Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

publié le Mercredi 08 février 2023

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

© Marine nationale

Le 31 janvier 2023, les Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) ont réalisé une évacuation sanitaire sur l’île de Rapa, évacuation sanitaire pour laquelle une combinaison de ses moyens aériens a été nécessaire.

Réquisitionné par le Haut-Commissariat de la République, les FAPF ont évacué sur l’île de Rapa une femme enceinte pour laquelle les médecins craignaient de sérieuses complications. Située dans l’archipel des Australes, Rapa se trouve à plus de 1200 km de Tahiti et ne dispose pas de piste d’atterrissage. Les Forces Armées en Polynésie Française ont d’abord envoyé un hélicoptère Dauphin. Après avoir décollé un peu avant 11h00, il lui faudra six heures pour arriver à Rapa, un ravitaillement en carburant du Dauphin sur l’île de Raivavae ayant ponctué le vol.

Après plus de 2h de soins et de conditionnement de la patiente, le Dauphin a pu redécoller. Toutefois, vers 22h00, après 11h de mission dont 7 en vol, l’équipage a dû se poser de nouveau à Raivavae où il devra rester sur place pour se reposer jusqu’au lendemain. Mais sur l’aéroport, un Falcon 200 Gardian, arrivé une trentaine de minutes plus tôt, attendait pour prendre le relais. Après le transfert de la patiente à bord de l’aéronef, celui-ci a décollé pour rejoindre directement Tahiti où il arrivera vers 23h30. Une ambulance a pris alors la suite afin d’acheminer la patiente jusqu’au centre hospitalier de Polynésie française.

La mise en place de moyens combinés peut s’avérer essentielle compte tenu de la complexité et de l’étendue de la Polynésie française. De nombreuses îles habitées, à l’image de Rapa, ne disposent pas d’infrastructures pouvant accueillir un avion. Le transit des patients par les moyens aériens conjoints est donc nécessaire à la protection de la population dans une zone d’action comparable à la surface de l’Europe.

Les armées sont entièrement dédiées à la protection du territoire et de la population française, en tout temps et en tout lieu, en métropole comme en outre-mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française
 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Source : Marine nationale


Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

publié le Mercredi 08 février 2023

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

© Marine nationale

Le 31 janvier 2023, les Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) ont réalisé une évacuation sanitaire sur l’île de Rapa, évacuation sanitaire pour laquelle une combinaison de ses moyens aériens a été nécessaire.

Réquisitionné par le Haut-Commissariat de la République, les FAPF ont évacué sur l’île de Rapa une femme enceinte pour laquelle les médecins craignaient de sérieuses complications. Située dans l’archipel des Australes, Rapa se trouve à plus de 1200 km de Tahiti et ne dispose pas de piste d’atterrissage. Les Forces Armées en Polynésie Française ont d’abord envoyé un hélicoptère Dauphin. Après avoir décollé un peu avant 11h00, il lui faudra six heures pour arriver à Rapa, un ravitaillement en carburant du Dauphin sur l’île de Raivavae ayant ponctué le vol.

Après plus de 2h de soins et de conditionnement de la patiente, le Dauphin a pu redécoller. Toutefois, vers 22h00, après 11h de mission dont 7 en vol, l’équipage a dû se poser de nouveau à Raivavae où il devra rester sur place pour se reposer jusqu’au lendemain. Mais sur l’aéroport, un Falcon 200 Gardian, arrivé une trentaine de minutes plus tôt, attendait pour prendre le relais. Après le transfert de la patiente à bord de l’aéronef, celui-ci a décollé pour rejoindre directement Tahiti où il arrivera vers 23h30. Une ambulance a pris alors la suite afin d’acheminer la patiente jusqu’au centre hospitalier de Polynésie française.

La mise en place de moyens combinés peut s’avérer essentielle compte tenu de la complexité et de l’étendue de la Polynésie française. De nombreuses îles habitées, à l’image de Rapa, ne disposent pas d’infrastructures pouvant accueillir un avion. Le transit des patients par les moyens aériens conjoints est donc nécessaire à la protection de la population dans une zone d’action comparable à la surface de l’Europe.

Les armées sont entièrement dédiées à la protection du territoire et de la population française, en tout temps et en tout lieu, en métropole comme en outre-mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française
 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Source : Marine nationale


Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

publié le Mercredi 08 février 2023

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

© Marine nationale

Le 31 janvier 2023, les Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) ont réalisé une évacuation sanitaire sur l’île de Rapa, évacuation sanitaire pour laquelle une combinaison de ses moyens aériens a été nécessaire.

Réquisitionné par le Haut-Commissariat de la République, les FAPF ont évacué sur l’île de Rapa une femme enceinte pour laquelle les médecins craignaient de sérieuses complications. Située dans l’archipel des Australes, Rapa se trouve à plus de 1200 km de Tahiti et ne dispose pas de piste d’atterrissage. Les Forces Armées en Polynésie Française ont d’abord envoyé un hélicoptère Dauphin. Après avoir décollé un peu avant 11h00, il lui faudra six heures pour arriver à Rapa, un ravitaillement en carburant du Dauphin sur l’île de Raivavae ayant ponctué le vol.

Après plus de 2h de soins et de conditionnement de la patiente, le Dauphin a pu redécoller. Toutefois, vers 22h00, après 11h de mission dont 7 en vol, l’équipage a dû se poser de nouveau à Raivavae où il devra rester sur place pour se reposer jusqu’au lendemain. Mais sur l’aéroport, un Falcon 200 Gardian, arrivé une trentaine de minutes plus tôt, attendait pour prendre le relais. Après le transfert de la patiente à bord de l’aéronef, celui-ci a décollé pour rejoindre directement Tahiti où il arrivera vers 23h30. Une ambulance a pris alors la suite afin d’acheminer la patiente jusqu’au centre hospitalier de Polynésie française.

La mise en place de moyens combinés peut s’avérer essentielle compte tenu de la complexité et de l’étendue de la Polynésie française. De nombreuses îles habitées, à l’image de Rapa, ne disposent pas d’infrastructures pouvant accueillir un avion. Le transit des patients par les moyens aériens conjoints est donc nécessaire à la protection de la population dans une zone d’action comparable à la surface de l’Europe.

Les armées sont entièrement dédiées à la protection du territoire et de la population française, en tout temps et en tout lieu, en métropole comme en outre-mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française
 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Source : Marine nationale


Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

publié le Mercredi 08 février 2023

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

© Marine nationale

Le 31 janvier 2023, les Forces Armées en Polynésie Française (FAPF) ont réalisé une évacuation sanitaire sur l’île de Rapa, évacuation sanitaire pour laquelle une combinaison de ses moyens aériens a été nécessaire.

Réquisitionné par le Haut-Commissariat de la République, les FAPF ont évacué sur l’île de Rapa une femme enceinte pour laquelle les médecins craignaient de sérieuses complications. Située dans l’archipel des Australes, Rapa se trouve à plus de 1200 km de Tahiti et ne dispose pas de piste d’atterrissage. Les Forces Armées en Polynésie Française ont d’abord envoyé un hélicoptère Dauphin. Après avoir décollé un peu avant 11h00, il lui faudra six heures pour arriver à Rapa, un ravitaillement en carburant du Dauphin sur l’île de Raivavae ayant ponctué le vol.

Après plus de 2h de soins et de conditionnement de la patiente, le Dauphin a pu redécoller. Toutefois, vers 22h00, après 11h de mission dont 7 en vol, l’équipage a dû se poser de nouveau à Raivavae où il devra rester sur place pour se reposer jusqu’au lendemain. Mais sur l’aéroport, un Falcon 200 Gardian, arrivé une trentaine de minutes plus tôt, attendait pour prendre le relais. Après le transfert de la patiente à bord de l’aéronef, celui-ci a décollé pour rejoindre directement Tahiti où il arrivera vers 23h30. Une ambulance a pris alors la suite afin d’acheminer la patiente jusqu’au centre hospitalier de Polynésie française.

La mise en place de moyens combinés peut s’avérer essentielle compte tenu de la complexité et de l’étendue de la Polynésie française. De nombreuses îles habitées, à l’image de Rapa, ne disposent pas d’infrastructures pouvant accueillir un avion. Le transit des patients par les moyens aériens conjoints est donc nécessaire à la protection de la population dans une zone d’action comparable à la surface de l’Europe.

Les armées sont entièrement dédiées à la protection du territoire et de la population française, en tout temps et en tout lieu, en métropole comme en outre-mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française
 Une évacuation sanitaire complexe en Polynésie française

Source : Marine nationale


FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

publié le Vendredi 03 février 2023

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

© EMA

Le 30 janvier, profitant du passage en escale à Tahiti du patrouilleur des garde-côtes américains Coast Guard Cutter  (CGC) William Hart, les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont réalisé un exercice de recherche et de sauvetage en mer, mobilisant plusieurs de ses aéronefs.

Cette opération complexe a fait appel à des savoir-faire spécifiques. En effet, l’exercice a été coordonné par le Joint Rescue Coordination Center (JRCC) de Tahiti.

Le scénario réaliste a débuté par la perte simulée de contact radio et radar avec un avion de tourisme biplace, l’aéronef ne répondant plus à la tour de contrôle de Faa’a et perdant de l’altitude. Par conséquent, le JRCC de Tahiti a diffusé un relai de détresse, reçu par le CGC William Hart. Le bâtiment américain avait appareillé de Papeete et s’est donc orienté vers la zone de recherche qui lui a été indiquée. En parallèle, le Service d’État de l’aviation civile (SEAC) a dépêché un détachement de liaison au JRCC pour affiner la zone de recherche.

Un Falcon 200 Gardian des FAPF est alors engagé pour localiser et renforcer les moyens de recherche dans la zone de l’accident, afin de retrouver les deux personnes qui se trouvaient à bord de l’aéronef en détresse. Le CGC William Hart et l’avion français sont rentrés en contact pour coordonner leur recherche. La réactivité de la chaine de secours a permis de retrouver l’une des deux victimes simulées, qui sera ramenée à bord du bâtiment américain afin de lui prodiguer les premiers soins. Une fois son état stabilisé, un hélicoptère Dauphin des FAPF a été engagé pour hélitreuiller le survivant et l’évacuer au centre hospitalier de Tahiti pour une prise en charge complète.

Cet exercice de secours maritime mené avec des moyens aéromaritimes internationaux a permis de confirmer l’excellente coordination interservices entre le JRCC de Tahiti, les FAPF et le SEAC. Il démontre également la capacité des forces navales américaines et françaises à mener conjointement des opérations de sauvetage. Dans les outre-mer, les armées apportent régulièrement une aide précieuse aux services de secours, grâce à des moyens techniques et opérationnels déployables sous court préavis.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État
FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

Source : Etat-major des armées


FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

publié le Vendredi 03 février 2023

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

© EMA

Le 30 janvier, profitant du passage en escale à Tahiti du patrouilleur des garde-côtes américains Coast Guard Cutter  (CGC) William Hart, les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont réalisé un exercice de recherche et de sauvetage en mer, mobilisant plusieurs de ses aéronefs.

Cette opération complexe a fait appel à des savoir-faire spécifiques. En effet, l’exercice a été coordonné par le Joint Rescue Coordination Center (JRCC) de Tahiti.

Le scénario réaliste a débuté par la perte simulée de contact radio et radar avec un avion de tourisme biplace, l’aéronef ne répondant plus à la tour de contrôle de Faa’a et perdant de l’altitude. Par conséquent, le JRCC de Tahiti a diffusé un relai de détresse, reçu par le CGC William Hart. Le bâtiment américain avait appareillé de Papeete et s’est donc orienté vers la zone de recherche qui lui a été indiquée. En parallèle, le Service d’État de l’aviation civile (SEAC) a dépêché un détachement de liaison au JRCC pour affiner la zone de recherche.

Un Falcon 200 Gardian des FAPF est alors engagé pour localiser et renforcer les moyens de recherche dans la zone de l’accident, afin de retrouver les deux personnes qui se trouvaient à bord de l’aéronef en détresse. Le CGC William Hart et l’avion français sont rentrés en contact pour coordonner leur recherche. La réactivité de la chaine de secours a permis de retrouver l’une des deux victimes simulées, qui sera ramenée à bord du bâtiment américain afin de lui prodiguer les premiers soins. Une fois son état stabilisé, un hélicoptère Dauphin des FAPF a été engagé pour hélitreuiller le survivant et l’évacuer au centre hospitalier de Tahiti pour une prise en charge complète.

Cet exercice de secours maritime mené avec des moyens aéromaritimes internationaux a permis de confirmer l’excellente coordination interservices entre le JRCC de Tahiti, les FAPF et le SEAC. Il démontre également la capacité des forces navales américaines et françaises à mener conjointement des opérations de sauvetage. Dans les outre-mer, les armées apportent régulièrement une aide précieuse aux services de secours, grâce à des moyens techniques et opérationnels déployables sous court préavis.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État
FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

Source : Etat-major des armées


FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

publié le Vendredi 03 février 2023

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

© EMA

Le 30 janvier, profitant du passage en escale à Tahiti du patrouilleur des garde-côtes américains Coast Guard Cutter  (CGC) William Hart, les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont réalisé un exercice de recherche et de sauvetage en mer, mobilisant plusieurs de ses aéronefs.

Cette opération complexe a fait appel à des savoir-faire spécifiques. En effet, l’exercice a été coordonné par le Joint Rescue Coordination Center (JRCC) de Tahiti.

Le scénario réaliste a débuté par la perte simulée de contact radio et radar avec un avion de tourisme biplace, l’aéronef ne répondant plus à la tour de contrôle de Faa’a et perdant de l’altitude. Par conséquent, le JRCC de Tahiti a diffusé un relai de détresse, reçu par le CGC William Hart. Le bâtiment américain avait appareillé de Papeete et s’est donc orienté vers la zone de recherche qui lui a été indiquée. En parallèle, le Service d’État de l’aviation civile (SEAC) a dépêché un détachement de liaison au JRCC pour affiner la zone de recherche.

Un Falcon 200 Gardian des FAPF est alors engagé pour localiser et renforcer les moyens de recherche dans la zone de l’accident, afin de retrouver les deux personnes qui se trouvaient à bord de l’aéronef en détresse. Le CGC William Hart et l’avion français sont rentrés en contact pour coordonner leur recherche. La réactivité de la chaine de secours a permis de retrouver l’une des deux victimes simulées, qui sera ramenée à bord du bâtiment américain afin de lui prodiguer les premiers soins. Une fois son état stabilisé, un hélicoptère Dauphin des FAPF a été engagé pour hélitreuiller le survivant et l’évacuer au centre hospitalier de Tahiti pour une prise en charge complète.

Cet exercice de secours maritime mené avec des moyens aéromaritimes internationaux a permis de confirmer l’excellente coordination interservices entre le JRCC de Tahiti, les FAPF et le SEAC. Il démontre également la capacité des forces navales américaines et françaises à mener conjointement des opérations de sauvetage. Dans les outre-mer, les armées apportent régulièrement une aide précieuse aux services de secours, grâce à des moyens techniques et opérationnels déployables sous court préavis.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État
FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

Source : Etat-major des armées


FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

publié le Vendredi 03 février 2023

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

© EMA

Le 30 janvier, profitant du passage en escale à Tahiti du patrouilleur des garde-côtes américains Coast Guard Cutter  (CGC) William Hart, les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont réalisé un exercice de recherche et de sauvetage en mer, mobilisant plusieurs de ses aéronefs.

Cette opération complexe a fait appel à des savoir-faire spécifiques. En effet, l’exercice a été coordonné par le Joint Rescue Coordination Center (JRCC) de Tahiti.

Le scénario réaliste a débuté par la perte simulée de contact radio et radar avec un avion de tourisme biplace, l’aéronef ne répondant plus à la tour de contrôle de Faa’a et perdant de l’altitude. Par conséquent, le JRCC de Tahiti a diffusé un relai de détresse, reçu par le CGC William Hart. Le bâtiment américain avait appareillé de Papeete et s’est donc orienté vers la zone de recherche qui lui a été indiquée. En parallèle, le Service d’État de l’aviation civile (SEAC) a dépêché un détachement de liaison au JRCC pour affiner la zone de recherche.

Un Falcon 200 Gardian des FAPF est alors engagé pour localiser et renforcer les moyens de recherche dans la zone de l’accident, afin de retrouver les deux personnes qui se trouvaient à bord de l’aéronef en détresse. Le CGC William Hart et l’avion français sont rentrés en contact pour coordonner leur recherche. La réactivité de la chaine de secours a permis de retrouver l’une des deux victimes simulées, qui sera ramenée à bord du bâtiment américain afin de lui prodiguer les premiers soins. Une fois son état stabilisé, un hélicoptère Dauphin des FAPF a été engagé pour hélitreuiller le survivant et l’évacuer au centre hospitalier de Tahiti pour une prise en charge complète.

Cet exercice de secours maritime mené avec des moyens aéromaritimes internationaux a permis de confirmer l’excellente coordination interservices entre le JRCC de Tahiti, les FAPF et le SEAC. Il démontre également la capacité des forces navales américaines et françaises à mener conjointement des opérations de sauvetage. Dans les outre-mer, les armées apportent régulièrement une aide précieuse aux services de secours, grâce à des moyens techniques et opérationnels déployables sous court préavis.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État
FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

Source : Etat-major des armées


FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

publié le Vendredi 03 février 2023

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

© EMA

Le 30 janvier, profitant du passage en escale à Tahiti du patrouilleur des garde-côtes américains Coast Guard Cutter  (CGC) William Hart, les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont réalisé un exercice de recherche et de sauvetage en mer, mobilisant plusieurs de ses aéronefs.

Cette opération complexe a fait appel à des savoir-faire spécifiques. En effet, l’exercice a été coordonné par le Joint Rescue Coordination Center (JRCC) de Tahiti.

Le scénario réaliste a débuté par la perte simulée de contact radio et radar avec un avion de tourisme biplace, l’aéronef ne répondant plus à la tour de contrôle de Faa’a et perdant de l’altitude. Par conséquent, le JRCC de Tahiti a diffusé un relai de détresse, reçu par le CGC William Hart. Le bâtiment américain avait appareillé de Papeete et s’est donc orienté vers la zone de recherche qui lui a été indiquée. En parallèle, le Service d’État de l’aviation civile (SEAC) a dépêché un détachement de liaison au JRCC pour affiner la zone de recherche.

Un Falcon 200 Gardian des FAPF est alors engagé pour localiser et renforcer les moyens de recherche dans la zone de l’accident, afin de retrouver les deux personnes qui se trouvaient à bord de l’aéronef en détresse. Le CGC William Hart et l’avion français sont rentrés en contact pour coordonner leur recherche. La réactivité de la chaine de secours a permis de retrouver l’une des deux victimes simulées, qui sera ramenée à bord du bâtiment américain afin de lui prodiguer les premiers soins. Une fois son état stabilisé, un hélicoptère Dauphin des FAPF a été engagé pour hélitreuiller le survivant et l’évacuer au centre hospitalier de Tahiti pour une prise en charge complète.

Cet exercice de secours maritime mené avec des moyens aéromaritimes internationaux a permis de confirmer l’excellente coordination interservices entre le JRCC de Tahiti, les FAPF et le SEAC. Il démontre également la capacité des forces navales américaines et françaises à mener conjointement des opérations de sauvetage. Dans les outre-mer, les armées apportent régulièrement une aide précieuse aux services de secours, grâce à des moyens techniques et opérationnels déployables sous court préavis.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État
FAPF – Exercice de sauvetage maritime avec les US Coast Guards et les services de l’État

Source : Etat-major des armées


Entraînement franco-chilien pour le Prairial

publié le Lundi 28 novembre 2022

 Entraînement franco-chilien pour le Prairial

Entraînement franco-chilien pour le Prairial

© Marine nationale

Le 24 novembre 2022, dans le cadre de sa patrouille dans le sud Est du Pacifique, la frégate de surveillance Prairial a réalisé un exercice (PASSEX) avec le patrouilleur Commandante Policarpo Toro de la Marine chilienne, au large de Valparaiso.

Les deux bâtiments ont ainsi effectué plusieurs types d’interactions : rencontre coordonnée en mer, échange d’informations tactiques ainsi que des manœuvres conjointes, avant de se saluer et de reprendre chacun le fil de leur mission.

Cet exercice bilatéral a permis d’entretenir l’interopérabilité entre nos deux pays via l’établissement de procédures conjointes et de démontrer l’excellente coopération entre nos marines.

Les FAPF entretiennent des relations régulières avec les forces armées chiliennes. Lors de l’exercice RIMPAC 2022, le Prairial avait pu partager ses données tactiques via la L22 avec la frégate Admirante Lynch. Cette dernière avait également réalisé des exercices avec le BSAOM Bougainville et un Falcon 200 Gardian de la 25F à l’occasion de son escale en Polynésie.

L’accord passé entre les deux pays en matière de surveillance maritime permet une coopération efficace mise en œuvre par le Prairial lors de son passage dans les ZEE chilienne. La bonne coopération entre partenaire et la régularité de ces échanges contribue à la sécurité du Pacifique.

 Entraînement franco-chilien pour le Prairial
 Entraînement franco-chilien pour le Prairial
 Entraînement franco-chilien pour le Prairial

Source : Marine nationale

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