FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

publié le Lundi 20 mars 2023

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

© EMA

Le 17 mars 2023, la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte a rallié Toulon, son port-base, après plus de trois mois de déploiement opérationnel en océan Indien et un bilan particulièrement riche, avec notamment environ quatre tonnes de drogue saisies.

Placée en soutien direct de l’opération AGÉNOR, la FLF Guépratte a participé activement à la surveillance du trafic maritime dans le détroit d’Ormuz ainsi qu’à la protection des intérêts français dans le golfe Arabo-Persique et le golfe d’Oman. Le Guépratte a contribué à l’appréciation de la situation dans la région et à assurer la liberté de navigation maritime sur une route commerciale majeure, en réalisant une dizaine de missions de surveillances dans le détroit d’Ormuz.

Des actions de coopération opérationnelle et d’échanges de savoir-faire ont également été menées avec les marines des partenaires régionaux de la France, que ce soit les forces armées qatariennes, ou avec les marines européennes contribuant à AGÉNOR, à l’instar d’un entrainement conjoint avec le patrouilleur hauturier polyvalent italien Thaon di Revel.

La FLF Guépratte a également été intégrée à la Combined Task Force (CTF) 150, force opérationnelle et multinationale de lutte contre les trafics illicites dans la région. Dans ce cadre, le 27 décembre 2022, l’équipage a intercepté un boutre transportant près de 500 kg d’héroïne et près de 4 tonnes de cannabis. Ces drogues, dont le montant total est estimé à 50 millions d’euros, ont ainsi été retirées des réseaux criminels et terroristes qui déstabilisent la région.

En Méditerranée comme en océan Indien, le Guépratte a ponctuellement été intégré au Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, alors en mission ANTARÈS. Il a également réalisé un exercice de projection avec un détachement du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de l’Atlantique, déployé sur le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, constituant le Groupe de guerre des mines 23 (GGD23), actuellement déployé dans le golfe Arabo-Persique.

L’opération AGÉNOR est le volet militaire de l’initiative « European-led Maritime Awareness in the Straight of Hormuz ». EMASoH est soutenue politiquement par 9 pays européens, dont la France, principal contributeur. Depuis janvier 2023, l’opération est commandée par la Belgique et l’amiral de flottille Renaud Flamant. »

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien
 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

Source : Etat-major des armées


FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

publié le Lundi 20 mars 2023

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

© EMA

Le 17 mars 2023, la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte a rallié Toulon, son port-base, après plus de trois mois de déploiement opérationnel en océan Indien et un bilan particulièrement riche, avec notamment environ quatre tonnes de drogue saisies.

Placée en soutien direct de l’opération AGÉNOR, la FLF Guépratte a participé activement à la surveillance du trafic maritime dans le détroit d’Ormuz ainsi qu’à la protection des intérêts français dans le golfe Arabo-Persique et le golfe d’Oman. Le Guépratte a contribué à l’appréciation de la situation dans la région et à assurer la liberté de navigation maritime sur une route commerciale majeure, en réalisant une dizaine de missions de surveillances dans le détroit d’Ormuz.

Des actions de coopération opérationnelle et d’échanges de savoir-faire ont également été menées avec les marines des partenaires régionaux de la France, que ce soit les forces armées qatariennes, ou avec les marines européennes contribuant à AGÉNOR, à l’instar d’un entrainement conjoint avec le patrouilleur hauturier polyvalent italien Thaon di Revel.

La FLF Guépratte a également été intégrée à la Combined Task Force (CTF) 150, force opérationnelle et multinationale de lutte contre les trafics illicites dans la région. Dans ce cadre, le 27 décembre 2022, l’équipage a intercepté un boutre transportant près de 500 kg d’héroïne et près de 4 tonnes de cannabis. Ces drogues, dont le montant total est estimé à 50 millions d’euros, ont ainsi été retirées des réseaux criminels et terroristes qui déstabilisent la région.

En Méditerranée comme en océan Indien, le Guépratte a ponctuellement été intégré au Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, alors en mission ANTARÈS. Il a également réalisé un exercice de projection avec un détachement du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de l’Atlantique, déployé sur le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, constituant le Groupe de guerre des mines 23 (GGD23), actuellement déployé dans le golfe Arabo-Persique.

L’opération AGÉNOR est le volet militaire de l’initiative « European-led Maritime Awareness in the Straight of Hormuz ». EMASoH est soutenue politiquement par 9 pays européens, dont la France, principal contributeur. Depuis janvier 2023, l’opération est commandée par la Belgique et l’amiral de flottille Renaud Flamant. »

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien
 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

Source : Etat-major des armées


FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

publié le Lundi 20 mars 2023

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

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© EMA

Le 17 mars 2023, la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte a rallié Toulon, son port-base, après plus de trois mois de déploiement opérationnel en océan Indien et un bilan particulièrement riche, avec notamment environ quatre tonnes de drogue saisies.

Placée en soutien direct de l’opération AGÉNOR, la FLF Guépratte a participé activement à la surveillance du trafic maritime dans le détroit d’Ormuz ainsi qu’à la protection des intérêts français dans le golfe Arabo-Persique et le golfe d’Oman. Le Guépratte a contribué à l’appréciation de la situation dans la région et à assurer la liberté de navigation maritime sur une route commerciale majeure, en réalisant une dizaine de missions de surveillances dans le détroit d’Ormuz.

Des actions de coopération opérationnelle et d’échanges de savoir-faire ont également été menées avec les marines des partenaires régionaux de la France, que ce soit les forces armées qatariennes, ou avec les marines européennes contribuant à AGÉNOR, à l’instar d’un entrainement conjoint avec le patrouilleur hauturier polyvalent italien Thaon di Revel.

La FLF Guépratte a également été intégrée à la Combined Task Force (CTF) 150, force opérationnelle et multinationale de lutte contre les trafics illicites dans la région. Dans ce cadre, le 27 décembre 2022, l’équipage a intercepté un boutre transportant près de 500 kg d’héroïne et près de 4 tonnes de cannabis. Ces drogues, dont le montant total est estimé à 50 millions d’euros, ont ainsi été retirées des réseaux criminels et terroristes qui déstabilisent la région.

En Méditerranée comme en océan Indien, le Guépratte a ponctuellement été intégré au Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, alors en mission ANTARÈS. Il a également réalisé un exercice de projection avec un détachement du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de l’Atlantique, déployé sur le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, constituant le Groupe de guerre des mines 23 (GGD23), actuellement déployé dans le golfe Arabo-Persique.

L’opération AGÉNOR est le volet militaire de l’initiative « European-led Maritime Awareness in the Straight of Hormuz ». EMASoH est soutenue politiquement par 9 pays européens, dont la France, principal contributeur. Depuis janvier 2023, l’opération est commandée par la Belgique et l’amiral de flottille Renaud Flamant. »

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Source : Etat-major des armées


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publié le Lundi 20 mars 2023

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Le 17 mars 2023, la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte a rallié Toulon, son port-base, après plus de trois mois de déploiement opérationnel en océan Indien et un bilan particulièrement riche, avec notamment environ quatre tonnes de drogue saisies.

Placée en soutien direct de l’opération AGÉNOR, la FLF Guépratte a participé activement à la surveillance du trafic maritime dans le détroit d’Ormuz ainsi qu’à la protection des intérêts français dans le golfe Arabo-Persique et le golfe d’Oman. Le Guépratte a contribué à l’appréciation de la situation dans la région et à assurer la liberté de navigation maritime sur une route commerciale majeure, en réalisant une dizaine de missions de surveillances dans le détroit d’Ormuz.

Des actions de coopération opérationnelle et d’échanges de savoir-faire ont également été menées avec les marines des partenaires régionaux de la France, que ce soit les forces armées qatariennes, ou avec les marines européennes contribuant à AGÉNOR, à l’instar d’un entrainement conjoint avec le patrouilleur hauturier polyvalent italien Thaon di Revel.

La FLF Guépratte a également été intégrée à la Combined Task Force (CTF) 150, force opérationnelle et multinationale de lutte contre les trafics illicites dans la région. Dans ce cadre, le 27 décembre 2022, l’équipage a intercepté un boutre transportant près de 500 kg d’héroïne et près de 4 tonnes de cannabis. Ces drogues, dont le montant total est estimé à 50 millions d’euros, ont ainsi été retirées des réseaux criminels et terroristes qui déstabilisent la région.

En Méditerranée comme en océan Indien, le Guépratte a ponctuellement été intégré au Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, alors en mission ANTARÈS. Il a également réalisé un exercice de projection avec un détachement du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de l’Atlantique, déployé sur le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, constituant le Groupe de guerre des mines 23 (GGD23), actuellement déployé dans le golfe Arabo-Persique.

L’opération AGÉNOR est le volet militaire de l’initiative « European-led Maritime Awareness in the Straight of Hormuz ». EMASoH est soutenue politiquement par 9 pays européens, dont la France, principal contributeur. Depuis janvier 2023, l’opération est commandée par la Belgique et l’amiral de flottille Renaud Flamant. »

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien
 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

Source : Etat-major des armées


FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

publié le Lundi 20 mars 2023

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

© EMA

Le 17 mars 2023, la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte a rallié Toulon, son port-base, après plus de trois mois de déploiement opérationnel en océan Indien et un bilan particulièrement riche, avec notamment environ quatre tonnes de drogue saisies.

Placée en soutien direct de l’opération AGÉNOR, la FLF Guépratte a participé activement à la surveillance du trafic maritime dans le détroit d’Ormuz ainsi qu’à la protection des intérêts français dans le golfe Arabo-Persique et le golfe d’Oman. Le Guépratte a contribué à l’appréciation de la situation dans la région et à assurer la liberté de navigation maritime sur une route commerciale majeure, en réalisant une dizaine de missions de surveillances dans le détroit d’Ormuz.

Des actions de coopération opérationnelle et d’échanges de savoir-faire ont également été menées avec les marines des partenaires régionaux de la France, que ce soit les forces armées qatariennes, ou avec les marines européennes contribuant à AGÉNOR, à l’instar d’un entrainement conjoint avec le patrouilleur hauturier polyvalent italien Thaon di Revel.

La FLF Guépratte a également été intégrée à la Combined Task Force (CTF) 150, force opérationnelle et multinationale de lutte contre les trafics illicites dans la région. Dans ce cadre, le 27 décembre 2022, l’équipage a intercepté un boutre transportant près de 500 kg d’héroïne et près de 4 tonnes de cannabis. Ces drogues, dont le montant total est estimé à 50 millions d’euros, ont ainsi été retirées des réseaux criminels et terroristes qui déstabilisent la région.

En Méditerranée comme en océan Indien, le Guépratte a ponctuellement été intégré au Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, alors en mission ANTARÈS. Il a également réalisé un exercice de projection avec un détachement du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de l’Atlantique, déployé sur le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, constituant le Groupe de guerre des mines 23 (GGD23), actuellement déployé dans le golfe Arabo-Persique.

L’opération AGÉNOR est le volet militaire de l’initiative « European-led Maritime Awareness in the Straight of Hormuz ». EMASoH est soutenue politiquement par 9 pays européens, dont la France, principal contributeur. Depuis janvier 2023, l’opération est commandée par la Belgique et l’amiral de flottille Renaud Flamant. »

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien
 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

Source : Etat-major des armées


FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

publié le Lundi 20 mars 2023

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

© EMA

Le 17 mars 2023, la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte a rallié Toulon, son port-base, après plus de trois mois de déploiement opérationnel en océan Indien et un bilan particulièrement riche, avec notamment environ quatre tonnes de drogue saisies.

Placée en soutien direct de l’opération AGÉNOR, la FLF Guépratte a participé activement à la surveillance du trafic maritime dans le détroit d’Ormuz ainsi qu’à la protection des intérêts français dans le golfe Arabo-Persique et le golfe d’Oman. Le Guépratte a contribué à l’appréciation de la situation dans la région et à assurer la liberté de navigation maritime sur une route commerciale majeure, en réalisant une dizaine de missions de surveillances dans le détroit d’Ormuz.

Des actions de coopération opérationnelle et d’échanges de savoir-faire ont également été menées avec les marines des partenaires régionaux de la France, que ce soit les forces armées qatariennes, ou avec les marines européennes contribuant à AGÉNOR, à l’instar d’un entrainement conjoint avec le patrouilleur hauturier polyvalent italien Thaon di Revel.

La FLF Guépratte a également été intégrée à la Combined Task Force (CTF) 150, force opérationnelle et multinationale de lutte contre les trafics illicites dans la région. Dans ce cadre, le 27 décembre 2022, l’équipage a intercepté un boutre transportant près de 500 kg d’héroïne et près de 4 tonnes de cannabis. Ces drogues, dont le montant total est estimé à 50 millions d’euros, ont ainsi été retirées des réseaux criminels et terroristes qui déstabilisent la région.

En Méditerranée comme en océan Indien, le Guépratte a ponctuellement été intégré au Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, alors en mission ANTARÈS. Il a également réalisé un exercice de projection avec un détachement du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de l’Atlantique, déployé sur le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, constituant le Groupe de guerre des mines 23 (GGD23), actuellement déployé dans le golfe Arabo-Persique.

L’opération AGÉNOR est le volet militaire de l’initiative « European-led Maritime Awareness in the Straight of Hormuz ». EMASoH est soutenue politiquement par 9 pays européens, dont la France, principal contributeur. Depuis janvier 2023, l’opération est commandée par la Belgique et l’amiral de flottille Renaud Flamant. »

 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien
 FFEAU – La FLF Guépratte de retour à Toulon après trois mois de mission en océan Indien

Source : Etat-major des armées


FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

publié le Jeudi 16 mars 2023

 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

© EMA

Depuis le 26 février et pendant 3 semaines, l’exercice maritime international IMX23 de guerre des mines, organisé par USNAVCENT [1], se déroule en mer Rouge, en océan Indien et dans le golfe Arabo-Persique. Rassemblant plus de 50 nations et organisations multinationales, totalisant plus de 10 000 militaires, 37 navires et plusieurs dizaines de systèmes de drones, IMX 23 est l’un des plus grands exercices maritimes au monde.

[1] US Naval Forces Central Command basé à Manama (Bahreïn)

Articulés autour de scénarios tactiques de guerre des mines, de sécurité maritime et d’interdiction navale, les objectifs de IMX 23 sont de renforcer l’interopérabilité des nations participantes et de contribuer à la stabilité régionale. Les enjeux majeurs résident dans le maintien de la liberté de navigation et la libre-circulation du commerce maritime dans la zone d’exercice.

Sous les ordres de la Combined Task Force 52 [1], l’état-major de guerre des mines français assume le commandement du Task Group de guerre des mines expéditionnaires. À cette occasion, il est renforcé par des marins de la Flottille de lutte contre les mines (FLCM), experts en drones sous-marins, et de marins néo-zélandais.

Ce Task Group est positionné à Manama, capitale de Bahreïn. Il regroupe des détachements américains, britanniques, français - avec le Groupe de plongeurs-démineurs (GPD) Atlantique - japonais et émiriens, mettant en œuvre des drones sous-marins [2], des ROV [3] et des détachements GPD.

Pour les armées françaises, la participation à cet exercice revêt plusieurs enjeux. Tout d’abord, améliorer et renforcer son interopérabilité avec les autres composantes de guerre des mines alliées, mais également poursuivre sa montée en puissance dans l’emploi tactique des drones du programme SLAM-f [4]. Véritable laboratoire d’expérimentations pour la mise en œuvre des drones, IMX23 permet de réfléchir sur les tactiques de demain, de progresser dans la préparation et la planification des missions, dans la gestion des drones en opération de guerre des mines, mais également, dans la récupération et le traitement efficace des données collectées.

Au-delà de son implication reconnue dans le domaine guerre des mines, la France assume un rôle clé dans le commandement au cours de cette nouvelle édition d’IMX, en assumant la fonction de Deputy Commander.

Pour rappel, le détachement GPD opère jusqu’à 80 mètres de profondeur, sur le territoire national comme en opérations extérieures, pour des missions de neutralisation d’engins explosifs, de guerre des mines et de sécurisation des approches maritimes. Au quotidien, les militaires du GPD garantissent la protection du territoire en maintenant des alertes permanentes pour intervenir sur tous types d’engins explosifs, conventionnels comme improvisés. Éléments indispensables aux opérations de combat aéromaritime, ils sont rapidement projetables et interviennent sur les théâtres extérieurs pour des actions de guerre des mines, de déminage portuaire ainsi qu’en protection des bâtiments de combat.

Les Forces françaises stationnées aux Émirats arabes unis (FFEAU) appuient les moyens militaires français déployés dans le golfe Arabo-Persique et le nord de l’océan Indien. Les FFEAU co-organisent régulièrement des instructions adaptées aux besoins des pays partenaires de leur zone de responsabilité permanente, notamment dans les domaines du combat désertique et en zone urbaine moyen-orientale. Environ 650 militaires composent ce dispositif interarmées essentiel pour la mise en œuvre de la politique de défense de la France et le dynamisme des relations militaires bilatérales avec les pays de la zone.

[1] US Task Force de lutte contre les mines

[2] UUV : Unmanned Underwater Vehicle

[3] Remote Operated Vehicle

[4] Système de Lutte Anti – Mines du Futur

 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23
 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

Source : Etat-major des armées


FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

publié le Jeudi 16 mars 2023

 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

© EMA

Depuis le 26 février et pendant 3 semaines, l’exercice maritime international IMX23 de guerre des mines, organisé par USNAVCENT [1], se déroule en mer Rouge, en océan Indien et dans le golfe Arabo-Persique. Rassemblant plus de 50 nations et organisations multinationales, totalisant plus de 10 000 militaires, 37 navires et plusieurs dizaines de systèmes de drones, IMX 23 est l’un des plus grands exercices maritimes au monde.

[1] US Naval Forces Central Command basé à Manama (Bahreïn)

Articulés autour de scénarios tactiques de guerre des mines, de sécurité maritime et d’interdiction navale, les objectifs de IMX 23 sont de renforcer l’interopérabilité des nations participantes et de contribuer à la stabilité régionale. Les enjeux majeurs résident dans le maintien de la liberté de navigation et la libre-circulation du commerce maritime dans la zone d’exercice.

Sous les ordres de la Combined Task Force 52 [1], l’état-major de guerre des mines français assume le commandement du Task Group de guerre des mines expéditionnaires. À cette occasion, il est renforcé par des marins de la Flottille de lutte contre les mines (FLCM), experts en drones sous-marins, et de marins néo-zélandais.

Ce Task Group est positionné à Manama, capitale de Bahreïn. Il regroupe des détachements américains, britanniques, français - avec le Groupe de plongeurs-démineurs (GPD) Atlantique - japonais et émiriens, mettant en œuvre des drones sous-marins [2], des ROV [3] et des détachements GPD.

Pour les armées françaises, la participation à cet exercice revêt plusieurs enjeux. Tout d’abord, améliorer et renforcer son interopérabilité avec les autres composantes de guerre des mines alliées, mais également poursuivre sa montée en puissance dans l’emploi tactique des drones du programme SLAM-f [4]. Véritable laboratoire d’expérimentations pour la mise en œuvre des drones, IMX23 permet de réfléchir sur les tactiques de demain, de progresser dans la préparation et la planification des missions, dans la gestion des drones en opération de guerre des mines, mais également, dans la récupération et le traitement efficace des données collectées.

Au-delà de son implication reconnue dans le domaine guerre des mines, la France assume un rôle clé dans le commandement au cours de cette nouvelle édition d’IMX, en assumant la fonction de Deputy Commander.

Pour rappel, le détachement GPD opère jusqu’à 80 mètres de profondeur, sur le territoire national comme en opérations extérieures, pour des missions de neutralisation d’engins explosifs, de guerre des mines et de sécurisation des approches maritimes. Au quotidien, les militaires du GPD garantissent la protection du territoire en maintenant des alertes permanentes pour intervenir sur tous types d’engins explosifs, conventionnels comme improvisés. Éléments indispensables aux opérations de combat aéromaritime, ils sont rapidement projetables et interviennent sur les théâtres extérieurs pour des actions de guerre des mines, de déminage portuaire ainsi qu’en protection des bâtiments de combat.

Les Forces françaises stationnées aux Émirats arabes unis (FFEAU) appuient les moyens militaires français déployés dans le golfe Arabo-Persique et le nord de l’océan Indien. Les FFEAU co-organisent régulièrement des instructions adaptées aux besoins des pays partenaires de leur zone de responsabilité permanente, notamment dans les domaines du combat désertique et en zone urbaine moyen-orientale. Environ 650 militaires composent ce dispositif interarmées essentiel pour la mise en œuvre de la politique de défense de la France et le dynamisme des relations militaires bilatérales avec les pays de la zone.

[1] US Task Force de lutte contre les mines

[2] UUV : Unmanned Underwater Vehicle

[3] Remote Operated Vehicle

[4] Système de Lutte Anti – Mines du Futur

 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23
 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

Source : Etat-major des armées


FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

publié le Jeudi 16 mars 2023

 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

© EMA

Depuis le 26 février et pendant 3 semaines, l’exercice maritime international IMX23 de guerre des mines, organisé par USNAVCENT [1], se déroule en mer Rouge, en océan Indien et dans le golfe Arabo-Persique. Rassemblant plus de 50 nations et organisations multinationales, totalisant plus de 10 000 militaires, 37 navires et plusieurs dizaines de systèmes de drones, IMX 23 est l’un des plus grands exercices maritimes au monde.

[1] US Naval Forces Central Command basé à Manama (Bahreïn)

Articulés autour de scénarios tactiques de guerre des mines, de sécurité maritime et d’interdiction navale, les objectifs de IMX 23 sont de renforcer l’interopérabilité des nations participantes et de contribuer à la stabilité régionale. Les enjeux majeurs résident dans le maintien de la liberté de navigation et la libre-circulation du commerce maritime dans la zone d’exercice.

Sous les ordres de la Combined Task Force 52 [1], l’état-major de guerre des mines français assume le commandement du Task Group de guerre des mines expéditionnaires. À cette occasion, il est renforcé par des marins de la Flottille de lutte contre les mines (FLCM), experts en drones sous-marins, et de marins néo-zélandais.

Ce Task Group est positionné à Manama, capitale de Bahreïn. Il regroupe des détachements américains, britanniques, français - avec le Groupe de plongeurs-démineurs (GPD) Atlantique - japonais et émiriens, mettant en œuvre des drones sous-marins [2], des ROV [3] et des détachements GPD.

Pour les armées françaises, la participation à cet exercice revêt plusieurs enjeux. Tout d’abord, améliorer et renforcer son interopérabilité avec les autres composantes de guerre des mines alliées, mais également poursuivre sa montée en puissance dans l’emploi tactique des drones du programme SLAM-f [4]. Véritable laboratoire d’expérimentations pour la mise en œuvre des drones, IMX23 permet de réfléchir sur les tactiques de demain, de progresser dans la préparation et la planification des missions, dans la gestion des drones en opération de guerre des mines, mais également, dans la récupération et le traitement efficace des données collectées.

Au-delà de son implication reconnue dans le domaine guerre des mines, la France assume un rôle clé dans le commandement au cours de cette nouvelle édition d’IMX, en assumant la fonction de Deputy Commander.

Pour rappel, le détachement GPD opère jusqu’à 80 mètres de profondeur, sur le territoire national comme en opérations extérieures, pour des missions de neutralisation d’engins explosifs, de guerre des mines et de sécurisation des approches maritimes. Au quotidien, les militaires du GPD garantissent la protection du territoire en maintenant des alertes permanentes pour intervenir sur tous types d’engins explosifs, conventionnels comme improvisés. Éléments indispensables aux opérations de combat aéromaritime, ils sont rapidement projetables et interviennent sur les théâtres extérieurs pour des actions de guerre des mines, de déminage portuaire ainsi qu’en protection des bâtiments de combat.

Les Forces françaises stationnées aux Émirats arabes unis (FFEAU) appuient les moyens militaires français déployés dans le golfe Arabo-Persique et le nord de l’océan Indien. Les FFEAU co-organisent régulièrement des instructions adaptées aux besoins des pays partenaires de leur zone de responsabilité permanente, notamment dans les domaines du combat désertique et en zone urbaine moyen-orientale. Environ 650 militaires composent ce dispositif interarmées essentiel pour la mise en œuvre de la politique de défense de la France et le dynamisme des relations militaires bilatérales avec les pays de la zone.

[1] US Task Force de lutte contre les mines

[2] UUV : Unmanned Underwater Vehicle

[3] Remote Operated Vehicle

[4] Système de Lutte Anti – Mines du Futur

 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23
 FFEAU – Le groupement de plongeurs-démineurs Atlantique participe à l’exercice maritime international IMX 23

Source : Etat-major des armées


Mission JEANNE D’ARC 23 – Exercice conjoint franco-indien FRINJEX 2023

publié le Mardi 14 mars 2023

 Mission JEANNE D’ARC 23 – Exercice conjoint franco-indien FRINJEX 2023

Mission JEANNE D’ARC 23 – Exercice conjoint franco-indien FRINJEX 2023

© EMA

Du 6 au 9 mars, dès l’accostage du Porte-hélicoptères amphibie Dixmude à Cochin en Inde, les soldats du Groupement tactique embarqué (GTE) de la mission Jeanne d’Arc 23 ont rejoint la 91ème brigade d’infanterie indienne à Trivandrum pour l’exercice FRINJEX 23.

Pendant quatre jours, les militaires indiens et français ont partagé leurs savoir-faire et développé leur interopérabilité au cours d’activités militaires conjointes.

À l’issue d’une cérémonie d’ouverture présidée par le général de brigade Lalit Sharma, commandant la 91ème brigade d’infanterie et la région militaire du Kerala, les militaires français ont pris part à une série de démonstrations et d’ateliers illustrant les capacités d’intervention de leurs homologues indiens. Les journées étaient organisées autour de plusieurs domaines : mise en place d’un camp de réfugiés, intervention en terrain miné, survie en jungle, combat en zone urbaine ou encore secourisme au combat. En outre, les soldats indiens et français ont effectué des exercices de tir à courte et longue distance, une marche en zone équatoriale et un parcours collectif d’aguerrissement.

Les soldats du GTE, issus de la 6ème Brigade légère blindée, ont également présenté quelques-uns de leurs savoir-faire, tels que le combat urbain pour la 13ème Demi-Brigade de Légion étrangère et le secourisme au combat pour le 1er Régiment de Spahis.

Cet exercice inédit pour les armées de terre française et indienne vient consolider et enrichir un partenariat stratégique militaire particulièrement dynamique entre les armées françaises et indiennes depuis 1998.

Cette séquence a permis aux militaires français et indiens de renforcer leur connaissance des procédures opérationnelles mutuelles et d’améliorer leurs techniques de combat conjointes afin de gagner en interopérabilité.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

Lien vers le dossier de presse JDA

 Mission JEANNE D’ARC 23 – Exercice conjoint franco-indien FRINJEX 2023
 Mission JEANNE D’ARC 23 – Exercice conjoint franco-indien FRINJEX 2023

Source : Etat-major des armées

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