Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

publié le Lundi 22 janvier 2024

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

© Marine nationale

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

En prévision du futur déploiement du groupe aérien embarqué (GAé) à bord du porte-avions (PA) Charles de Gaulle, des séances d’appontages simulés sur piste (ASSP) étaient programmées sur les bases d’aéronautique navale (BAN) de Landivisiau et de Lann-Bihoué du 9 au 29 janvier 2024 et se poursuivront sur la BAN d’Istres.

Les séances d’ASSP sont nécessaires pour maintenir le personnel en condition opérationnelle. Elles sont un prérequis impératif avant la qualification à l’appontage de nouveaux pilotes. Elles permettent aussi d’assurer le réentraînement des pilotes de la chasse embarquée avant leur déploiement. Enfin, elles visent à garantir la sécurité du personnel et le haut niveau d’expertise du GAé.

La précision requise est extrême puisqu’il s’agit de poser un avion d’une quinzaine de tonnes évoluant à la vitesse de 250 km/h sur un pont d’envol, dont la superficie équivaut à celle d’un terrain de tennis, et qui se déplace lui-même à la vitesse de 40 km/h. Ainsi, lors des séances d’ASSP, les avions décrivent un circuit qui s’apparente à celui pratiqué à bord du porte-avions afin que les pilotes puissent acquérir les automatismes indispensables à l’appontage. Par ailleurs les pistes des BAN sont configurées de la même façon que celle du porte-avions (même marquage au sol) et dotées du même miroir d’appontage. Cet exercice mobilise pleinement les BAN qui se configurent pour reproduire l’environnement du bord. Les conditions étant cependant plus sûres, elles permettent aux pilotes d’affiner leur technique et de prendre leurs marques pour ensuite réaliser les manœuvres d’appontage en toute sécurité à bord.

D’une durée de 2 à 3 semaines, les ASSP ont généralement lieu dans le mois précédent le départ en mission du GAé. Chacun des pilotes de Rafale Marine et de E-2C Hawkeye embarqués s’y confrontera avant de pouvoir partir en mission, en réalisant 4 séances de 30 minutes sur 2 jours et 2 nuits.

Le rôle de l’officier d’appontage (OA)

Il est chargé de préparer les pilotes en qualification et les pilotes en réentraînement à la bonne réalisation d’un circuit d’appontage précis, standardisé, constant et sûr. En ASSP, l’OA conseille et instruit le pilote en donnant des ordres pour l’amener au niveau requis pour la qualification.

Ce sont des pilotes embarqués expérimentés et spécialement formés, dont les trois fonctions principales sont l’instruction des pilotes, le conseil auprès du commandement et l’expertise technique.

Les ASSP sont étroitement liés au contexte opérationnel ; ceux en cours s’inscrivent dans la préparation de la remontée en puissance du Charles de Gaulle et de son groupe aérien. A l’issue de son arrêt technique, le porte-avions devrait appareiller pour plusieurs semaines d’entraînement afin de recouvrer sa pleine condition opérationnelle.

 

Source : Marine nationale


Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

publié le Lundi 22 janvier 2024

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

© Marine nationale

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

En prévision du futur déploiement du groupe aérien embarqué (GAé) à bord du porte-avions (PA) Charles de Gaulle, des séances d’appontages simulés sur piste (ASSP) étaient programmées sur les bases d’aéronautique navale (BAN) de Landivisiau et de Lann-Bihoué du 9 au 29 janvier 2024 et se poursuivront sur la BAN d’Istres.

Les séances d’ASSP sont nécessaires pour maintenir le personnel en condition opérationnelle. Elles sont un prérequis impératif avant la qualification à l’appontage de nouveaux pilotes. Elles permettent aussi d’assurer le réentraînement des pilotes de la chasse embarquée avant leur déploiement. Enfin, elles visent à garantir la sécurité du personnel et le haut niveau d’expertise du GAé.

La précision requise est extrême puisqu’il s’agit de poser un avion d’une quinzaine de tonnes évoluant à la vitesse de 250 km/h sur un pont d’envol, dont la superficie équivaut à celle d’un terrain de tennis, et qui se déplace lui-même à la vitesse de 40 km/h. Ainsi, lors des séances d’ASSP, les avions décrivent un circuit qui s’apparente à celui pratiqué à bord du porte-avions afin que les pilotes puissent acquérir les automatismes indispensables à l’appontage. Par ailleurs les pistes des BAN sont configurées de la même façon que celle du porte-avions (même marquage au sol) et dotées du même miroir d’appontage. Cet exercice mobilise pleinement les BAN qui se configurent pour reproduire l’environnement du bord. Les conditions étant cependant plus sûres, elles permettent aux pilotes d’affiner leur technique et de prendre leurs marques pour ensuite réaliser les manœuvres d’appontage en toute sécurité à bord.

D’une durée de 2 à 3 semaines, les ASSP ont généralement lieu dans le mois précédent le départ en mission du GAé. Chacun des pilotes de Rafale Marine et de E-2C Hawkeye embarqués s’y confrontera avant de pouvoir partir en mission, en réalisant 4 séances de 30 minutes sur 2 jours et 2 nuits.

Le rôle de l’officier d’appontage (OA)

Il est chargé de préparer les pilotes en qualification et les pilotes en réentraînement à la bonne réalisation d’un circuit d’appontage précis, standardisé, constant et sûr. En ASSP, l’OA conseille et instruit le pilote en donnant des ordres pour l’amener au niveau requis pour la qualification.

Ce sont des pilotes embarqués expérimentés et spécialement formés, dont les trois fonctions principales sont l’instruction des pilotes, le conseil auprès du commandement et l’expertise technique.

Les ASSP sont étroitement liés au contexte opérationnel ; ceux en cours s’inscrivent dans la préparation de la remontée en puissance du Charles de Gaulle et de son groupe aérien. A l’issue de son arrêt technique, le porte-avions devrait appareiller pour plusieurs semaines d’entraînement afin de recouvrer sa pleine condition opérationnelle.

 

Source : Marine nationale


Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

publié le Lundi 22 janvier 2024

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

© Marine nationale

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

En prévision du futur déploiement du groupe aérien embarqué (GAé) à bord du porte-avions (PA) Charles de Gaulle, des séances d’appontages simulés sur piste (ASSP) étaient programmées sur les bases d’aéronautique navale (BAN) de Landivisiau et de Lann-Bihoué du 9 au 29 janvier 2024 et se poursuivront sur la BAN d’Istres.

Les séances d’ASSP sont nécessaires pour maintenir le personnel en condition opérationnelle. Elles sont un prérequis impératif avant la qualification à l’appontage de nouveaux pilotes. Elles permettent aussi d’assurer le réentraînement des pilotes de la chasse embarquée avant leur déploiement. Enfin, elles visent à garantir la sécurité du personnel et le haut niveau d’expertise du GAé.

La précision requise est extrême puisqu’il s’agit de poser un avion d’une quinzaine de tonnes évoluant à la vitesse de 250 km/h sur un pont d’envol, dont la superficie équivaut à celle d’un terrain de tennis, et qui se déplace lui-même à la vitesse de 40 km/h. Ainsi, lors des séances d’ASSP, les avions décrivent un circuit qui s’apparente à celui pratiqué à bord du porte-avions afin que les pilotes puissent acquérir les automatismes indispensables à l’appontage. Par ailleurs les pistes des BAN sont configurées de la même façon que celle du porte-avions (même marquage au sol) et dotées du même miroir d’appontage. Cet exercice mobilise pleinement les BAN qui se configurent pour reproduire l’environnement du bord. Les conditions étant cependant plus sûres, elles permettent aux pilotes d’affiner leur technique et de prendre leurs marques pour ensuite réaliser les manœuvres d’appontage en toute sécurité à bord.

D’une durée de 2 à 3 semaines, les ASSP ont généralement lieu dans le mois précédent le départ en mission du GAé. Chacun des pilotes de Rafale Marine et de E-2C Hawkeye embarqués s’y confrontera avant de pouvoir partir en mission, en réalisant 4 séances de 30 minutes sur 2 jours et 2 nuits.

Le rôle de l’officier d’appontage (OA)

Il est chargé de préparer les pilotes en qualification et les pilotes en réentraînement à la bonne réalisation d’un circuit d’appontage précis, standardisé, constant et sûr. En ASSP, l’OA conseille et instruit le pilote en donnant des ordres pour l’amener au niveau requis pour la qualification.

Ce sont des pilotes embarqués expérimentés et spécialement formés, dont les trois fonctions principales sont l’instruction des pilotes, le conseil auprès du commandement et l’expertise technique.

Les ASSP sont étroitement liés au contexte opérationnel ; ceux en cours s’inscrivent dans la préparation de la remontée en puissance du Charles de Gaulle et de son groupe aérien. A l’issue de son arrêt technique, le porte-avions devrait appareiller pour plusieurs semaines d’entraînement afin de recouvrer sa pleine condition opérationnelle.

 

Source : Marine nationale


L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

publié le Mardi 25 juillet 2023

 L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

© Marine nationale

Les équipages de patrouille maritime (PATMAR) de LANN BIHOUE ont remis la lutte anti sous marin (ASM) au cœur de leur entraînement.

Après deux semaines de chasse intense en Méditerranée au profit des futurs commandant de SNA, ils ont participé à un exercice interallié en Atlantique. Trois sous-marins se sont relayés afin de conduire un LIVEX (exercice en conditions réelles) de 8 jours, sous la pression presque continue des flottilles d’Atlantique 2 et de leurs alliés.

Grâce à l’implication de toute la BAN Lann-Bihoué, 11 avions ont ainsi décollé de Lorient pour participer à cet entraînement exigeant. A nouveau les ATL2 standards 6 ont démontré un réel gain capacitaire en ASM, alors que le savoir-faire des équipages a permis de belles actions sur l’ancien standard.

Au-delà d’un entraînement réaliste et exigeant pour les opérateurs, ces vols ont inscrit l’Atlantique 2 au sein d’une force interalliée crédible et a démontré sa capacité à coopérer dans le temps long avec d’autres aéronefs de patrouille maritime alliés et les unités de surface et sous-marines présentes. Dans le contexte actuel, de tels exercices rappellent à tous l’importance de conserver le savoir-faire reconnu de nos équipages en opération, tout particulièrement dans le domaine de la lutte sous la mer.

Source : Marine nationale


L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

publié le Mardi 25 juillet 2023

 L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

© Marine nationale

Les équipages de patrouille maritime (PATMAR) de LANN BIHOUE ont remis la lutte anti sous marin (ASM) au cœur de leur entraînement.

Après deux semaines de chasse intense en Méditerranée au profit des futurs commandant de SNA, ils ont participé à un exercice interallié en Atlantique. Trois sous-marins se sont relayés afin de conduire un LIVEX (exercice en conditions réelles) de 8 jours, sous la pression presque continue des flottilles d’Atlantique 2 et de leurs alliés.

Grâce à l’implication de toute la BAN Lann-Bihoué, 11 avions ont ainsi décollé de Lorient pour participer à cet entraînement exigeant. A nouveau les ATL2 standards 6 ont démontré un réel gain capacitaire en ASM, alors que le savoir-faire des équipages a permis de belles actions sur l’ancien standard.

Au-delà d’un entraînement réaliste et exigeant pour les opérateurs, ces vols ont inscrit l’Atlantique 2 au sein d’une force interalliée crédible et a démontré sa capacité à coopérer dans le temps long avec d’autres aéronefs de patrouille maritime alliés et les unités de surface et sous-marines présentes. Dans le contexte actuel, de tels exercices rappellent à tous l’importance de conserver le savoir-faire reconnu de nos équipages en opération, tout particulièrement dans le domaine de la lutte sous la mer.

Source : Marine nationale


L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

publié le Mardi 25 juillet 2023

 L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

© Marine nationale

Les équipages de patrouille maritime (PATMAR) de LANN BIHOUE ont remis la lutte anti sous marin (ASM) au cœur de leur entraînement.

Après deux semaines de chasse intense en Méditerranée au profit des futurs commandant de SNA, ils ont participé à un exercice interallié en Atlantique. Trois sous-marins se sont relayés afin de conduire un LIVEX (exercice en conditions réelles) de 8 jours, sous la pression presque continue des flottilles d’Atlantique 2 et de leurs alliés.

Grâce à l’implication de toute la BAN Lann-Bihoué, 11 avions ont ainsi décollé de Lorient pour participer à cet entraînement exigeant. A nouveau les ATL2 standards 6 ont démontré un réel gain capacitaire en ASM, alors que le savoir-faire des équipages a permis de belles actions sur l’ancien standard.

Au-delà d’un entraînement réaliste et exigeant pour les opérateurs, ces vols ont inscrit l’Atlantique 2 au sein d’une force interalliée crédible et a démontré sa capacité à coopérer dans le temps long avec d’autres aéronefs de patrouille maritime alliés et les unités de surface et sous-marines présentes. Dans le contexte actuel, de tels exercices rappellent à tous l’importance de conserver le savoir-faire reconnu de nos équipages en opération, tout particulièrement dans le domaine de la lutte sous la mer.

Source : Marine nationale


L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

publié le Mardi 25 juillet 2023

 L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

L'ASM au coeur de l'entraînement des Atlantique 2

© Marine nationale

Les équipages de patrouille maritime (PATMAR) de LANN BIHOUE ont remis la lutte anti sous marin (ASM) au cœur de leur entraînement.

Après deux semaines de chasse intense en Méditerranée au profit des futurs commandant de SNA, ils ont participé à un exercice interallié en Atlantique. Trois sous-marins se sont relayés afin de conduire un LIVEX (exercice en conditions réelles) de 8 jours, sous la pression presque continue des flottilles d’Atlantique 2 et de leurs alliés.

Grâce à l’implication de toute la BAN Lann-Bihoué, 11 avions ont ainsi décollé de Lorient pour participer à cet entraînement exigeant. A nouveau les ATL2 standards 6 ont démontré un réel gain capacitaire en ASM, alors que le savoir-faire des équipages a permis de belles actions sur l’ancien standard.

Au-delà d’un entraînement réaliste et exigeant pour les opérateurs, ces vols ont inscrit l’Atlantique 2 au sein d’une force interalliée crédible et a démontré sa capacité à coopérer dans le temps long avec d’autres aéronefs de patrouille maritime alliés et les unités de surface et sous-marines présentes. Dans le contexte actuel, de tels exercices rappellent à tous l’importance de conserver le savoir-faire reconnu de nos équipages en opération, tout particulièrement dans le domaine de la lutte sous la mer.

Source : Marine nationale


Déploiement Thulé F50M

publié le Lundi 26 juin 2023

 Déploiement Thulé F50M

Déploiement Thulé F50M

© Marine nationale

Le 14 juin 2023, alors déployé dans le cadre de l’exercice SAR (Search and Rescue) ARGUS 2023, un Falcon 50M de la Flottille 24F s’est rendu dans le grand nord du cercle polaire sur la Base spatiale américaine de Pituffik.

Créée en 1946 à des fins stratégiques militaires, elle est dorénavant un maillon important de la chaîne de radars prévus pour détecter les éventuels tirs de missile balistiques et une station de surveillance de satellites de l'Air Force Space Command.

Ce vol a permis à l’équipage de développer ses capacités à se déployer dans des régions grand froid qui restent exigeantes et complexes et par la même occasion d’entretenir de bonnes relations avec un pays allié.

La Flottille 24F a ainsi pu démontrer que la Marine nationale française peut se projeter partout, tout le temps et même dans les endroits du globe les plus extrêmes.

 Déploiement Thulé F50M
 Déploiement Thulé F50M

Source : Marine nationale


Déploiement Thulé F50M

publié le Lundi 26 juin 2023

 Déploiement Thulé F50M

Déploiement Thulé F50M

© Marine nationale

Le 14 juin 2023, alors déployé dans le cadre de l’exercice SAR (Search and Rescue) ARGUS 2023, un Falcon 50M de la Flottille 24F s’est rendu dans le grand nord du cercle polaire sur la Base spatiale américaine de Pituffik.

Créée en 1946 à des fins stratégiques militaires, elle est dorénavant un maillon important de la chaîne de radars prévus pour détecter les éventuels tirs de missile balistiques et une station de surveillance de satellites de l'Air Force Space Command.

Ce vol a permis à l’équipage de développer ses capacités à se déployer dans des régions grand froid qui restent exigeantes et complexes et par la même occasion d’entretenir de bonnes relations avec un pays allié.

La Flottille 24F a ainsi pu démontrer que la Marine nationale française peut se projeter partout, tout le temps et même dans les endroits du globe les plus extrêmes.

 Déploiement Thulé F50M
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Source : Marine nationale


Déploiement Thulé F50M

publié le Lundi 26 juin 2023

 Déploiement Thulé F50M

Déploiement Thulé F50M

© Marine nationale

Le 14 juin 2023, alors déployé dans le cadre de l’exercice SAR (Search and Rescue) ARGUS 2023, un Falcon 50M de la Flottille 24F s’est rendu dans le grand nord du cercle polaire sur la Base spatiale américaine de Pituffik.

Créée en 1946 à des fins stratégiques militaires, elle est dorénavant un maillon important de la chaîne de radars prévus pour détecter les éventuels tirs de missile balistiques et une station de surveillance de satellites de l'Air Force Space Command.

Ce vol a permis à l’équipage de développer ses capacités à se déployer dans des régions grand froid qui restent exigeantes et complexes et par la même occasion d’entretenir de bonnes relations avec un pays allié.

La Flottille 24F a ainsi pu démontrer que la Marine nationale française peut se projeter partout, tout le temps et même dans les endroits du globe les plus extrêmes.

 Déploiement Thulé F50M
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Source : Marine nationale

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