Etat-major des armées

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