Parrainage du sous-marin nucléaire d’attaque Suffren par la ville de Saint-Tropez

publié le Vendredi 10 mars 2023

Parrainage du sous-marin nucléaire d’attaque Suffren par la ville de Saint-Tropez

Parrainage du sous-marin nucléaire d’attaque Suffren par la ville de Saint-Tropez

© Marine nationale

Le 10 mars 2023, Saint-Tropez est devenu la ville marraine du sous-marin nucléaire d’attaque Suffren.

Sous le haut patronage de M. Louis Giscard-d’Estaing, président de l’association des villes marraines des forces armées, Sylvie Siri, maire de Saint-Tropez et les capitaines de frégate Antoine Richebé et Nicolas des Francs respectivement commandants des équipages rouge et bleu du SNA ont signé la charte de parrainage du Suffren par la ville.

Cette signature est l’aboutissement d’une démarche traduisant la volonté forte de la municipalité initiée en 2013. Déjà, le 14 octobre 1967, la ville de Saint-Tropez avait parrainé la frégate lance missile Suffren commandée par le capitaine de vaisseau Philippe de Gaulle.

Le parrainage du SNA Suffren dont l’agrément a été donné par le ministère des Armées en 2021 traduit le lien historique entre cette ville et les unités de la Marine nationale portant le nom prestigieux du Bailli de Suffren.

Pierre-André de Suffren dit « bailli de Suffren » est un illustre marin français du XVIIIe siècle, dont la bravoure, l’anticonformisme et le sens marin ont permis à la Marine et à la France de remporter plusieurs victoires., Ambassadeur de l’ordre de Malte auprès du Roi de France, il est l’une des figures de légende de la Marine nationale.

Si le SNA Suffren est la huitième unité de la Marine à porter ce nom prestigieux, il en est le premier sous-marin. Le premier bâtiment à avoir été baptisé Suffren fût un vaisseau de 74 canons lancé en 1791 à Brest.

SNA Suffren

 

Source : Marine nationale


ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

publié le Lundi 06 mars 2023

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

© EMA

Pendant près de 110 jours, le Groupe aéronaval (GAN) articulé autour du porte-avions Charles De Gaulle a été déployé dans le cadre de la mission ANTARES. Les 3 000 militaires français et alliés constituant cette force ont été engagés en Méditerranée, en mer Rouge et en océan Indien. Ils ont démontré les capacités de la France à intervenir avec ses partenaires pour défendre les intérêts communs.

En parcourant plus de 28 000 nautiques et après plus de 2 000 catapultages d’aéronefs, le GAN a affirmé partout l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation en mer. Il a de plus significativement complété l’appréciation autonome de situation des armées dans l’ensemble des zones traversées. Enfin, les nombreuses coopérations opérationnelles réalisées avec les forces armées de 23 nations[1] ont permis le renforcement des liens avec nos partenaires.

Dans un premier temps, le GAN a été déployé en Méditerranée, d’où il a contribué à la maîtrise de la situation aéromaritime, en se coordonnant avec les forces alliées. Depuis la Méditerranée centrale, le GAN a pris part au renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’OTAN sur le flanc Est en effectuant des vols dans le cadre de AIR SHIELDING. Dans un deuxième temps, depuis la Méditerranée orientale, le GAN a participé à l’opération CHAMMAL, volet français de l’opération INHERENT RESOLVE, en soutien des forces de sécurité irakiennes engagées dans la lutte contre Daech. Dans un contexte où la guerre entre la Russie et l’Ukraine représente une menace majeure pour la stabilité et la sécurité collective, la présence du GAN aux côtés de ses alliés et partenaires témoigne de l’engagement de la France pour garantir la stabilité de cette région.

Cet engagement s’est poursuivi jusqu’en Indopacifique, à partir de la mer Rouge et du nord de l’océan Indien. Sur cet autre théâtre d’opération, le GAN a contribué à la sécurisation des voies maritimes, en lien avec les forces françaises stationnées dans la région, les nombreux partenaires de la zone mais aussi les task forces multinationales. Il a à cette occasion notamment été placé en soutien de l’opération européenne ATALANTE, opération de lutte contre la piraterie et les trafics illicites. Par ailleurs, l’exercice d’envergure VARUNA a permis de souligner les 25 ans du partenariat stratégique avec l’Inde, en intégrant notamment une frégate au GAN et en procédant à de nombreux exercices de combats aériens.

Par ailleurs, les points d’appui des armées françaises que sont Djibouti ou les forces françaises aux Emirats Arabes Unis ont notamment permis au GAN de réaliser des interactions bilatérales et multinationales de haut-niveau, en mer comme dans les airs, jusqu’à Singapour, renforçant les liens avec nos partenaires en vue des opérations communes.

La fin de la mission ANTARES a été marquée par la participation du GAN à ORION, exercice de haute intensité, à la fois interarmées et multinational, basé sur un scénario réaliste et une confrontation libre de forces symétriques. Le GAN a conduit plusieurs actions de projection de forces pour conquérir la supériorité opérationnelle, soutenir l’entrée en premier et appuyer la tête de pont débarquée par la force amphibie.

Puissant message de solidarité et de réassurance, Antarès a contribué à renforcer une nouvelle fois la crédibilité opérationnelle de nos Armées.

Déployé loin, longtemps et en équipage, le groupe aéronaval a contribué à l’appréciation autonome de situation de la France et au renforcement des liens avec ses partenaires majeurs en mer Méditerranée, en mer Rouge et plus globalement dans la zone Indopacifique. Durant sa mission ANTARES, le GAN a démontré l’engagement de la France dans ces zones stratégiques dont elle est riveraine et souveraine et dont elle partage les enjeux sécuritaires.

[1] Allemagne, Arabie Saoudite, Bulgarie, Chypre, Djibouti, Egypte, Émirats arabes unis, Espagne, Grèce, Inde, Irak, Israël, Italie, Japon, Jordanie, Oman, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Singapour, Turquie, USA

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

Source : Etat-major des armées


ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

publié le Lundi 06 mars 2023

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

© EMA

Pendant près de 110 jours, le Groupe aéronaval (GAN) articulé autour du porte-avions Charles De Gaulle a été déployé dans le cadre de la mission ANTARES. Les 3 000 militaires français et alliés constituant cette force ont été engagés en Méditerranée, en mer Rouge et en océan Indien. Ils ont démontré les capacités de la France à intervenir avec ses partenaires pour défendre les intérêts communs.

En parcourant plus de 28 000 nautiques et après plus de 2 000 catapultages d’aéronefs, le GAN a affirmé partout l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation en mer. Il a de plus significativement complété l’appréciation autonome de situation des armées dans l’ensemble des zones traversées. Enfin, les nombreuses coopérations opérationnelles réalisées avec les forces armées de 23 nations[1] ont permis le renforcement des liens avec nos partenaires.

Dans un premier temps, le GAN a été déployé en Méditerranée, d’où il a contribué à la maîtrise de la situation aéromaritime, en se coordonnant avec les forces alliées. Depuis la Méditerranée centrale, le GAN a pris part au renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’OTAN sur le flanc Est en effectuant des vols dans le cadre de AIR SHIELDING. Dans un deuxième temps, depuis la Méditerranée orientale, le GAN a participé à l’opération CHAMMAL, volet français de l’opération INHERENT RESOLVE, en soutien des forces de sécurité irakiennes engagées dans la lutte contre Daech. Dans un contexte où la guerre entre la Russie et l’Ukraine représente une menace majeure pour la stabilité et la sécurité collective, la présence du GAN aux côtés de ses alliés et partenaires témoigne de l’engagement de la France pour garantir la stabilité de cette région.

Cet engagement s’est poursuivi jusqu’en Indopacifique, à partir de la mer Rouge et du nord de l’océan Indien. Sur cet autre théâtre d’opération, le GAN a contribué à la sécurisation des voies maritimes, en lien avec les forces françaises stationnées dans la région, les nombreux partenaires de la zone mais aussi les task forces multinationales. Il a à cette occasion notamment été placé en soutien de l’opération européenne ATALANTE, opération de lutte contre la piraterie et les trafics illicites. Par ailleurs, l’exercice d’envergure VARUNA a permis de souligner les 25 ans du partenariat stratégique avec l’Inde, en intégrant notamment une frégate au GAN et en procédant à de nombreux exercices de combats aériens.

Par ailleurs, les points d’appui des armées françaises que sont Djibouti ou les forces françaises aux Emirats Arabes Unis ont notamment permis au GAN de réaliser des interactions bilatérales et multinationales de haut-niveau, en mer comme dans les airs, jusqu’à Singapour, renforçant les liens avec nos partenaires en vue des opérations communes.

La fin de la mission ANTARES a été marquée par la participation du GAN à ORION, exercice de haute intensité, à la fois interarmées et multinational, basé sur un scénario réaliste et une confrontation libre de forces symétriques. Le GAN a conduit plusieurs actions de projection de forces pour conquérir la supériorité opérationnelle, soutenir l’entrée en premier et appuyer la tête de pont débarquée par la force amphibie.

Puissant message de solidarité et de réassurance, Antarès a contribué à renforcer une nouvelle fois la crédibilité opérationnelle de nos Armées.

Déployé loin, longtemps et en équipage, le groupe aéronaval a contribué à l’appréciation autonome de situation de la France et au renforcement des liens avec ses partenaires majeurs en mer Méditerranée, en mer Rouge et plus globalement dans la zone Indopacifique. Durant sa mission ANTARES, le GAN a démontré l’engagement de la France dans ces zones stratégiques dont elle est riveraine et souveraine et dont elle partage les enjeux sécuritaires.

[1] Allemagne, Arabie Saoudite, Bulgarie, Chypre, Djibouti, Egypte, Émirats arabes unis, Espagne, Grèce, Inde, Irak, Israël, Italie, Japon, Jordanie, Oman, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Singapour, Turquie, USA

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

Source : Etat-major des armées


ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

publié le Lundi 06 mars 2023

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

© EMA

Pendant près de 110 jours, le Groupe aéronaval (GAN) articulé autour du porte-avions Charles De Gaulle a été déployé dans le cadre de la mission ANTARES. Les 3 000 militaires français et alliés constituant cette force ont été engagés en Méditerranée, en mer Rouge et en océan Indien. Ils ont démontré les capacités de la France à intervenir avec ses partenaires pour défendre les intérêts communs.

En parcourant plus de 28 000 nautiques et après plus de 2 000 catapultages d’aéronefs, le GAN a affirmé partout l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation en mer. Il a de plus significativement complété l’appréciation autonome de situation des armées dans l’ensemble des zones traversées. Enfin, les nombreuses coopérations opérationnelles réalisées avec les forces armées de 23 nations[1] ont permis le renforcement des liens avec nos partenaires.

Dans un premier temps, le GAN a été déployé en Méditerranée, d’où il a contribué à la maîtrise de la situation aéromaritime, en se coordonnant avec les forces alliées. Depuis la Méditerranée centrale, le GAN a pris part au renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’OTAN sur le flanc Est en effectuant des vols dans le cadre de AIR SHIELDING. Dans un deuxième temps, depuis la Méditerranée orientale, le GAN a participé à l’opération CHAMMAL, volet français de l’opération INHERENT RESOLVE, en soutien des forces de sécurité irakiennes engagées dans la lutte contre Daech. Dans un contexte où la guerre entre la Russie et l’Ukraine représente une menace majeure pour la stabilité et la sécurité collective, la présence du GAN aux côtés de ses alliés et partenaires témoigne de l’engagement de la France pour garantir la stabilité de cette région.

Cet engagement s’est poursuivi jusqu’en Indopacifique, à partir de la mer Rouge et du nord de l’océan Indien. Sur cet autre théâtre d’opération, le GAN a contribué à la sécurisation des voies maritimes, en lien avec les forces françaises stationnées dans la région, les nombreux partenaires de la zone mais aussi les task forces multinationales. Il a à cette occasion notamment été placé en soutien de l’opération européenne ATALANTE, opération de lutte contre la piraterie et les trafics illicites. Par ailleurs, l’exercice d’envergure VARUNA a permis de souligner les 25 ans du partenariat stratégique avec l’Inde, en intégrant notamment une frégate au GAN et en procédant à de nombreux exercices de combats aériens.

Par ailleurs, les points d’appui des armées françaises que sont Djibouti ou les forces françaises aux Emirats Arabes Unis ont notamment permis au GAN de réaliser des interactions bilatérales et multinationales de haut-niveau, en mer comme dans les airs, jusqu’à Singapour, renforçant les liens avec nos partenaires en vue des opérations communes.

La fin de la mission ANTARES a été marquée par la participation du GAN à ORION, exercice de haute intensité, à la fois interarmées et multinational, basé sur un scénario réaliste et une confrontation libre de forces symétriques. Le GAN a conduit plusieurs actions de projection de forces pour conquérir la supériorité opérationnelle, soutenir l’entrée en premier et appuyer la tête de pont débarquée par la force amphibie.

Puissant message de solidarité et de réassurance, Antarès a contribué à renforcer une nouvelle fois la crédibilité opérationnelle de nos Armées.

Déployé loin, longtemps et en équipage, le groupe aéronaval a contribué à l’appréciation autonome de situation de la France et au renforcement des liens avec ses partenaires majeurs en mer Méditerranée, en mer Rouge et plus globalement dans la zone Indopacifique. Durant sa mission ANTARES, le GAN a démontré l’engagement de la France dans ces zones stratégiques dont elle est riveraine et souveraine et dont elle partage les enjeux sécuritaires.

[1] Allemagne, Arabie Saoudite, Bulgarie, Chypre, Djibouti, Egypte, Émirats arabes unis, Espagne, Grèce, Inde, Irak, Israël, Italie, Japon, Jordanie, Oman, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Singapour, Turquie, USA

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

Source : Etat-major des armées


ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

publié le Lundi 06 mars 2023

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

© EMA

Pendant près de 110 jours, le Groupe aéronaval (GAN) articulé autour du porte-avions Charles De Gaulle a été déployé dans le cadre de la mission ANTARES. Les 3 000 militaires français et alliés constituant cette force ont été engagés en Méditerranée, en mer Rouge et en océan Indien. Ils ont démontré les capacités de la France à intervenir avec ses partenaires pour défendre les intérêts communs.

En parcourant plus de 28 000 nautiques et après plus de 2 000 catapultages d’aéronefs, le GAN a affirmé partout l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation en mer. Il a de plus significativement complété l’appréciation autonome de situation des armées dans l’ensemble des zones traversées. Enfin, les nombreuses coopérations opérationnelles réalisées avec les forces armées de 23 nations[1] ont permis le renforcement des liens avec nos partenaires.

Dans un premier temps, le GAN a été déployé en Méditerranée, d’où il a contribué à la maîtrise de la situation aéromaritime, en se coordonnant avec les forces alliées. Depuis la Méditerranée centrale, le GAN a pris part au renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’OTAN sur le flanc Est en effectuant des vols dans le cadre de AIR SHIELDING. Dans un deuxième temps, depuis la Méditerranée orientale, le GAN a participé à l’opération CHAMMAL, volet français de l’opération INHERENT RESOLVE, en soutien des forces de sécurité irakiennes engagées dans la lutte contre Daech. Dans un contexte où la guerre entre la Russie et l’Ukraine représente une menace majeure pour la stabilité et la sécurité collective, la présence du GAN aux côtés de ses alliés et partenaires témoigne de l’engagement de la France pour garantir la stabilité de cette région.

Cet engagement s’est poursuivi jusqu’en Indopacifique, à partir de la mer Rouge et du nord de l’océan Indien. Sur cet autre théâtre d’opération, le GAN a contribué à la sécurisation des voies maritimes, en lien avec les forces françaises stationnées dans la région, les nombreux partenaires de la zone mais aussi les task forces multinationales. Il a à cette occasion notamment été placé en soutien de l’opération européenne ATALANTE, opération de lutte contre la piraterie et les trafics illicites. Par ailleurs, l’exercice d’envergure VARUNA a permis de souligner les 25 ans du partenariat stratégique avec l’Inde, en intégrant notamment une frégate au GAN et en procédant à de nombreux exercices de combats aériens.

Par ailleurs, les points d’appui des armées françaises que sont Djibouti ou les forces françaises aux Emirats Arabes Unis ont notamment permis au GAN de réaliser des interactions bilatérales et multinationales de haut-niveau, en mer comme dans les airs, jusqu’à Singapour, renforçant les liens avec nos partenaires en vue des opérations communes.

La fin de la mission ANTARES a été marquée par la participation du GAN à ORION, exercice de haute intensité, à la fois interarmées et multinational, basé sur un scénario réaliste et une confrontation libre de forces symétriques. Le GAN a conduit plusieurs actions de projection de forces pour conquérir la supériorité opérationnelle, soutenir l’entrée en premier et appuyer la tête de pont débarquée par la force amphibie.

Puissant message de solidarité et de réassurance, Antarès a contribué à renforcer une nouvelle fois la crédibilité opérationnelle de nos Armées.

Déployé loin, longtemps et en équipage, le groupe aéronaval a contribué à l’appréciation autonome de situation de la France et au renforcement des liens avec ses partenaires majeurs en mer Méditerranée, en mer Rouge et plus globalement dans la zone Indopacifique. Durant sa mission ANTARES, le GAN a démontré l’engagement de la France dans ces zones stratégiques dont elle est riveraine et souveraine et dont elle partage les enjeux sécuritaires.

[1] Allemagne, Arabie Saoudite, Bulgarie, Chypre, Djibouti, Egypte, Émirats arabes unis, Espagne, Grèce, Inde, Irak, Israël, Italie, Japon, Jordanie, Oman, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Singapour, Turquie, USA

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

Source : Etat-major des armées


ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

publié le Lundi 06 mars 2023

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

© EMA

Pendant près de 110 jours, le Groupe aéronaval (GAN) articulé autour du porte-avions Charles De Gaulle a été déployé dans le cadre de la mission ANTARES. Les 3 000 militaires français et alliés constituant cette force ont été engagés en Méditerranée, en mer Rouge et en océan Indien. Ils ont démontré les capacités de la France à intervenir avec ses partenaires pour défendre les intérêts communs.

En parcourant plus de 28 000 nautiques et après plus de 2 000 catapultages d’aéronefs, le GAN a affirmé partout l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation en mer. Il a de plus significativement complété l’appréciation autonome de situation des armées dans l’ensemble des zones traversées. Enfin, les nombreuses coopérations opérationnelles réalisées avec les forces armées de 23 nations[1] ont permis le renforcement des liens avec nos partenaires.

Dans un premier temps, le GAN a été déployé en Méditerranée, d’où il a contribué à la maîtrise de la situation aéromaritime, en se coordonnant avec les forces alliées. Depuis la Méditerranée centrale, le GAN a pris part au renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’OTAN sur le flanc Est en effectuant des vols dans le cadre de AIR SHIELDING. Dans un deuxième temps, depuis la Méditerranée orientale, le GAN a participé à l’opération CHAMMAL, volet français de l’opération INHERENT RESOLVE, en soutien des forces de sécurité irakiennes engagées dans la lutte contre Daech. Dans un contexte où la guerre entre la Russie et l’Ukraine représente une menace majeure pour la stabilité et la sécurité collective, la présence du GAN aux côtés de ses alliés et partenaires témoigne de l’engagement de la France pour garantir la stabilité de cette région.

Cet engagement s’est poursuivi jusqu’en Indopacifique, à partir de la mer Rouge et du nord de l’océan Indien. Sur cet autre théâtre d’opération, le GAN a contribué à la sécurisation des voies maritimes, en lien avec les forces françaises stationnées dans la région, les nombreux partenaires de la zone mais aussi les task forces multinationales. Il a à cette occasion notamment été placé en soutien de l’opération européenne ATALANTE, opération de lutte contre la piraterie et les trafics illicites. Par ailleurs, l’exercice d’envergure VARUNA a permis de souligner les 25 ans du partenariat stratégique avec l’Inde, en intégrant notamment une frégate au GAN et en procédant à de nombreux exercices de combats aériens.

Par ailleurs, les points d’appui des armées françaises que sont Djibouti ou les forces françaises aux Emirats Arabes Unis ont notamment permis au GAN de réaliser des interactions bilatérales et multinationales de haut-niveau, en mer comme dans les airs, jusqu’à Singapour, renforçant les liens avec nos partenaires en vue des opérations communes.

La fin de la mission ANTARES a été marquée par la participation du GAN à ORION, exercice de haute intensité, à la fois interarmées et multinational, basé sur un scénario réaliste et une confrontation libre de forces symétriques. Le GAN a conduit plusieurs actions de projection de forces pour conquérir la supériorité opérationnelle, soutenir l’entrée en premier et appuyer la tête de pont débarquée par la force amphibie.

Puissant message de solidarité et de réassurance, Antarès a contribué à renforcer une nouvelle fois la crédibilité opérationnelle de nos Armées.

Déployé loin, longtemps et en équipage, le groupe aéronaval a contribué à l’appréciation autonome de situation de la France et au renforcement des liens avec ses partenaires majeurs en mer Méditerranée, en mer Rouge et plus globalement dans la zone Indopacifique. Durant sa mission ANTARES, le GAN a démontré l’engagement de la France dans ces zones stratégiques dont elle est riveraine et souveraine et dont elle partage les enjeux sécuritaires.

[1] Allemagne, Arabie Saoudite, Bulgarie, Chypre, Djibouti, Egypte, Émirats arabes unis, Espagne, Grèce, Inde, Irak, Israël, Italie, Japon, Jordanie, Oman, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Singapour, Turquie, USA

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

Source : Etat-major des armées


ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

publié le Lundi 06 mars 2023

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

© EMA

Pendant près de 110 jours, le Groupe aéronaval (GAN) articulé autour du porte-avions Charles De Gaulle a été déployé dans le cadre de la mission ANTARES. Les 3 000 militaires français et alliés constituant cette force ont été engagés en Méditerranée, en mer Rouge et en océan Indien. Ils ont démontré les capacités de la France à intervenir avec ses partenaires pour défendre les intérêts communs.

En parcourant plus de 28 000 nautiques et après plus de 2 000 catapultages d’aéronefs, le GAN a affirmé partout l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation en mer. Il a de plus significativement complété l’appréciation autonome de situation des armées dans l’ensemble des zones traversées. Enfin, les nombreuses coopérations opérationnelles réalisées avec les forces armées de 23 nations[1] ont permis le renforcement des liens avec nos partenaires.

Dans un premier temps, le GAN a été déployé en Méditerranée, d’où il a contribué à la maîtrise de la situation aéromaritime, en se coordonnant avec les forces alliées. Depuis la Méditerranée centrale, le GAN a pris part au renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’OTAN sur le flanc Est en effectuant des vols dans le cadre de AIR SHIELDING. Dans un deuxième temps, depuis la Méditerranée orientale, le GAN a participé à l’opération CHAMMAL, volet français de l’opération INHERENT RESOLVE, en soutien des forces de sécurité irakiennes engagées dans la lutte contre Daech. Dans un contexte où la guerre entre la Russie et l’Ukraine représente une menace majeure pour la stabilité et la sécurité collective, la présence du GAN aux côtés de ses alliés et partenaires témoigne de l’engagement de la France pour garantir la stabilité de cette région.

Cet engagement s’est poursuivi jusqu’en Indopacifique, à partir de la mer Rouge et du nord de l’océan Indien. Sur cet autre théâtre d’opération, le GAN a contribué à la sécurisation des voies maritimes, en lien avec les forces françaises stationnées dans la région, les nombreux partenaires de la zone mais aussi les task forces multinationales. Il a à cette occasion notamment été placé en soutien de l’opération européenne ATALANTE, opération de lutte contre la piraterie et les trafics illicites. Par ailleurs, l’exercice d’envergure VARUNA a permis de souligner les 25 ans du partenariat stratégique avec l’Inde, en intégrant notamment une frégate au GAN et en procédant à de nombreux exercices de combats aériens.

Par ailleurs, les points d’appui des armées françaises que sont Djibouti ou les forces françaises aux Emirats Arabes Unis ont notamment permis au GAN de réaliser des interactions bilatérales et multinationales de haut-niveau, en mer comme dans les airs, jusqu’à Singapour, renforçant les liens avec nos partenaires en vue des opérations communes.

La fin de la mission ANTARES a été marquée par la participation du GAN à ORION, exercice de haute intensité, à la fois interarmées et multinational, basé sur un scénario réaliste et une confrontation libre de forces symétriques. Le GAN a conduit plusieurs actions de projection de forces pour conquérir la supériorité opérationnelle, soutenir l’entrée en premier et appuyer la tête de pont débarquée par la force amphibie.

Puissant message de solidarité et de réassurance, Antarès a contribué à renforcer une nouvelle fois la crédibilité opérationnelle de nos Armées.

Déployé loin, longtemps et en équipage, le groupe aéronaval a contribué à l’appréciation autonome de situation de la France et au renforcement des liens avec ses partenaires majeurs en mer Méditerranée, en mer Rouge et plus globalement dans la zone Indopacifique. Durant sa mission ANTARES, le GAN a démontré l’engagement de la France dans ces zones stratégiques dont elle est riveraine et souveraine et dont elle partage les enjeux sécuritaires.

[1] Allemagne, Arabie Saoudite, Bulgarie, Chypre, Djibouti, Egypte, Émirats arabes unis, Espagne, Grèce, Inde, Irak, Israël, Italie, Japon, Jordanie, Oman, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Singapour, Turquie, USA

 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien
 ANTARES – Bilan du déploiement du groupe aéronaval de la Méditerranée à l’océan Indien

Source : Etat-major des armées


Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale

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