Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

publié le Lundi 13 mars 2023

Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

© Marine nationale

Le 9 mars 2023 à Boulogne-sur-Mer, le contre-amiral Xavier Royer de Véricourt, adjoint organique à Brest de l’amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN Brest), a présidé la cérémonie de prise d’armement pour essais (PAE) du patrouilleur outre-mer (POM) Teriieroo a Teriierooiterai.

Cette cérémonie a débuté par le premier lever des couleurs, signe visible de son passage sous statut de bâtiment de combat. ALFAN Brest a ensuite fait reconnaître le capitaine de corvette François Thisse comme premier commandant du Teriieroo a Teriierooiterai et lui a confié le fanion de l’unité. C’est l’acte de naissance de l’équipage d’armement, désormais officiellement reconnu comme le premier équipage du Teriieroo a Teriierooiterai.

Jusqu’à l’été 2023 les industriels de Socarenam vont mener les essais de mise en service des installations, sous le contrôle étatique de la direction générale de l’armement (DGA), avec le concours du centre d’expertise des programmes navals (CEPN) et de la commission permanente des programmes et des essais (CPPE), afin de vérifier la conformité des performances du bâtiment avec les besoins exprimés. Les premiers essais à la mer seront conduits au début de l’été.

Pleinement intégré au contrôle étatique et aux essais, l’équipage d’armement progresse ainsi dans la connaissance du bâtiment et se prépare à sa prise en charge.

Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

Remplaçant les patrouilleurs de type 400 tonnes (P400), les patrouilleurs outre-mer sont à destination de la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française et La Réunion. Ces nouveaux patrouilleurs disposent d’une autonomie et d’une élongation accrues afin de couvrir les vastes ZEE de nos territoires d’outre-mer. À terme, six patrouilleurs outre-mer viendront renforcer les moyens maritimes en océans Indien et Pacifique pour assurer des missions de souveraineté : surveillance des abords maritimes, police des pêches, lutte contre le narcotrafic, missions de sauvetage… Le Teriieroo a Teriierooiterai, deuxième de la série, sera basé à Papeete, qu’il rejoindra à la fin de l’année 2023.

Le nom de ce patrouilleur outre-mer rend hommage à Teriieroo a Teriierooiterai, compagnon de la Libération, originaire de la Polynésie française. Né en 1875 à Punaauia sur l’île de Tahiti, il est le descendant des chefs coutumiers du district de Punaauia. En 1940, il prend une part très active au ralliement des Établissements français d’Océanie à la France libre. Ardent patriote et brillant orateur, il apporte à la France libre l’appui de son autorité sur les districts de l’île pendant toute la durée de la guerre, permettant notamment l’enrôlement de nombreux volontaires tahitiens dans les Forces françaises libres. Il décède en 1952, décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de la Libération.

Le motif symbolique du navire fait référence au personnage de Teriieroo a Teriierooiterai et à son histoire. Sont ainsi représentés les armes de la Polynésie française, le casse-tête et la lance polynésienne rappelant le statut de patriarche de Teriieroo a Teriierooiterai, et la figure mythologique de l’hippocampe qui évoque les caractéristiques du patrouilleur.

Source : Marine nationale


Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

publié le Lundi 13 mars 2023

Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

© Marine nationale

Le 9 mars 2023 à Boulogne-sur-Mer, le contre-amiral Xavier Royer de Véricourt, adjoint organique à Brest de l’amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN Brest), a présidé la cérémonie de prise d’armement pour essais (PAE) du patrouilleur outre-mer (POM) Teriieroo a Teriierooiterai.

Cette cérémonie a débuté par le premier lever des couleurs, signe visible de son passage sous statut de bâtiment de combat. ALFAN Brest a ensuite fait reconnaître le capitaine de corvette François Thisse comme premier commandant du Teriieroo a Teriierooiterai et lui a confié le fanion de l’unité. C’est l’acte de naissance de l’équipage d’armement, désormais officiellement reconnu comme le premier équipage du Teriieroo a Teriierooiterai.

Jusqu’à l’été 2023 les industriels de Socarenam vont mener les essais de mise en service des installations, sous le contrôle étatique de la direction générale de l’armement (DGA), avec le concours du centre d’expertise des programmes navals (CEPN) et de la commission permanente des programmes et des essais (CPPE), afin de vérifier la conformité des performances du bâtiment avec les besoins exprimés. Les premiers essais à la mer seront conduits au début de l’été.

Pleinement intégré au contrôle étatique et aux essais, l’équipage d’armement progresse ainsi dans la connaissance du bâtiment et se prépare à sa prise en charge.

Prise d’armement pour essais du patrouilleur outre-mer Teriieroo a Teriierooiterai

Remplaçant les patrouilleurs de type 400 tonnes (P400), les patrouilleurs outre-mer sont à destination de la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française et La Réunion. Ces nouveaux patrouilleurs disposent d’une autonomie et d’une élongation accrues afin de couvrir les vastes ZEE de nos territoires d’outre-mer. À terme, six patrouilleurs outre-mer viendront renforcer les moyens maritimes en océans Indien et Pacifique pour assurer des missions de souveraineté : surveillance des abords maritimes, police des pêches, lutte contre le narcotrafic, missions de sauvetage… Le Teriieroo a Teriierooiterai, deuxième de la série, sera basé à Papeete, qu’il rejoindra à la fin de l’année 2023.

Le nom de ce patrouilleur outre-mer rend hommage à Teriieroo a Teriierooiterai, compagnon de la Libération, originaire de la Polynésie française. Né en 1875 à Punaauia sur l’île de Tahiti, il est le descendant des chefs coutumiers du district de Punaauia. En 1940, il prend une part très active au ralliement des Établissements français d’Océanie à la France libre. Ardent patriote et brillant orateur, il apporte à la France libre l’appui de son autorité sur les districts de l’île pendant toute la durée de la guerre, permettant notamment l’enrôlement de nombreux volontaires tahitiens dans les Forces françaises libres. Il décède en 1952, décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de la Libération.

Le motif symbolique du navire fait référence au personnage de Teriieroo a Teriierooiterai et à son histoire. Sont ainsi représentés les armes de la Polynésie française, le casse-tête et la lance polynésienne rappelant le statut de patriarche de Teriieroo a Teriierooiterai, et la figure mythologique de l’hippocampe qui évoque les caractéristiques du patrouilleur.

Source : Marine nationale


FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

publié le Mardi 28 février 2023

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

© EMA

Du 23 janvier au 17 février, le patrouilleur Arago a contribué au renforcement de la sécurité maritime au large de la Polynésie française dans le cadre de la mission PACIFIC AITO. Pour ce faire, le patrouilleur français a conduit plusieurs opérations de police des pêches lors de ses patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française, affirmant ainsi la souveraineté de la France.

Aussi, L’Arago a patrouillé dans le nord de la ZEE de la Polynésie française et dans ses approches dans le cadre de PACIFIC AITO, mission de surveillance maritime dans la ZEE française. Par ailleurs, les marins ont réalisé des missions de police des pêches en haute mer, à l’est et à l’ouest de l’archipel des Marquises. Lors de son déploiement, le patrouilleur a bénéficié du soutien d’un avion de surveillance maritime Falcon 200 de la flottille 25F, en coordination avec le centre de fusion de l’information maritime local.


L’équipage de l’Arago a visité et contrôlé sept palangriers en haute mer. En outre, il a également pris contact avec une douzaine d’autres bâtiments pour s’assurer de la légalité de leurs activités. Ces missions de surveillance maritime sont également l’occasion pour les bâtiments des Forces armées en Polynésie française (FAPF) de contribuer à l’appréciation autonome de situation de la France dans la région. Dans ce cadre, le patrouilleur a navigué au nord de l’archipel des Marquises, près des îles Hatutaa, Eiao et Motu One.

Dans l’archipel des Tuamotu, l’équipage de l’Arago a pu entretenir les relations des FAPF avec la population et les autorités locales des atolls de Taenga, Nihiru, Taiaro et Katiu.


La France, nation riveraine et souveraine du Pacifique, contribue au renforcement de la sécurité maritime dans la zone. Les FAPF réalisent un large spectre de missions au profit de la stabilité de la région et sont engagés pour la protection des populations dans la zone, en cas de crise sanitaire, climatique ou sécuritaire. Elles apportent des moyens complémentaires aux services de l’État afin d’assurer la protection des Français et le respect du droit de la mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago
 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

publié le Mardi 28 février 2023

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

© EMA

Du 23 janvier au 17 février, le patrouilleur Arago a contribué au renforcement de la sécurité maritime au large de la Polynésie française dans le cadre de la mission PACIFIC AITO. Pour ce faire, le patrouilleur français a conduit plusieurs opérations de police des pêches lors de ses patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française, affirmant ainsi la souveraineté de la France.

Aussi, L’Arago a patrouillé dans le nord de la ZEE de la Polynésie française et dans ses approches dans le cadre de PACIFIC AITO, mission de surveillance maritime dans la ZEE française. Par ailleurs, les marins ont réalisé des missions de police des pêches en haute mer, à l’est et à l’ouest de l’archipel des Marquises. Lors de son déploiement, le patrouilleur a bénéficié du soutien d’un avion de surveillance maritime Falcon 200 de la flottille 25F, en coordination avec le centre de fusion de l’information maritime local.


L’équipage de l’Arago a visité et contrôlé sept palangriers en haute mer. En outre, il a également pris contact avec une douzaine d’autres bâtiments pour s’assurer de la légalité de leurs activités. Ces missions de surveillance maritime sont également l’occasion pour les bâtiments des Forces armées en Polynésie française (FAPF) de contribuer à l’appréciation autonome de situation de la France dans la région. Dans ce cadre, le patrouilleur a navigué au nord de l’archipel des Marquises, près des îles Hatutaa, Eiao et Motu One.

Dans l’archipel des Tuamotu, l’équipage de l’Arago a pu entretenir les relations des FAPF avec la population et les autorités locales des atolls de Taenga, Nihiru, Taiaro et Katiu.


La France, nation riveraine et souveraine du Pacifique, contribue au renforcement de la sécurité maritime dans la zone. Les FAPF réalisent un large spectre de missions au profit de la stabilité de la région et sont engagés pour la protection des populations dans la zone, en cas de crise sanitaire, climatique ou sécuritaire. Elles apportent des moyens complémentaires aux services de l’État afin d’assurer la protection des Français et le respect du droit de la mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago
 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

publié le Mardi 28 février 2023

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

© EMA

Du 23 janvier au 17 février, le patrouilleur Arago a contribué au renforcement de la sécurité maritime au large de la Polynésie française dans le cadre de la mission PACIFIC AITO. Pour ce faire, le patrouilleur français a conduit plusieurs opérations de police des pêches lors de ses patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française, affirmant ainsi la souveraineté de la France.

Aussi, L’Arago a patrouillé dans le nord de la ZEE de la Polynésie française et dans ses approches dans le cadre de PACIFIC AITO, mission de surveillance maritime dans la ZEE française. Par ailleurs, les marins ont réalisé des missions de police des pêches en haute mer, à l’est et à l’ouest de l’archipel des Marquises. Lors de son déploiement, le patrouilleur a bénéficié du soutien d’un avion de surveillance maritime Falcon 200 de la flottille 25F, en coordination avec le centre de fusion de l’information maritime local.


L’équipage de l’Arago a visité et contrôlé sept palangriers en haute mer. En outre, il a également pris contact avec une douzaine d’autres bâtiments pour s’assurer de la légalité de leurs activités. Ces missions de surveillance maritime sont également l’occasion pour les bâtiments des Forces armées en Polynésie française (FAPF) de contribuer à l’appréciation autonome de situation de la France dans la région. Dans ce cadre, le patrouilleur a navigué au nord de l’archipel des Marquises, près des îles Hatutaa, Eiao et Motu One.

Dans l’archipel des Tuamotu, l’équipage de l’Arago a pu entretenir les relations des FAPF avec la population et les autorités locales des atolls de Taenga, Nihiru, Taiaro et Katiu.


La France, nation riveraine et souveraine du Pacifique, contribue au renforcement de la sécurité maritime dans la zone. Les FAPF réalisent un large spectre de missions au profit de la stabilité de la région et sont engagés pour la protection des populations dans la zone, en cas de crise sanitaire, climatique ou sécuritaire. Elles apportent des moyens complémentaires aux services de l’État afin d’assurer la protection des Français et le respect du droit de la mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago
 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

publié le Mardi 28 février 2023

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

© EMA

Du 23 janvier au 17 février, le patrouilleur Arago a contribué au renforcement de la sécurité maritime au large de la Polynésie française dans le cadre de la mission PACIFIC AITO. Pour ce faire, le patrouilleur français a conduit plusieurs opérations de police des pêches lors de ses patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française, affirmant ainsi la souveraineté de la France.

Aussi, L’Arago a patrouillé dans le nord de la ZEE de la Polynésie française et dans ses approches dans le cadre de PACIFIC AITO, mission de surveillance maritime dans la ZEE française. Par ailleurs, les marins ont réalisé des missions de police des pêches en haute mer, à l’est et à l’ouest de l’archipel des Marquises. Lors de son déploiement, le patrouilleur a bénéficié du soutien d’un avion de surveillance maritime Falcon 200 de la flottille 25F, en coordination avec le centre de fusion de l’information maritime local.


L’équipage de l’Arago a visité et contrôlé sept palangriers en haute mer. En outre, il a également pris contact avec une douzaine d’autres bâtiments pour s’assurer de la légalité de leurs activités. Ces missions de surveillance maritime sont également l’occasion pour les bâtiments des Forces armées en Polynésie française (FAPF) de contribuer à l’appréciation autonome de situation de la France dans la région. Dans ce cadre, le patrouilleur a navigué au nord de l’archipel des Marquises, près des îles Hatutaa, Eiao et Motu One.

Dans l’archipel des Tuamotu, l’équipage de l’Arago a pu entretenir les relations des FAPF avec la population et les autorités locales des atolls de Taenga, Nihiru, Taiaro et Katiu.


La France, nation riveraine et souveraine du Pacifique, contribue au renforcement de la sécurité maritime dans la zone. Les FAPF réalisent un large spectre de missions au profit de la stabilité de la région et sont engagés pour la protection des populations dans la zone, en cas de crise sanitaire, climatique ou sécuritaire. Elles apportent des moyens complémentaires aux services de l’État afin d’assurer la protection des Français et le respect du droit de la mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago
 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

Source : Etat-major des armées


FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

publié le Lundi 27 février 2023

 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

© EMA

Le 16 février, le Bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) Bougainville a rejoint son port base de Papeete après plus de 40 jours de déploiement en mer et plus de 6 000 nautiques parcourus. Dans le cadre de la mission AQUARIUS 2023, le BSAOM a réalisé des patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française puis dans les ZEE des pays insulaires du Pacifique. La Marine nationale contribue ainsi à la sécurisation de cet espace maritime d’intérêt majeur.

Le premier volet de la mission AQUARIUS a été consacré à la surveillance maritime de la ZEE de la Polynésie française, au large des archipels des Tuamotu et des Marquises. À cette occasion, le Bougainville a réalisé plusieurs escales dans les îles pour entretenir les relations avec les autorités locales et livrer du fret humanitaire au profit de différentes antennes locales d’associations. Ces actions ont permis de rappeler que les militaires des FAPF peuvent apporter un soutien complémentaire aux services de l’État pour assurer la sécurité des Français dans le Pacifique.

Dans un second temps, le Bougainville a poursuivi sa navigation afin de renforcer la sécurité régionale et de lutter contre la pêche illégale. Le bâtiment français a patrouillé dans les ZEE des îles Kiribati et de Tokelau, où il a contrôlé six navires de pêche. Dans les eaux internationales et en soutien de la Forum Fisheries Agency, le Bougainville a effectué une opération similaire sur deux palangriers. Plusieurs escales dans les îles Christmas et Pago Pago ont permis à la Marine nationale de promouvoir le réseau de garde-côtes du Pacifique.

Par leurs actions, les marins français ont incarné l’engagement durable et permanent de la France dans le Pacifique. En tant que nation riveraine de cet espace, elle est engagée auprès de ses partenaires régionaux afin qu’il demeure ouvert, prospère et régi par le droit international.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville
 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

Source : Etat-major des armées


FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

publié le Lundi 27 février 2023

 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

© EMA

Le 16 février, le Bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) Bougainville a rejoint son port base de Papeete après plus de 40 jours de déploiement en mer et plus de 6 000 nautiques parcourus. Dans le cadre de la mission AQUARIUS 2023, le BSAOM a réalisé des patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française puis dans les ZEE des pays insulaires du Pacifique. La Marine nationale contribue ainsi à la sécurisation de cet espace maritime d’intérêt majeur.

Le premier volet de la mission AQUARIUS a été consacré à la surveillance maritime de la ZEE de la Polynésie française, au large des archipels des Tuamotu et des Marquises. À cette occasion, le Bougainville a réalisé plusieurs escales dans les îles pour entretenir les relations avec les autorités locales et livrer du fret humanitaire au profit de différentes antennes locales d’associations. Ces actions ont permis de rappeler que les militaires des FAPF peuvent apporter un soutien complémentaire aux services de l’État pour assurer la sécurité des Français dans le Pacifique.

Dans un second temps, le Bougainville a poursuivi sa navigation afin de renforcer la sécurité régionale et de lutter contre la pêche illégale. Le bâtiment français a patrouillé dans les ZEE des îles Kiribati et de Tokelau, où il a contrôlé six navires de pêche. Dans les eaux internationales et en soutien de la Forum Fisheries Agency, le Bougainville a effectué une opération similaire sur deux palangriers. Plusieurs escales dans les îles Christmas et Pago Pago ont permis à la Marine nationale de promouvoir le réseau de garde-côtes du Pacifique.

Par leurs actions, les marins français ont incarné l’engagement durable et permanent de la France dans le Pacifique. En tant que nation riveraine de cet espace, elle est engagée auprès de ses partenaires régionaux afin qu’il demeure ouvert, prospère et régi par le droit international.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville
 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

Source : Etat-major des armées


FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

publié le Lundi 27 février 2023

 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

© EMA

Le 16 février, le Bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) Bougainville a rejoint son port base de Papeete après plus de 40 jours de déploiement en mer et plus de 6 000 nautiques parcourus. Dans le cadre de la mission AQUARIUS 2023, le BSAOM a réalisé des patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française puis dans les ZEE des pays insulaires du Pacifique. La Marine nationale contribue ainsi à la sécurisation de cet espace maritime d’intérêt majeur.

Le premier volet de la mission AQUARIUS a été consacré à la surveillance maritime de la ZEE de la Polynésie française, au large des archipels des Tuamotu et des Marquises. À cette occasion, le Bougainville a réalisé plusieurs escales dans les îles pour entretenir les relations avec les autorités locales et livrer du fret humanitaire au profit de différentes antennes locales d’associations. Ces actions ont permis de rappeler que les militaires des FAPF peuvent apporter un soutien complémentaire aux services de l’État pour assurer la sécurité des Français dans le Pacifique.

Dans un second temps, le Bougainville a poursuivi sa navigation afin de renforcer la sécurité régionale et de lutter contre la pêche illégale. Le bâtiment français a patrouillé dans les ZEE des îles Kiribati et de Tokelau, où il a contrôlé six navires de pêche. Dans les eaux internationales et en soutien de la Forum Fisheries Agency, le Bougainville a effectué une opération similaire sur deux palangriers. Plusieurs escales dans les îles Christmas et Pago Pago ont permis à la Marine nationale de promouvoir le réseau de garde-côtes du Pacifique.

Par leurs actions, les marins français ont incarné l’engagement durable et permanent de la France dans le Pacifique. En tant que nation riveraine de cet espace, elle est engagée auprès de ses partenaires régionaux afin qu’il demeure ouvert, prospère et régi par le droit international.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville
 FAPF – Mission AQUARIUS pour le BSAOM Bougainville

Source : Etat-major des armées


Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

publié le Mercredi 08 février 2023

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

© Marine nationale

Le 31 janvier 2023, les Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) ont réalisé une évacuation sanitaire sur l’île de Rapa, évacuation sanitaire pour laquelle une combinaison de ses moyens aériens a été nécessaire.

Réquisitionné par le Haut-Commissariat de la République, les FAPF ont évacué sur l’île de Rapa une femme enceinte pour laquelle les médecins craignaient de sérieuses complications. Située dans l’archipel des Australes, Rapa se trouve à plus de 1200 km de Tahiti et ne dispose pas de piste d’atterrissage. Les Forces Armées en Polynésie Française ont d’abord envoyé un hélicoptère Dauphin. Après avoir décollé un peu avant 11h00, il lui faudra six heures pour arriver à Rapa, un ravitaillement en carburant du Dauphin sur l’île de Raivavae ayant ponctué le vol.

Après plus de 2h de soins et de conditionnement de la patiente, le Dauphin a pu redécoller. Toutefois, vers 22h00, après 11h de mission dont 7 en vol, l’équipage a dû se poser de nouveau à Raivavae où il devra rester sur place pour se reposer jusqu’au lendemain. Mais sur l’aéroport, un Falcon 200 Gardian, arrivé une trentaine de minutes plus tôt, attendait pour prendre le relais. Après le transfert de la patiente à bord de l’aéronef, celui-ci a décollé pour rejoindre directement Tahiti où il arrivera vers 23h30. Une ambulance a pris alors la suite afin d’acheminer la patiente jusqu’au centre hospitalier de Polynésie française.

La mise en place de moyens combinés peut s’avérer essentielle compte tenu de la complexité et de l’étendue de la Polynésie française. De nombreuses îles habitées, à l’image de Rapa, ne disposent pas d’infrastructures pouvant accueillir un avion. Le transit des patients par les moyens aériens conjoints est donc nécessaire à la protection de la population dans une zone d’action comparable à la surface de l’Europe.

Les armées sont entièrement dédiées à la protection du territoire et de la population française, en tout temps et en tout lieu, en métropole comme en outre-mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française
 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Source : Marine nationale

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