9 nouveaux pilotes obtiennent leur qualification à l’appontage sur le Charles de Gaulle

publié le Mardi 20 février 2024

9 nouveaux pilotes obtiennent leur qualification à l’appontage sur le Charles de Gaulle

9 nouveaux pilotes obtiennent leur qualification à l’appontage sur le Charles de Gaulle

© Marine nationale

Début février, après une période d’entrainement individuel à la mer consécutive à 8 mois au bassin pour une période d’indisponibilité pour entretien intermédiaire, le porte-avions Charles de Gaulle a été rejoint par le groupe aérien embarqué (GAe), composé de la Flottille 11F et des jeunes pilotes de l’école de l’aviation embarquée (EAe).

En parallèle de la remontée en puissance de la Flottille, ce sont 8 jeunes marins du ciel et 1 pilote de l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE) qui ont passé les qualifications à l’appontage ; épreuves exigeantes mais caractéristiques de la chasse embarquée. 7 se sont qualifiés à l’appontage de jour, 1 à l’appontage de nuit, et 1 de jour comme de nuit.

Il s’agit pour eux d’une étape cruciale dans leur long et exigeant processus de formation, débuté plusieurs années auparavant. Avant d’apponter sur le porte-avions, les pilotes avaient notamment réalisé de nombreux appontages simulés sur piste (ASSP) sur la base de Landivisiau.

Ces qualifications ont également mobilisé l’ensemble de l’équipage du porte-avions, chacun cherchant à tout mettre en œuvre pour que les pilotes se trouvent dans les meilleures dispositions possibles pour réussir leur manœuvre. Au bout de 5 jours d’efforts collectifs, le commandant du Charles de Gaulle a donc pu annoncer à chacun après son dernier appontage : « Tu es qualifié à l’appontage Rafale Marine sur le Charles de Gaulle ».

Pour le porte-avions et le groupe aérien embarqué, la préparation opérationnelle se poursuit en vue du prochain déploiement du groupe aéronaval.

Qualification à l’appontage sur le Charles de Gaulle

Source : Marine nationale


Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

publié le Lundi 19 février 2024

Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

© Marine nationale

Le 5 février 2024, le centre opérationnel de surveillance et de sauvetage en mer à Nouméa (COSS-NC), a sollicité l’aide du bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) D’Entrecasteaux et du Falcon 200 Gardian du détachement de la Flottille 25F basée Nouvelle-Calédonie pour relocaliser un couple, naufragé au large de Poum.

Le COSS-NC a été alerté en début de soirée qu’une femme et un homme n’étaient pas revenus de leur sortie de pêche. Le COSS-NC a immédiatement contacté le BSAOM D’Entrecasteaux, qui se situait à proximité. Le BSAOM D’Entrecasteaux a ainsi débuté ses recherches en soirée, appuyé par le Falcon 200 Gardian de la Marine nationale.

L’obscurité a complexifié les recherches en mer qui se sont poursuivies durant la nuit. A 6h00 du matin, après douze heures de recherche, les naufragés ont été repérés sur l’île Pionne. Sains et saufs, les naufragés ont été secourus et embarqués à bord du D’Entrecasteaux.

Ils ont expliqué avoir rencontré une avarie électrique sur leur navire de 6 mètres, puis avoir décidé de ramer pour se mettre en sécurité avec leur embarcation.

Ce sauvetage conduit par les marins du D’Entrecasteaux illustre l’engagement des armées françaises pour la sûreté maritime et la sécurité des populations dans le Pacifique Sud.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région. A ce titre, ils entretiennent les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles, ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

Source : Marine nationale


Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

publié le Lundi 19 février 2024

Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

© Marine nationale

Le 5 février 2024, le centre opérationnel de surveillance et de sauvetage en mer à Nouméa (COSS-NC), a sollicité l’aide du bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) D’Entrecasteaux et du Falcon 200 Gardian du détachement de la Flottille 25F basée Nouvelle-Calédonie pour relocaliser un couple, naufragé au large de Poum.

Le COSS-NC a été alerté en début de soirée qu’une femme et un homme n’étaient pas revenus de leur sortie de pêche. Le COSS-NC a immédiatement contacté le BSAOM D’Entrecasteaux, qui se situait à proximité. Le BSAOM D’Entrecasteaux a ainsi débuté ses recherches en soirée, appuyé par le Falcon 200 Gardian de la Marine nationale.

L’obscurité a complexifié les recherches en mer qui se sont poursuivies durant la nuit. A 6h00 du matin, après douze heures de recherche, les naufragés ont été repérés sur l’île Pionne. Sains et saufs, les naufragés ont été secourus et embarqués à bord du D’Entrecasteaux.

Ils ont expliqué avoir rencontré une avarie électrique sur leur navire de 6 mètres, puis avoir décidé de ramer pour se mettre en sécurité avec leur embarcation.

Ce sauvetage conduit par les marins du D’Entrecasteaux illustre l’engagement des armées françaises pour la sûreté maritime et la sécurité des populations dans le Pacifique Sud.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région. A ce titre, ils entretiennent les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles, ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

Le BSAOM D’Entrecasteaux en mission de secours en Nouvelle-Calédonie

Source : Marine nationale


Dense activité pour le nouveau détachement du Falcon 50 de Dakar

publié le Mercredi 31 janvier 2024

Dense activité pour le nouveau détachement du Falcon 50 de Dakar

Dense activité pour le nouveau détachement du Falcon 50 de Dakar

© Marine nationale

Déployé depuis le 29 décembre 2023, l’équipage de l’avion de patrouille maritime Falcon 50 projeté à Dakar a entamé l’année sur un rythme aéronautique soutenu.

L’équipage a en effet participé depuis son arrivée à trois opérations de lutte contre les trafics illicites, contribuant ainsi à renforcer ses liens avec les forces partenaires de l’architecture de Yaoundé. L’équipage a ensuite pu s’acclimater aux particularités environnementales et aéronautiques de la région en réalisant ses premiers vols de surveillance maritime au large des côtes sénégalaises avant de participer à deux missions de secours en mer en appui des forces partenaires. Puis il a réalisé sa première mission de police des pêches en présence d’un inspecteur de la direction de protection et de la surveillance des pêches (DPSP) sénégalaise afin de constater d’éventuelles infractions au large du pays.

Source : Marine nationale


Dense activité pour le nouveau détachement du Falcon 50 de Dakar

publié le Mercredi 31 janvier 2024

Dense activité pour le nouveau détachement du Falcon 50 de Dakar

Dense activité pour le nouveau détachement du Falcon 50 de Dakar

© Marine nationale

Déployé depuis le 29 décembre 2023, l’équipage de l’avion de patrouille maritime Falcon 50 projeté à Dakar a entamé l’année sur un rythme aéronautique soutenu.

L’équipage a en effet participé depuis son arrivée à trois opérations de lutte contre les trafics illicites, contribuant ainsi à renforcer ses liens avec les forces partenaires de l’architecture de Yaoundé. L’équipage a ensuite pu s’acclimater aux particularités environnementales et aéronautiques de la région en réalisant ses premiers vols de surveillance maritime au large des côtes sénégalaises avant de participer à deux missions de secours en mer en appui des forces partenaires. Puis il a réalisé sa première mission de police des pêches en présence d’un inspecteur de la direction de protection et de la surveillance des pêches (DPSP) sénégalaise afin de constater d’éventuelles infractions au large du pays.

Source : Marine nationale


Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

publié le Lundi 22 janvier 2024

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

© Marine nationale

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

En prévision du futur déploiement du groupe aérien embarqué (GAé) à bord du porte-avions (PA) Charles de Gaulle, des séances d’appontages simulés sur piste (ASSP) étaient programmées sur les bases d’aéronautique navale (BAN) de Landivisiau et de Lann-Bihoué du 9 au 29 janvier 2024 et se poursuivront sur la BAN d’Istres.

Les séances d’ASSP sont nécessaires pour maintenir le personnel en condition opérationnelle. Elles sont un prérequis impératif avant la qualification à l’appontage de nouveaux pilotes. Elles permettent aussi d’assurer le réentraînement des pilotes de la chasse embarquée avant leur déploiement. Enfin, elles visent à garantir la sécurité du personnel et le haut niveau d’expertise du GAé.

La précision requise est extrême puisqu’il s’agit de poser un avion d’une quinzaine de tonnes évoluant à la vitesse de 250 km/h sur un pont d’envol, dont la superficie équivaut à celle d’un terrain de tennis, et qui se déplace lui-même à la vitesse de 40 km/h. Ainsi, lors des séances d’ASSP, les avions décrivent un circuit qui s’apparente à celui pratiqué à bord du porte-avions afin que les pilotes puissent acquérir les automatismes indispensables à l’appontage. Par ailleurs les pistes des BAN sont configurées de la même façon que celle du porte-avions (même marquage au sol) et dotées du même miroir d’appontage. Cet exercice mobilise pleinement les BAN qui se configurent pour reproduire l’environnement du bord. Les conditions étant cependant plus sûres, elles permettent aux pilotes d’affiner leur technique et de prendre leurs marques pour ensuite réaliser les manœuvres d’appontage en toute sécurité à bord.

D’une durée de 2 à 3 semaines, les ASSP ont généralement lieu dans le mois précédent le départ en mission du GAé. Chacun des pilotes de Rafale Marine et de E-2C Hawkeye embarqués s’y confrontera avant de pouvoir partir en mission, en réalisant 4 séances de 30 minutes sur 2 jours et 2 nuits.

Le rôle de l’officier d’appontage (OA)

Il est chargé de préparer les pilotes en qualification et les pilotes en réentraînement à la bonne réalisation d’un circuit d’appontage précis, standardisé, constant et sûr. En ASSP, l’OA conseille et instruit le pilote en donnant des ordres pour l’amener au niveau requis pour la qualification.

Ce sont des pilotes embarqués expérimentés et spécialement formés, dont les trois fonctions principales sont l’instruction des pilotes, le conseil auprès du commandement et l’expertise technique.

Les ASSP sont étroitement liés au contexte opérationnel ; ceux en cours s’inscrivent dans la préparation de la remontée en puissance du Charles de Gaulle et de son groupe aérien. A l’issue de son arrêt technique, le porte-avions devrait appareiller pour plusieurs semaines d’entraînement afin de recouvrer sa pleine condition opérationnelle.

 

Source : Marine nationale


Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

publié le Lundi 22 janvier 2024

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

© Marine nationale

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

En prévision du futur déploiement du groupe aérien embarqué (GAé) à bord du porte-avions (PA) Charles de Gaulle, des séances d’appontages simulés sur piste (ASSP) étaient programmées sur les bases d’aéronautique navale (BAN) de Landivisiau et de Lann-Bihoué du 9 au 29 janvier 2024 et se poursuivront sur la BAN d’Istres.

Les séances d’ASSP sont nécessaires pour maintenir le personnel en condition opérationnelle. Elles sont un prérequis impératif avant la qualification à l’appontage de nouveaux pilotes. Elles permettent aussi d’assurer le réentraînement des pilotes de la chasse embarquée avant leur déploiement. Enfin, elles visent à garantir la sécurité du personnel et le haut niveau d’expertise du GAé.

La précision requise est extrême puisqu’il s’agit de poser un avion d’une quinzaine de tonnes évoluant à la vitesse de 250 km/h sur un pont d’envol, dont la superficie équivaut à celle d’un terrain de tennis, et qui se déplace lui-même à la vitesse de 40 km/h. Ainsi, lors des séances d’ASSP, les avions décrivent un circuit qui s’apparente à celui pratiqué à bord du porte-avions afin que les pilotes puissent acquérir les automatismes indispensables à l’appontage. Par ailleurs les pistes des BAN sont configurées de la même façon que celle du porte-avions (même marquage au sol) et dotées du même miroir d’appontage. Cet exercice mobilise pleinement les BAN qui se configurent pour reproduire l’environnement du bord. Les conditions étant cependant plus sûres, elles permettent aux pilotes d’affiner leur technique et de prendre leurs marques pour ensuite réaliser les manœuvres d’appontage en toute sécurité à bord.

D’une durée de 2 à 3 semaines, les ASSP ont généralement lieu dans le mois précédent le départ en mission du GAé. Chacun des pilotes de Rafale Marine et de E-2C Hawkeye embarqués s’y confrontera avant de pouvoir partir en mission, en réalisant 4 séances de 30 minutes sur 2 jours et 2 nuits.

Le rôle de l’officier d’appontage (OA)

Il est chargé de préparer les pilotes en qualification et les pilotes en réentraînement à la bonne réalisation d’un circuit d’appontage précis, standardisé, constant et sûr. En ASSP, l’OA conseille et instruit le pilote en donnant des ordres pour l’amener au niveau requis pour la qualification.

Ce sont des pilotes embarqués expérimentés et spécialement formés, dont les trois fonctions principales sont l’instruction des pilotes, le conseil auprès du commandement et l’expertise technique.

Les ASSP sont étroitement liés au contexte opérationnel ; ceux en cours s’inscrivent dans la préparation de la remontée en puissance du Charles de Gaulle et de son groupe aérien. A l’issue de son arrêt technique, le porte-avions devrait appareiller pour plusieurs semaines d’entraînement afin de recouvrer sa pleine condition opérationnelle.

 

Source : Marine nationale


Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

publié le Lundi 22 janvier 2024

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

© Marine nationale

Séances d’appontages simulés sur piste pour le groupe aérien embarqué

En prévision du futur déploiement du groupe aérien embarqué (GAé) à bord du porte-avions (PA) Charles de Gaulle, des séances d’appontages simulés sur piste (ASSP) étaient programmées sur les bases d’aéronautique navale (BAN) de Landivisiau et de Lann-Bihoué du 9 au 29 janvier 2024 et se poursuivront sur la BAN d’Istres.

Les séances d’ASSP sont nécessaires pour maintenir le personnel en condition opérationnelle. Elles sont un prérequis impératif avant la qualification à l’appontage de nouveaux pilotes. Elles permettent aussi d’assurer le réentraînement des pilotes de la chasse embarquée avant leur déploiement. Enfin, elles visent à garantir la sécurité du personnel et le haut niveau d’expertise du GAé.

La précision requise est extrême puisqu’il s’agit de poser un avion d’une quinzaine de tonnes évoluant à la vitesse de 250 km/h sur un pont d’envol, dont la superficie équivaut à celle d’un terrain de tennis, et qui se déplace lui-même à la vitesse de 40 km/h. Ainsi, lors des séances d’ASSP, les avions décrivent un circuit qui s’apparente à celui pratiqué à bord du porte-avions afin que les pilotes puissent acquérir les automatismes indispensables à l’appontage. Par ailleurs les pistes des BAN sont configurées de la même façon que celle du porte-avions (même marquage au sol) et dotées du même miroir d’appontage. Cet exercice mobilise pleinement les BAN qui se configurent pour reproduire l’environnement du bord. Les conditions étant cependant plus sûres, elles permettent aux pilotes d’affiner leur technique et de prendre leurs marques pour ensuite réaliser les manœuvres d’appontage en toute sécurité à bord.

D’une durée de 2 à 3 semaines, les ASSP ont généralement lieu dans le mois précédent le départ en mission du GAé. Chacun des pilotes de Rafale Marine et de E-2C Hawkeye embarqués s’y confrontera avant de pouvoir partir en mission, en réalisant 4 séances de 30 minutes sur 2 jours et 2 nuits.

Le rôle de l’officier d’appontage (OA)

Il est chargé de préparer les pilotes en qualification et les pilotes en réentraînement à la bonne réalisation d’un circuit d’appontage précis, standardisé, constant et sûr. En ASSP, l’OA conseille et instruit le pilote en donnant des ordres pour l’amener au niveau requis pour la qualification.

Ce sont des pilotes embarqués expérimentés et spécialement formés, dont les trois fonctions principales sont l’instruction des pilotes, le conseil auprès du commandement et l’expertise technique.

Les ASSP sont étroitement liés au contexte opérationnel ; ceux en cours s’inscrivent dans la préparation de la remontée en puissance du Charles de Gaulle et de son groupe aérien. A l’issue de son arrêt technique, le porte-avions devrait appareiller pour plusieurs semaines d’entraînement afin de recouvrer sa pleine condition opérationnelle.

 

Source : Marine nationale


Passation d’alerte secours, protection, intervention entre la 32F et 33F

publié le Lundi 18 décembre 2023

Passation d’alerte secours, protection, intervention entre la 32F et 33F

Passation d’alerte secours, protection, intervention entre la 32F et 33F

© Marine nationale

Le 14 décembre 2023, le vice-amiral d’escadre Jean-François Quérat, préfet maritime pour l’Atlantique et commandant en chef de la zone maritime Atlantique, a présidé la cérémonie de passation d’alerte Secours, Protection et Intervention (SPI) entre les flottilles 32F et 33F.

Assuré par la Flottille 33F depuis 2011, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an, quelles que soient les conditions météorologiques, ces douze années ont été marquées par plus de 1000 opérations de secours en mer, 700 personnes secourues pour près de 2000 heures de vol réalisées au profit du CROSS.

L’alerte SPI est un dispositif de la Marine nationale permettant d’assurer la sécurité maritime sur zone via des moyens de l’aéronautique navale maintenus en alerte. Également appelée alerte SAR (search and rescue), cette mission était celle de la Flottille 32F avant sa mise en sommeil en 2016.

Après avoir reçu en juillet 2023 les trois premiers hélicoptères H160, la Flottille 32F est désormais réactivée. Ce jalon marque l’aboutissement de long mois de travail et d’études afin de maîtriser techniquement et tactiquement ce nouvel aéronef, en validant son aptitude à remplir la mission et en mettant en place son soutien opérationnel.

Configurés pour le sauvetage en mer, les hélicoptères H160 sont équipés d’un treuil, d’un système électro-optique et d’une cabine modulaire permettant un aménagement optimisé pour chaque mission. Ils seront également certifiés pour le vol avec jumelles de vision nocturne.

Ce savoir-faire acquis, est la garantie pour les équipages des bâtiments de la Force d’action navale et des sous-marins en opérations qu’ils seront évacués si la situation l’exige. C’est aussi l’assurance, de par son implantation en presqu’île de Crozon de pouvoir porter secours, par tous les temps, aux usagers de la mer en pointe Bretagne, de Belle-Ile à Saint-Malo.

Passation d’alerte secours, protection, intervention entre la 32F et 33F
Passation d’alerte secours, protection, intervention entre la 32F et 33F

Source : Marine nationale


La Flottille 23F en soutien des opérations en Méditerranée orientale

publié le Mercredi 13 décembre 2023

La Flottille 23F en soutien des opérations en Méditerranée orientale

La Flottille 23F en soutien des opérations en Méditerranée orientale

© Marine nationale

Le 24 novembre 2023 un détachement de la Flottille 23F opérant sur Atlantique 2 au standard 6 achevait un déploiement de plus de 3 semaines sur la base aéronautique de la Sude en Crète.

Ce déploiement opérationnel de 25 jours réalisé depuis la Grèce a permis à l’équipage d’œuvrer à l’entretien de notre connaissance autonome de la zone, de renforcer la sécurité des approches maritimes de l’Europe et de rappeler l’attachement de la France à la liberté de circulation maritime.

L’avion de patrouille maritime ATL2 est régulièrement amené à opérer aux limites orientales de l’Europe. Sa caméra optronique WESCAM et son radar Search Master font de cet avion un moyen particulièrement apprécié et adapté à la surveillance du trafic maritime civil et militaire.

L’équipage a effectué 14 vols opérationnels dans un environnement dense au profit de multiples acteurs parmi lesquels :

  • Le CTF 471 embarqué sur le porte-hélicoptères amphibie (PHA)Tonnerre déployé au Proche-Orient
  • Le commandement de zone et d’arrondissement maritimes Méditerranée (CECMED)
  • L’OTAN pour des missions de surveillance et de recherche de mines en mer Noire et de surveillance maritime en MEDOR et MEDCENT
  • Le commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA).

Au terme de leur mission, l’équipage et son équipe technique auront effectué plus de 110 heures de vol. 

La Flottille 23F en soutien des opérations en Méditerranée orientale
La Flottille 23F en soutien des opérations en Méditerranée orientale

Source : Marine nationale

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