FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

publié le Jeudi 16 mars 2023

 Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

© EMA

Du 13 au 14 mars dans le golfe du Bengale, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont conduit l’exercice multinational LAPEROUSE avec 6 autres bâtiments de combat : américain, australien, britannique, indien et japonais ainsi qu’un État-major de la marine canadienne. Pendant 48 heures, les équipages ont réalisé différentes manœuvres tactiques de haut niveau pour renforcer leur interopérabilité.

Les premières manœuvres ont débuté le 13 mars en engageant PHA Dixmude, la Frégate La Fayette, les frégates indienne INS Sahyadri, INS Jyoti, la frégate américaine USS Charleston, l’HMS Tamar, la frégate anglaise HMAS Perth et la frégate japonaise JS Suzutsuki. Les manœuvres ont débuté par un ravitaillement à la mer entre l’INS Jyoti et l’HMAS Perth tandis que le PHA Dixmude, le JS Suzutsuki et l’HMS Tamar ont mené des exercices d’évolution tactiques.

Les entraînements se sont poursuivis avec des tirs sur cibles flottantes et une série d’appontages croisés entre les hélicoptères embarqués sur les différents bâtiments : les hélicoptères Dauphin et Gazelle du groupe Jeanne d’Arc 2023, l’Alouette III de l’INS Sahyadri, le MH160 de l’USS Charleston et le SH160 du JS Suzutsuki. La première journée s’est conclue par un entraînement de lutte anti-aérienne conduit par les marins des différentes nations.

Le lendemain, les unités ont conduit des exercices de défense aérienne et des manœuvres aviation entre les hélicoptères et les bâtiments du groupe, avant de conclure par un exercice d’évolution tactique avancé en force constituée, sous la surveillance d’un avion de patrouille maritime Indien P8. À l’issue, les commandants des différentes unités intégrées à l’exercice LAPEROUSE se sont retrouvés à bord du PHA Dixmude pour un moment d’échange.

En l’espace de 48h, une dizaine de séquences d’entraînements ont été réalisée comprenant notamment une vingtaine d’appontages croisés. Ces interactions ont démontré un haut niveau de coopération et ont permis de renforcer la connaissance mutuelle de ces marines partenaires.

Ces entraînements permettent de maintenir un haut niveau d’interopérabilité entre des marines partenaires de longue date qui partagent la même vision des enjeux de sécurité maritime de la zone indopacifique. Cela concourt à la préservation d’un ordre international fondé sur le droit maritime et le multilatéralisme.

Les unités participantes se sont ensuite séparées et ont poursuivi leurs patrouilles et missions respectives en océan Indien. Le PHA Dixmude et la frégate La Fayette ont, quant à eux, mis le cap sur Singapour, prochaine étape de la mission Jeanne d’Arc.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

Lien vers le dossier de presse JDA

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Source : Etat-major des armées


Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

publié le Jeudi 16 mars 2023

 Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

© EMA

Du 13 au 14 mars dans le golfe du Bengale, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont conduit l’exercice multinational LAPEROUSE avec 6 autres bâtiments de combat : américain, australien, britannique, indien et japonais ainsi qu’un État-major de la marine canadienne. Pendant 48 heures, les équipages ont réalisé différentes manœuvres tactiques de haut niveau pour renforcer leur interopérabilité.

Les premières manœuvres ont débuté le 13 mars en engageant PHA Dixmude, la Frégate La Fayette, les frégates indienne INS Sahyadri, INS Jyoti, la frégate américaine USS Charleston, l’HMS Tamar, la frégate anglaise HMAS Perth et la frégate japonaise JS Suzutsuki. Les manœuvres ont débuté par un ravitaillement à la mer entre l’INS Jyoti et l’HMAS Perth tandis que le PHA Dixmude, le JS Suzutsuki et l’HMS Tamar ont mené des exercices d’évolution tactiques.

Les entraînements se sont poursuivis avec des tirs sur cibles flottantes et une série d’appontages croisés entre les hélicoptères embarqués sur les différents bâtiments : les hélicoptères Dauphin et Gazelle du groupe Jeanne d’Arc 2023, l’Alouette III de l’INS Sahyadri, le MH160 de l’USS Charleston et le SH160 du JS Suzutsuki. La première journée s’est conclue par un entraînement de lutte anti-aérienne conduit par les marins des différentes nations.

Le lendemain, les unités ont conduit des exercices de défense aérienne et des manœuvres aviation entre les hélicoptères et les bâtiments du groupe, avant de conclure par un exercice d’évolution tactique avancé en force constituée, sous la surveillance d’un avion de patrouille maritime Indien P8. À l’issue, les commandants des différentes unités intégrées à l’exercice LAPEROUSE se sont retrouvés à bord du PHA Dixmude pour un moment d’échange.

En l’espace de 48h, une dizaine de séquences d’entraînements ont été réalisée comprenant notamment une vingtaine d’appontages croisés. Ces interactions ont démontré un haut niveau de coopération et ont permis de renforcer la connaissance mutuelle de ces marines partenaires.

Ces entraînements permettent de maintenir un haut niveau d’interopérabilité entre des marines partenaires de longue date qui partagent la même vision des enjeux de sécurité maritime de la zone indopacifique. Cela concourt à la préservation d’un ordre international fondé sur le droit maritime et le multilatéralisme.

Les unités participantes se sont ensuite séparées et ont poursuivi leurs patrouilles et missions respectives en océan Indien. Le PHA Dixmude et la frégate La Fayette ont, quant à eux, mis le cap sur Singapour, prochaine étape de la mission Jeanne d’Arc.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

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Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Source : Etat-major des armées


Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

publié le Jeudi 16 mars 2023

 Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

© EMA

Du 13 au 14 mars dans le golfe du Bengale, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont conduit l’exercice multinational LAPEROUSE avec 6 autres bâtiments de combat : américain, australien, britannique, indien et japonais ainsi qu’un État-major de la marine canadienne. Pendant 48 heures, les équipages ont réalisé différentes manœuvres tactiques de haut niveau pour renforcer leur interopérabilité.

Les premières manœuvres ont débuté le 13 mars en engageant PHA Dixmude, la Frégate La Fayette, les frégates indienne INS Sahyadri, INS Jyoti, la frégate américaine USS Charleston, l’HMS Tamar, la frégate anglaise HMAS Perth et la frégate japonaise JS Suzutsuki. Les manœuvres ont débuté par un ravitaillement à la mer entre l’INS Jyoti et l’HMAS Perth tandis que le PHA Dixmude, le JS Suzutsuki et l’HMS Tamar ont mené des exercices d’évolution tactiques.

Les entraînements se sont poursuivis avec des tirs sur cibles flottantes et une série d’appontages croisés entre les hélicoptères embarqués sur les différents bâtiments : les hélicoptères Dauphin et Gazelle du groupe Jeanne d’Arc 2023, l’Alouette III de l’INS Sahyadri, le MH160 de l’USS Charleston et le SH160 du JS Suzutsuki. La première journée s’est conclue par un entraînement de lutte anti-aérienne conduit par les marins des différentes nations.

Le lendemain, les unités ont conduit des exercices de défense aérienne et des manœuvres aviation entre les hélicoptères et les bâtiments du groupe, avant de conclure par un exercice d’évolution tactique avancé en force constituée, sous la surveillance d’un avion de patrouille maritime Indien P8. À l’issue, les commandants des différentes unités intégrées à l’exercice LAPEROUSE se sont retrouvés à bord du PHA Dixmude pour un moment d’échange.

En l’espace de 48h, une dizaine de séquences d’entraînements ont été réalisée comprenant notamment une vingtaine d’appontages croisés. Ces interactions ont démontré un haut niveau de coopération et ont permis de renforcer la connaissance mutuelle de ces marines partenaires.

Ces entraînements permettent de maintenir un haut niveau d’interopérabilité entre des marines partenaires de longue date qui partagent la même vision des enjeux de sécurité maritime de la zone indopacifique. Cela concourt à la préservation d’un ordre international fondé sur le droit maritime et le multilatéralisme.

Les unités participantes se sont ensuite séparées et ont poursuivi leurs patrouilles et missions respectives en océan Indien. Le PHA Dixmude et la frégate La Fayette ont, quant à eux, mis le cap sur Singapour, prochaine étape de la mission Jeanne d’Arc.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

Lien vers le dossier de presse JDA

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Source : Etat-major des armées


Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

publié le Jeudi 16 mars 2023

 Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

© EMA

Du 13 au 14 mars dans le golfe du Bengale, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont conduit l’exercice multinational LAPEROUSE avec 6 autres bâtiments de combat : américain, australien, britannique, indien et japonais ainsi qu’un État-major de la marine canadienne. Pendant 48 heures, les équipages ont réalisé différentes manœuvres tactiques de haut niveau pour renforcer leur interopérabilité.

Les premières manœuvres ont débuté le 13 mars en engageant PHA Dixmude, la Frégate La Fayette, les frégates indienne INS Sahyadri, INS Jyoti, la frégate américaine USS Charleston, l’HMS Tamar, la frégate anglaise HMAS Perth et la frégate japonaise JS Suzutsuki. Les manœuvres ont débuté par un ravitaillement à la mer entre l’INS Jyoti et l’HMAS Perth tandis que le PHA Dixmude, le JS Suzutsuki et l’HMS Tamar ont mené des exercices d’évolution tactiques.

Les entraînements se sont poursuivis avec des tirs sur cibles flottantes et une série d’appontages croisés entre les hélicoptères embarqués sur les différents bâtiments : les hélicoptères Dauphin et Gazelle du groupe Jeanne d’Arc 2023, l’Alouette III de l’INS Sahyadri, le MH160 de l’USS Charleston et le SH160 du JS Suzutsuki. La première journée s’est conclue par un entraînement de lutte anti-aérienne conduit par les marins des différentes nations.

Le lendemain, les unités ont conduit des exercices de défense aérienne et des manœuvres aviation entre les hélicoptères et les bâtiments du groupe, avant de conclure par un exercice d’évolution tactique avancé en force constituée, sous la surveillance d’un avion de patrouille maritime Indien P8. À l’issue, les commandants des différentes unités intégrées à l’exercice LAPEROUSE se sont retrouvés à bord du PHA Dixmude pour un moment d’échange.

En l’espace de 48h, une dizaine de séquences d’entraînements ont été réalisée comprenant notamment une vingtaine d’appontages croisés. Ces interactions ont démontré un haut niveau de coopération et ont permis de renforcer la connaissance mutuelle de ces marines partenaires.

Ces entraînements permettent de maintenir un haut niveau d’interopérabilité entre des marines partenaires de longue date qui partagent la même vision des enjeux de sécurité maritime de la zone indopacifique. Cela concourt à la préservation d’un ordre international fondé sur le droit maritime et le multilatéralisme.

Les unités participantes se sont ensuite séparées et ont poursuivi leurs patrouilles et missions respectives en océan Indien. Le PHA Dixmude et la frégate La Fayette ont, quant à eux, mis le cap sur Singapour, prochaine étape de la mission Jeanne d’Arc.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

Lien vers le dossier de presse JDA

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Source : Etat-major des armées


Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

publié le Jeudi 16 mars 2023

 Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

© EMA

Du 13 au 14 mars dans le golfe du Bengale, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont conduit l’exercice multinational LAPEROUSE avec 6 autres bâtiments de combat : américain, australien, britannique, indien et japonais ainsi qu’un État-major de la marine canadienne. Pendant 48 heures, les équipages ont réalisé différentes manœuvres tactiques de haut niveau pour renforcer leur interopérabilité.

Les premières manœuvres ont débuté le 13 mars en engageant PHA Dixmude, la Frégate La Fayette, les frégates indienne INS Sahyadri, INS Jyoti, la frégate américaine USS Charleston, l’HMS Tamar, la frégate anglaise HMAS Perth et la frégate japonaise JS Suzutsuki. Les manœuvres ont débuté par un ravitaillement à la mer entre l’INS Jyoti et l’HMAS Perth tandis que le PHA Dixmude, le JS Suzutsuki et l’HMS Tamar ont mené des exercices d’évolution tactiques.

Les entraînements se sont poursuivis avec des tirs sur cibles flottantes et une série d’appontages croisés entre les hélicoptères embarqués sur les différents bâtiments : les hélicoptères Dauphin et Gazelle du groupe Jeanne d’Arc 2023, l’Alouette III de l’INS Sahyadri, le MH160 de l’USS Charleston et le SH160 du JS Suzutsuki. La première journée s’est conclue par un entraînement de lutte anti-aérienne conduit par les marins des différentes nations.

Le lendemain, les unités ont conduit des exercices de défense aérienne et des manœuvres aviation entre les hélicoptères et les bâtiments du groupe, avant de conclure par un exercice d’évolution tactique avancé en force constituée, sous la surveillance d’un avion de patrouille maritime Indien P8. À l’issue, les commandants des différentes unités intégrées à l’exercice LAPEROUSE se sont retrouvés à bord du PHA Dixmude pour un moment d’échange.

En l’espace de 48h, une dizaine de séquences d’entraînements ont été réalisée comprenant notamment une vingtaine d’appontages croisés. Ces interactions ont démontré un haut niveau de coopération et ont permis de renforcer la connaissance mutuelle de ces marines partenaires.

Ces entraînements permettent de maintenir un haut niveau d’interopérabilité entre des marines partenaires de longue date qui partagent la même vision des enjeux de sécurité maritime de la zone indopacifique. Cela concourt à la préservation d’un ordre international fondé sur le droit maritime et le multilatéralisme.

Les unités participantes se sont ensuite séparées et ont poursuivi leurs patrouilles et missions respectives en océan Indien. Le PHA Dixmude et la frégate La Fayette ont, quant à eux, mis le cap sur Singapour, prochaine étape de la mission Jeanne d’Arc.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

Lien vers le dossier de presse JDA

Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique
Mission JEANNE D’ARC 23 – exercice LAPEROUSE pour la sécurité maritime de la zone Indopacifique

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

publié le Mardi 28 février 2023

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

© EMA

Du 23 janvier au 17 février, le patrouilleur Arago a contribué au renforcement de la sécurité maritime au large de la Polynésie française dans le cadre de la mission PACIFIC AITO. Pour ce faire, le patrouilleur français a conduit plusieurs opérations de police des pêches lors de ses patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française, affirmant ainsi la souveraineté de la France.

Aussi, L’Arago a patrouillé dans le nord de la ZEE de la Polynésie française et dans ses approches dans le cadre de PACIFIC AITO, mission de surveillance maritime dans la ZEE française. Par ailleurs, les marins ont réalisé des missions de police des pêches en haute mer, à l’est et à l’ouest de l’archipel des Marquises. Lors de son déploiement, le patrouilleur a bénéficié du soutien d’un avion de surveillance maritime Falcon 200 de la flottille 25F, en coordination avec le centre de fusion de l’information maritime local.


L’équipage de l’Arago a visité et contrôlé sept palangriers en haute mer. En outre, il a également pris contact avec une douzaine d’autres bâtiments pour s’assurer de la légalité de leurs activités. Ces missions de surveillance maritime sont également l’occasion pour les bâtiments des Forces armées en Polynésie française (FAPF) de contribuer à l’appréciation autonome de situation de la France dans la région. Dans ce cadre, le patrouilleur a navigué au nord de l’archipel des Marquises, près des îles Hatutaa, Eiao et Motu One.

Dans l’archipel des Tuamotu, l’équipage de l’Arago a pu entretenir les relations des FAPF avec la population et les autorités locales des atolls de Taenga, Nihiru, Taiaro et Katiu.


La France, nation riveraine et souveraine du Pacifique, contribue au renforcement de la sécurité maritime dans la zone. Les FAPF réalisent un large spectre de missions au profit de la stabilité de la région et sont engagés pour la protection des populations dans la zone, en cas de crise sanitaire, climatique ou sécuritaire. Elles apportent des moyens complémentaires aux services de l’État afin d’assurer la protection des Français et le respect du droit de la mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago
 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

publié le Mardi 28 février 2023

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

© EMA

Du 23 janvier au 17 février, le patrouilleur Arago a contribué au renforcement de la sécurité maritime au large de la Polynésie française dans le cadre de la mission PACIFIC AITO. Pour ce faire, le patrouilleur français a conduit plusieurs opérations de police des pêches lors de ses patrouilles dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la Polynésie française, affirmant ainsi la souveraineté de la France.

Aussi, L’Arago a patrouillé dans le nord de la ZEE de la Polynésie française et dans ses approches dans le cadre de PACIFIC AITO, mission de surveillance maritime dans la ZEE française. Par ailleurs, les marins ont réalisé des missions de police des pêches en haute mer, à l’est et à l’ouest de l’archipel des Marquises. Lors de son déploiement, le patrouilleur a bénéficié du soutien d’un avion de surveillance maritime Falcon 200 de la flottille 25F, en coordination avec le centre de fusion de l’information maritime local.


L’équipage de l’Arago a visité et contrôlé sept palangriers en haute mer. En outre, il a également pris contact avec une douzaine d’autres bâtiments pour s’assurer de la légalité de leurs activités. Ces missions de surveillance maritime sont également l’occasion pour les bâtiments des Forces armées en Polynésie française (FAPF) de contribuer à l’appréciation autonome de situation de la France dans la région. Dans ce cadre, le patrouilleur a navigué au nord de l’archipel des Marquises, près des îles Hatutaa, Eiao et Motu One.

Dans l’archipel des Tuamotu, l’équipage de l’Arago a pu entretenir les relations des FAPF avec la population et les autorités locales des atolls de Taenga, Nihiru, Taiaro et Katiu.


La France, nation riveraine et souveraine du Pacifique, contribue au renforcement de la sécurité maritime dans la zone. Les FAPF réalisent un large spectre de missions au profit de la stabilité de la région et sont engagés pour la protection des populations dans la zone, en cas de crise sanitaire, climatique ou sécuritaire. Elles apportent des moyens complémentaires aux services de l’État afin d’assurer la protection des Français et le respect du droit de la mer.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago
 FAPF – Bilan de la mission PACIFIC AITO du patrouilleur Arago

Source : Etat-major des armées

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