Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

publié le Mercredi 16 août 2023

Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

© Marine nationale

Le 7 août 2023, le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Garonne était en escale à Halifax en Nouvelle Écosse. Cette escale a été mise à profit pour effectuer une relève d’équipage. L’équipage B qui a fait la traversée jusqu’à Halifax a été relevé par l’équipage A désormais prêt pour les prochains exercices interalliés qui vont se dérouler en Atlantique Nord.

Participant à la mission NANOOK-TUUGAALIK entre les côtes du Canada et du Groenland, la relève à Halifax (port base de la flotte canadienne atlantique) permet de réaliser une passation entre les deux équipages sur le lieu de départ de la mission, économisant ainsi les temps de trajets du bâtiment depuis la France. De cette manière, une fois le bâtiment pris en charge par l’équipage A, il sera opérationnel immédiatement sur zone.

Au départ d’Halifax, la mission NANOOK-TUUGAALIK donne la possibilité aux marines françaises, canadiennes et américaines de développer leurs compétences autour de la sécurité maritime en environnement polaire.

Actuellement, la Garonne est déployée dans le cadre de la mission LANA. Cette mission vise à enrichir la maîtrise de la zone Atlantique en particulier en environnement polaire et à tester la capacité du porteur à accueillir et à déployer à terre un groupement de commandos montagne.

Mais avant tout, une relève d’équipage, à quoi ça sert ?

La Garonne est un bâtiment à double équipage : l’équipage A et l’équipage B. Ce type d’armement répond à deux objectifs : optimiser le temps opérationnel du bâtiment afin de garantir une moyenne de 120 jours par an et améliorer l’équilibre vie professionnelle et vie privée des marins.

Chaque équipage alterne tous les 4 mois entre période « en charge » et période à terre (dite « en préparation »). Chaque relève mobilise l’ensemble du personnel des deux équipages afin que « les prenants » s’inscrivent pleinement dans la continuité opérationnelle et technique du bâtiment.

Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne
Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne
Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

Source : Marine nationale


Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

publié le Mercredi 16 août 2023

Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

© Marine nationale

Le 7 août 2023, le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Garonne était en escale à Halifax en Nouvelle Écosse. Cette escale a été mise à profit pour effectuer une relève d’équipage. L’équipage B qui a fait la traversée jusqu’à Halifax a été relevé par l’équipage A désormais prêt pour les prochains exercices interalliés qui vont se dérouler en Atlantique Nord.

Participant à la mission NANOOK-TUUGAALIK entre les côtes du Canada et du Groenland, la relève à Halifax (port base de la flotte canadienne atlantique) permet de réaliser une passation entre les deux équipages sur le lieu de départ de la mission, économisant ainsi les temps de trajets du bâtiment depuis la France. De cette manière, une fois le bâtiment pris en charge par l’équipage A, il sera opérationnel immédiatement sur zone.

Au départ d’Halifax, la mission NANOOK-TUUGAALIK donne la possibilité aux marines françaises, canadiennes et américaines de développer leurs compétences autour de la sécurité maritime en environnement polaire.

Actuellement, la Garonne est déployée dans le cadre de la mission LANA. Cette mission vise à enrichir la maîtrise de la zone Atlantique en particulier en environnement polaire et à tester la capacité du porteur à accueillir et à déployer à terre un groupement de commandos montagne.

Mais avant tout, une relève d’équipage, à quoi ça sert ?

La Garonne est un bâtiment à double équipage : l’équipage A et l’équipage B. Ce type d’armement répond à deux objectifs : optimiser le temps opérationnel du bâtiment afin de garantir une moyenne de 120 jours par an et améliorer l’équilibre vie professionnelle et vie privée des marins.

Chaque équipage alterne tous les 4 mois entre période « en charge » et période à terre (dite « en préparation »). Chaque relève mobilise l’ensemble du personnel des deux équipages afin que « les prenants » s’inscrivent pleinement dans la continuité opérationnelle et technique du bâtiment.

Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne
Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne
Relève d’équipage à Halifax pour les marins de la Garonne

Source : Marine nationale


Le BSAM Garonne en escale à Québec sur les traces de Cartier et de Champlain

publié le Vendredi 04 août 2023

Le BSAM Garonne en escale à Québec sur les traces de Cartier et de Champlain

Le BSAM Garonne en escale à Québec sur les traces de Cartier et de Champlain

© Marine nationale

Après avoir appareillé de l’archipel français de Saint-Pierre et Miquelon, le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Garonne est arrivé à Québec après trois jours de patrouille dans les eaux du golfe et de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent.

Les marins de la Garonne ont longé tour à tour la baie des Chaleurs, la côte du Labrador et l’Île d’Anticosti dans le sillage de leurs grands anciens et du premier voyage mythique de Jacques Cartier en 1534 vers Gaspé. Cet explorateur français, né à Saint-Malo, fut le premier européen à explorer et cartographier le golfe du Saint-Laurent. Il nomma ce vaste territoire « CANADA », un mot iroquois signifiant village, terre natale.
Accosté au pied des remparts du Vieux-Québec, c’est le nom illustre de Samuel de Champlain, fondateur de la ville et explorateur des grands lacs américains, qui résonne. Berceau historique de la Nouvelle-France, la ville de Québec constitue la plus ancienne présence française en Amérique du Nord. Elle reste aujourd’hui le cœur battant de cette province canadienne francophone.

Cette relâche opérationnelle, à l’occasion du déploiement de l’un de ses navires dans le Grand-Nord au Canada, participe du rayonnement de la Marine nationale et plus largement de la France outre-Atlantique. Plusieurs rencontres et visites d’autorités françaises et canadiennes se sont tenues à bord avec en particulier la remise d’une décoration militaire, la médaille d’outre-mer, à un pilote canadien de l’aéronavale. Pour la Garonne, il s’agit de la deuxième escale de son déploiement. La prochaine étape marquera la relève d'équipage et la poursuite de la mission dans les hautes latitudes.

Le BSAM Garonne en escale à Québec sur les traces de Cartier et de Champlain

Source : Marine nationale


Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

publié le Vendredi 23 juin 2023

 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

© Marine nationale

Du 12 au 17 juin 2023, le patrouilleur Fulmar, basé à Saint Pierre et Miquelon, et un avion de patrouille maritime Falcon 50M de Lann-Bihoue ont pris part à l’exercice ARGUS 23 le long des côtes du Groenland, près de Nuuk, la capitale.

Cet entraînement, organisé par le Joint Arctic Command (JACO) de Nuuk, l’USCG Atlantic Area et CECLANT, a permis de renforcer l’interopérabilité avec nos partenaires, d’améliorer nos procédures ainsi que notre connaissance de cet espace isolé et hostile où la température de l’eau ne dépasse pas 5 degrés et où les vents peuvent être violents.

Pendant 5 jours, ils ont multiplié les exercices de recherche et de sauvetage (Search and Rescue-SAR) mais également d’assistance et de lutte contre les pollutions avec le HDMS Knud Rasmussen danois, l’USCGC Sycamore américain ainsi qu’un hélicoptère EC225 et des vedettes de police groenlandais. La météorologie capricieuse ayant retardé la début d’exercice, les unités ont commencé par réviser leurs gammes au cours d’une journée d’entraînement individuel le 13 juin. La montée en puissance s’est poursuivie le 14 avec la réalisation d’entraînements mutuels, au remorquage et à l’assistance à un navire sinistré. Le point d’orgue de la semaine fut un important exercice SAR le 15 dans les fjords de Nuuk. Dans le scenario, les unités ont été mobilisées pour rechercher 10 personnes disparues après le retournement de leur embarcation. Après plus de 8 heures d’exercice, au cours desquelles le Fulmar a pu exercer la direction des opérations sur zone (On-Scene Commander) en lien avec le JACO, les unités ont relocalisé les naufragés puis leur ont administré les premiers soins avant de les transférer à terre. Cette séquence a ainsi permis de tester la bonne coordination des acteurs de la remontée de l’alerte jusqu’à la prise en charge médicale. La semaine s’est enfin conclue le vendredi 16 par une démonstration SAR au profit des autorités danoises, groenlandaises et américaines présentes à Nuuk. Le F50M a également profiter de la semaine pour évaluer plusieurs possibilités de terrain de déroutement entre Qaqatok au sud de l'île et Pituffik (anciennement Thule) à l’extrême Nord, l'occasion d'y découvrir cette base septentrionale de l’US Space Force (plus de 72°N ). 

Tous les ans, le JACO, qui est également JRCC (Joint Rescue Coordination Center) pour le Groenland, coordonne une centaine d’opérations SAR. Au cours de ce déploiement, le F50M a en particulier participé à l’une d’entre elles, le 11 juin, en lien avec des unités danoises et groenlandaises qui n’a malheureusement pas permis de sauver les deux marins-pêcheurs disparus.

 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23
 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

Source : Marine nationale


Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

publié le Vendredi 23 juin 2023

 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

© Marine nationale

Du 12 au 17 juin 2023, le patrouilleur Fulmar, basé à Saint Pierre et Miquelon, et un avion de patrouille maritime Falcon 50M de Lann-Bihoue ont pris part à l’exercice ARGUS 23 le long des côtes du Groenland, près de Nuuk, la capitale.

Cet entraînement, organisé par le Joint Arctic Command (JACO) de Nuuk, l’USCG Atlantic Area et CECLANT, a permis de renforcer l’interopérabilité avec nos partenaires, d’améliorer nos procédures ainsi que notre connaissance de cet espace isolé et hostile où la température de l’eau ne dépasse pas 5 degrés et où les vents peuvent être violents.

Pendant 5 jours, ils ont multiplié les exercices de recherche et de sauvetage (Search and Rescue-SAR) mais également d’assistance et de lutte contre les pollutions avec le HDMS Knud Rasmussen danois, l’USCGC Sycamore américain ainsi qu’un hélicoptère EC225 et des vedettes de police groenlandais. La météorologie capricieuse ayant retardé la début d’exercice, les unités ont commencé par réviser leurs gammes au cours d’une journée d’entraînement individuel le 13 juin. La montée en puissance s’est poursuivie le 14 avec la réalisation d’entraînements mutuels, au remorquage et à l’assistance à un navire sinistré. Le point d’orgue de la semaine fut un important exercice SAR le 15 dans les fjords de Nuuk. Dans le scenario, les unités ont été mobilisées pour rechercher 10 personnes disparues après le retournement de leur embarcation. Après plus de 8 heures d’exercice, au cours desquelles le Fulmar a pu exercer la direction des opérations sur zone (On-Scene Commander) en lien avec le JACO, les unités ont relocalisé les naufragés puis leur ont administré les premiers soins avant de les transférer à terre. Cette séquence a ainsi permis de tester la bonne coordination des acteurs de la remontée de l’alerte jusqu’à la prise en charge médicale. La semaine s’est enfin conclue le vendredi 16 par une démonstration SAR au profit des autorités danoises, groenlandaises et américaines présentes à Nuuk. Le F50M a également profiter de la semaine pour évaluer plusieurs possibilités de terrain de déroutement entre Qaqatok au sud de l'île et Pituffik (anciennement Thule) à l’extrême Nord, l'occasion d'y découvrir cette base septentrionale de l’US Space Force (plus de 72°N ). 

Tous les ans, le JACO, qui est également JRCC (Joint Rescue Coordination Center) pour le Groenland, coordonne une centaine d’opérations SAR. Au cours de ce déploiement, le F50M a en particulier participé à l’une d’entre elles, le 11 juin, en lien avec des unités danoises et groenlandaises qui n’a malheureusement pas permis de sauver les deux marins-pêcheurs disparus.

 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23
 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

Source : Marine nationale


Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

publié le Vendredi 23 juin 2023

 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

© Marine nationale

Du 12 au 17 juin 2023, le patrouilleur Fulmar, basé à Saint Pierre et Miquelon, et un avion de patrouille maritime Falcon 50M de Lann-Bihoue ont pris part à l’exercice ARGUS 23 le long des côtes du Groenland, près de Nuuk, la capitale.

Cet entraînement, organisé par le Joint Arctic Command (JACO) de Nuuk, l’USCG Atlantic Area et CECLANT, a permis de renforcer l’interopérabilité avec nos partenaires, d’améliorer nos procédures ainsi que notre connaissance de cet espace isolé et hostile où la température de l’eau ne dépasse pas 5 degrés et où les vents peuvent être violents.

Pendant 5 jours, ils ont multiplié les exercices de recherche et de sauvetage (Search and Rescue-SAR) mais également d’assistance et de lutte contre les pollutions avec le HDMS Knud Rasmussen danois, l’USCGC Sycamore américain ainsi qu’un hélicoptère EC225 et des vedettes de police groenlandais. La météorologie capricieuse ayant retardé la début d’exercice, les unités ont commencé par réviser leurs gammes au cours d’une journée d’entraînement individuel le 13 juin. La montée en puissance s’est poursuivie le 14 avec la réalisation d’entraînements mutuels, au remorquage et à l’assistance à un navire sinistré. Le point d’orgue de la semaine fut un important exercice SAR le 15 dans les fjords de Nuuk. Dans le scenario, les unités ont été mobilisées pour rechercher 10 personnes disparues après le retournement de leur embarcation. Après plus de 8 heures d’exercice, au cours desquelles le Fulmar a pu exercer la direction des opérations sur zone (On-Scene Commander) en lien avec le JACO, les unités ont relocalisé les naufragés puis leur ont administré les premiers soins avant de les transférer à terre. Cette séquence a ainsi permis de tester la bonne coordination des acteurs de la remontée de l’alerte jusqu’à la prise en charge médicale. La semaine s’est enfin conclue le vendredi 16 par une démonstration SAR au profit des autorités danoises, groenlandaises et américaines présentes à Nuuk. Le F50M a également profiter de la semaine pour évaluer plusieurs possibilités de terrain de déroutement entre Qaqatok au sud de l'île et Pituffik (anciennement Thule) à l’extrême Nord, l'occasion d'y découvrir cette base septentrionale de l’US Space Force (plus de 72°N ). 

Tous les ans, le JACO, qui est également JRCC (Joint Rescue Coordination Center) pour le Groenland, coordonne une centaine d’opérations SAR. Au cours de ce déploiement, le F50M a en particulier participé à l’une d’entre elles, le 11 juin, en lien avec des unités danoises et groenlandaises qui n’a malheureusement pas permis de sauver les deux marins-pêcheurs disparus.

 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23
 Le PSP Fulmar et un avion Falcon 50 participent à l’exercice ARGUS 23

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour l’Astrolabe A

publié le Jeudi 08 décembre 2022

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Passation de commandement pour l’Astrolabe A

© Marine nationale

Le 7 décembre 2022, à la base navale de Port des Galets, le capitaine de vaisseau Cyrille de Cerval, adjoint interarmées du commandant supérieur des forces armées de la zone sud de l’océan Indien et commandant de zone maritime, a fait reconnaître le capitaine de frégate Tanneguy Biseau comme commandant de l’équipage A du patrouilleur polaire L’Astrolabe. Il succède au capitaine de frégate Steven Caugant.

Au cours des dix-huit mois de commandement du CF Steven Caugant, l’équipage A de L’Astrolabea notamment conduit une mission de soutien logistique en Antarctique, une mission de surveillance maritime dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et une mission de ravitaillement des îles Eparses.

Le capitaine de frégate Tanneguy Biseau intègre l’École de maistrance en 1998. Il est admis à l’École navale via le concours interne en 2002 et termine sa campagne d’application en 2005 à bord de laJeanne d’Arc. Servant dans les forces de surface, il est ensuite affecté à bord du P400 La Railleuse en Polynésie française. Il sert ensuite sur la frégate anti-aérienne (FAA)Cassard. Après son cursus lutte au-dessus de la surface (LAS) à l’École des systèmes de combat et armes navales (ESCAN) en 2010, il est affecté comme commandant adjoint opérations (COMOPS) de la frégate de surveillance (FS)Ventôse en Martinique. En 2014, après deux ans comme chef de service à bord du porte-hélicoptères amphibie (PHA)Tonnerre, il prend le commandement du patrouilleur de service public (PSP)Pluvier. En août 2015, il est désigné pour servir à bord du porte-avionsCharles de Gaulle comme adjoint puis chef du service LAS. Il est déployé à deux reprises durant les missions ARROMANCHE II et III. Il participe à l’opération CHAMMAL lors d’une nouvelle affectation à bord de la FAACassard, comme COMOPS. Il est breveté de l’École de guerre en 2019 puis il rejoint le Bureau programmes à l’état-major de la Marine, comme officier programme Missiles et Artillerie navale. Il a exercé les fonctions de commandant en second du CF Caugant pendant 18 mois avant de prendre le commandement de l’équipage A du patrouilleur polaireL’Astrolabe.

Admis au service actif au mois de juin 2018, L’Astrolabe est un navire brise-glace né d’un partenariat interministériel conclu entre l’administration des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et la Marine nationale. Il effectue deux types de missions : de défense et de souveraineté dans nos zones économiques exclusives du sud de l’océan Indien, et de soutien à la logistique en Antarctique à travers le transport de fret, de carburant et de passagers entre l’Australie et la Terre Adélie au profit de l’institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV), délégataire pour les TAAF. Il contribue, par sa navigation brise-glace, au renforcement de la connaissance du milieu polaire. Basé au port de la Pointe des Galets, d’une longueur de 72 mètres et d’une largeur de 16 mètres, il est armé par un équipage de 21 marins.

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour l’Astrolabe A

publié le Jeudi 08 décembre 2022

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Passation de commandement pour l’Astrolabe A

© Marine nationale

Le 7 décembre 2022, à la base navale de Port des Galets, le capitaine de vaisseau Cyrille de Cerval, adjoint interarmées du commandant supérieur des forces armées de la zone sud de l’océan Indien et commandant de zone maritime, a fait reconnaître le capitaine de frégate Tanneguy Biseau comme commandant de l’équipage A du patrouilleur polaire L’Astrolabe. Il succède au capitaine de frégate Steven Caugant.

Au cours des dix-huit mois de commandement du CF Steven Caugant, l’équipage A de L’Astrolabea notamment conduit une mission de soutien logistique en Antarctique, une mission de surveillance maritime dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et une mission de ravitaillement des îles Eparses.

Le capitaine de frégate Tanneguy Biseau intègre l’École de maistrance en 1998. Il est admis à l’École navale via le concours interne en 2002 et termine sa campagne d’application en 2005 à bord de laJeanne d’Arc. Servant dans les forces de surface, il est ensuite affecté à bord du P400 La Railleuse en Polynésie française. Il sert ensuite sur la frégate anti-aérienne (FAA)Cassard. Après son cursus lutte au-dessus de la surface (LAS) à l’École des systèmes de combat et armes navales (ESCAN) en 2010, il est affecté comme commandant adjoint opérations (COMOPS) de la frégate de surveillance (FS)Ventôse en Martinique. En 2014, après deux ans comme chef de service à bord du porte-hélicoptères amphibie (PHA)Tonnerre, il prend le commandement du patrouilleur de service public (PSP)Pluvier. En août 2015, il est désigné pour servir à bord du porte-avionsCharles de Gaulle comme adjoint puis chef du service LAS. Il est déployé à deux reprises durant les missions ARROMANCHE II et III. Il participe à l’opération CHAMMAL lors d’une nouvelle affectation à bord de la FAACassard, comme COMOPS. Il est breveté de l’École de guerre en 2019 puis il rejoint le Bureau programmes à l’état-major de la Marine, comme officier programme Missiles et Artillerie navale. Il a exercé les fonctions de commandant en second du CF Caugant pendant 18 mois avant de prendre le commandement de l’équipage A du patrouilleur polaireL’Astrolabe.

Admis au service actif au mois de juin 2018, L’Astrolabe est un navire brise-glace né d’un partenariat interministériel conclu entre l’administration des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et la Marine nationale. Il effectue deux types de missions : de défense et de souveraineté dans nos zones économiques exclusives du sud de l’océan Indien, et de soutien à la logistique en Antarctique à travers le transport de fret, de carburant et de passagers entre l’Australie et la Terre Adélie au profit de l’institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV), délégataire pour les TAAF. Il contribue, par sa navigation brise-glace, au renforcement de la connaissance du milieu polaire. Basé au port de la Pointe des Galets, d’une longueur de 72 mètres et d’une largeur de 16 mètres, il est armé par un équipage de 21 marins.

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour l’Astrolabe A

publié le Jeudi 08 décembre 2022

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Passation de commandement pour l’Astrolabe A

© Marine nationale

Le 7 décembre 2022, à la base navale de Port des Galets, le capitaine de vaisseau Cyrille de Cerval, adjoint interarmées du commandant supérieur des forces armées de la zone sud de l’océan Indien et commandant de zone maritime, a fait reconnaître le capitaine de frégate Tanneguy Biseau comme commandant de l’équipage A du patrouilleur polaire L’Astrolabe. Il succède au capitaine de frégate Steven Caugant.

Au cours des dix-huit mois de commandement du CF Steven Caugant, l’équipage A de L’Astrolabea notamment conduit une mission de soutien logistique en Antarctique, une mission de surveillance maritime dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et une mission de ravitaillement des îles Eparses.

Le capitaine de frégate Tanneguy Biseau intègre l’École de maistrance en 1998. Il est admis à l’École navale via le concours interne en 2002 et termine sa campagne d’application en 2005 à bord de laJeanne d’Arc. Servant dans les forces de surface, il est ensuite affecté à bord du P400 La Railleuse en Polynésie française. Il sert ensuite sur la frégate anti-aérienne (FAA)Cassard. Après son cursus lutte au-dessus de la surface (LAS) à l’École des systèmes de combat et armes navales (ESCAN) en 2010, il est affecté comme commandant adjoint opérations (COMOPS) de la frégate de surveillance (FS)Ventôse en Martinique. En 2014, après deux ans comme chef de service à bord du porte-hélicoptères amphibie (PHA)Tonnerre, il prend le commandement du patrouilleur de service public (PSP)Pluvier. En août 2015, il est désigné pour servir à bord du porte-avionsCharles de Gaulle comme adjoint puis chef du service LAS. Il est déployé à deux reprises durant les missions ARROMANCHE II et III. Il participe à l’opération CHAMMAL lors d’une nouvelle affectation à bord de la FAACassard, comme COMOPS. Il est breveté de l’École de guerre en 2019 puis il rejoint le Bureau programmes à l’état-major de la Marine, comme officier programme Missiles et Artillerie navale. Il a exercé les fonctions de commandant en second du CF Caugant pendant 18 mois avant de prendre le commandement de l’équipage A du patrouilleur polaireL’Astrolabe.

Admis au service actif au mois de juin 2018, L’Astrolabe est un navire brise-glace né d’un partenariat interministériel conclu entre l’administration des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et la Marine nationale. Il effectue deux types de missions : de défense et de souveraineté dans nos zones économiques exclusives du sud de l’océan Indien, et de soutien à la logistique en Antarctique à travers le transport de fret, de carburant et de passagers entre l’Australie et la Terre Adélie au profit de l’institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV), délégataire pour les TAAF. Il contribue, par sa navigation brise-glace, au renforcement de la connaissance du milieu polaire. Basé au port de la Pointe des Galets, d’une longueur de 72 mètres et d’une largeur de 16 mètres, il est armé par un équipage de 21 marins.

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour l’Astrolabe A

publié le Jeudi 08 décembre 2022

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Passation de commandement pour l’Astrolabe A

© Marine nationale

Le 7 décembre 2022, à la base navale de Port des Galets, le capitaine de vaisseau Cyrille de Cerval, adjoint interarmées du commandant supérieur des forces armées de la zone sud de l’océan Indien et commandant de zone maritime, a fait reconnaître le capitaine de frégate Tanneguy Biseau comme commandant de l’équipage A du patrouilleur polaire L’Astrolabe. Il succède au capitaine de frégate Steven Caugant.

Au cours des dix-huit mois de commandement du CF Steven Caugant, l’équipage A de L’Astrolabea notamment conduit une mission de soutien logistique en Antarctique, une mission de surveillance maritime dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et une mission de ravitaillement des îles Eparses.

Le capitaine de frégate Tanneguy Biseau intègre l’École de maistrance en 1998. Il est admis à l’École navale via le concours interne en 2002 et termine sa campagne d’application en 2005 à bord de laJeanne d’Arc. Servant dans les forces de surface, il est ensuite affecté à bord du P400 La Railleuse en Polynésie française. Il sert ensuite sur la frégate anti-aérienne (FAA)Cassard. Après son cursus lutte au-dessus de la surface (LAS) à l’École des systèmes de combat et armes navales (ESCAN) en 2010, il est affecté comme commandant adjoint opérations (COMOPS) de la frégate de surveillance (FS)Ventôse en Martinique. En 2014, après deux ans comme chef de service à bord du porte-hélicoptères amphibie (PHA)Tonnerre, il prend le commandement du patrouilleur de service public (PSP)Pluvier. En août 2015, il est désigné pour servir à bord du porte-avionsCharles de Gaulle comme adjoint puis chef du service LAS. Il est déployé à deux reprises durant les missions ARROMANCHE II et III. Il participe à l’opération CHAMMAL lors d’une nouvelle affectation à bord de la FAACassard, comme COMOPS. Il est breveté de l’École de guerre en 2019 puis il rejoint le Bureau programmes à l’état-major de la Marine, comme officier programme Missiles et Artillerie navale. Il a exercé les fonctions de commandant en second du CF Caugant pendant 18 mois avant de prendre le commandement de l’équipage A du patrouilleur polaireL’Astrolabe.

Admis au service actif au mois de juin 2018, L’Astrolabe est un navire brise-glace né d’un partenariat interministériel conclu entre l’administration des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et la Marine nationale. Il effectue deux types de missions : de défense et de souveraineté dans nos zones économiques exclusives du sud de l’océan Indien, et de soutien à la logistique en Antarctique à travers le transport de fret, de carburant et de passagers entre l’Australie et la Terre Adélie au profit de l’institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV), délégataire pour les TAAF. Il contribue, par sa navigation brise-glace, au renforcement de la connaissance du milieu polaire. Basé au port de la Pointe des Galets, d’une longueur de 72 mètres et d’une largeur de 16 mètres, il est armé par un équipage de 21 marins.

 Passation de commandement pour l’Astrolabe A

Source : Marine nationale

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