Les élèves de l’École navale au musée national de la Marine pour la journée d’Histoire navale

publié le Jeudi 14 mars 2024

Les élèves de l’École navale au musée national de la Marine pour la journée d’Histoire navale

Les élèves de l’École navale au musée national de la Marine pour la journée d’Histoire navale

© Marine nationale

Les élèves de la promotion 2023 de l’École navale se sont rendus à Paris pour assister à la 12ème édition de la Journée dHistoire navale qui se tenait au musée national de la Marine.

Une réelle opportunité

Le directeur du musée, M. Thierry Gausseron, a ouvert cette journée en rappelant la vocation du musée et les objectifs de sa récente rénovation, invitant chacun et notamment les élèves-officiers de l’École navale à le visiter. Je suis heureux d'accueillir des bordaches, des jeunes qui ont pris la même voie que j'ai pu prendre à l'époque. Le vice-amiral Laurent Hemmer, commandant l'École navale, a remercié le directeur du musée de son accueil et a mis l'accent sur l'importance dapprendre lHistoire navale afin dagir de façon éclairée.

Le réarmement naval, thème de la Journée dHistoire navale 2024

La journée sest ensuite articulée autour de diverses conférences et tables rondes de grande qualité sur le sujet du réarmement naval traité sous différents angles, associant universitaires, industriels et militaires. Des séances de questions-réponses entre les élèves-officiers et les conférenciers ont donné lieu à des échanges animés ayant permis dapprofondir et développer les notions abordées.

Un point de vue différent

Aux côtés des bordaches de la promotion EN23 se tenaient également de nombreux étudiants des universités de la Sorbonne et de Paris II Assas, en master « armées guerre sécurité » pour les uns et en master « sécurité défense » pour les autres. Était également présent, un groupe d’étudiants de linstitut catholique de Paris.

Attentifs aux présentations des conférenciers, les étudiants civils ont ainsi pu appréhender des domaines d'intérêt proches de leur sujet d'étude. L’intérêt de la JHN, c'était davoir un point de vue différent de celui dont on a l'habitude en cours. Entre autres, on ne se focalise jamais sur un tel sujet à l'École navale. De plus, c'est abordé par de nouveaux intervenants venant de divers horizons. C'est passionnant et spécifique. C'est fascinant de pouvoir s’intéresser à des aspects précis de l'histoire. Concrètement, nous avons eu beaucoup d'informations portant sur divers pays, on a pu s'ouvrir à leur histoire et actualité. L’élève-officier Laura nous confie également son intérêt tout particulier pour la conférence portant sur l'Allemagne de Bismarck et la Chine, parallèle entre ces deux pays qu’elle a trouvé captivante.

En apprendre davantage

Quant à l’élève-officier Rémy, il a davantage apprécié la conférence du capitaine de frégate François-Olivier Corman, intitulée « Sisyphe était-il marin ? Réflexion sur l'innovation navale ». « C'était donc une opportunité d'en apprendre davantage et de se pencher sur ces sujets captivants ».

Cette journée dHistoire navale a été profitable aux élèves-officiers de l’École navale ainsi qu’aux étudiants des universités partenaires de l’événement. Elle a été organisée avec le soutien financier de la Fondation française de lOrdre de Malte, chaleureusement remerciée.

Le ravivage de la Flamme

Pour achever cette journée, les élèves de l’École navale ont profité de leur déplacement à Paris pour participer à la cérémonie de ravivage de la flamme sur la tombe du soldat inconnu : un moment solennel et une première pour ces jeunes officiers.

Les élèves de l’École navale au musée national de la Marine pour la journée d’Histoire navale
Les élèves de l’École navale au musée national de la Marine pour la journée d’Histoire navale
Les élèves de l’École navale au musée national de la Marine pour la journée d’Histoire navale

Source : Marine nationale


Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre

publié le Vendredi 09 février 2024

Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre

Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre

© Marine nationale

Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre

L’École navale, le pôle écoles Méditerranée mais aussi le centre d’études stratégiques de la Marine organisent régulièrement des Wargame au profit de leurs élèves.

Ce concept, né au XIXe siècle, à la suite des guerres de 1870, est créé par un officier de l’armée prussienne, dans le but de simuler des batailles afin de former des officiers à planifier des opérations. Alors pratiquée de manière intensive, cette pratique s’est affaiblie en France, à la suite de la Seconde Guerre mondiale.

Le Wargame reste un outil précieux

Les joueurs doivent comprendre comment s’articulent la tactique et la stratégie. C’est un support de réflexion pour se pencher sur la question de qu’est-ce que la guerre moderne aujourd’hui et en l’occurrence la guerre navale. Cela n’apporte, bien sûr, pas des réponses définitives mais permet d’orienter la réflexion.

Un jeu de guerre combine généralement une carte, des pièces de jeu appelées pions représentant des personnages ou unités militaires et une série de règles qui expliquent ce que les joueurs peuvent faire ou ne pas faire. Son objectif est de permettre au joueur de recréer un évènement spécifique, qu’il soit historique ou non, et d’en modifier le cours. Il répond au besoin de projection des idées de manœuvre au-delà du premier contact et avec une dose d’incertitude sur l’ennemi.

Le jeu est très souvent organisé en double aveugle, c’est à dire que chaque équipe ne perçoit de l’autre que ce que les senseurs lui renvoient. Cela permet de simuler le brouillard de la guerre. De manière ludique et théorique, les élèves se basent sur les forces de l’époque et apprennent à réagir en situation de conflit naval. Le Wargame est utile à la préparation navale ou tout simplement pour parfaire ses connaissances.

L'origine du jeu de guerre comme outil de simulation se perd dans le temps, mais on fait souvent référence au VIIe siècle av. J.-C. avec l'apparition de jeux de stratégie comme le Wei Hei et le Chaturanga. Le Chaturanga va évoluer au fil des années pour devenir le jeu d'échecs traditionnel, qui lui-même va être transformé par les militaires en échecs de guerre pour simuler des batailles.

Actuellement, le Wargame en tant qu'outil de simulation et d'aide à la décision stratégique est utilisé par les militaires, mais aussi par les chefs d'entreprises et autres décideurs politiques.

Dans le domaine militaire, les jeux de guerre se sont diversifiés pour répondre à différents objectifs :

  • de coût pour entraîner les soldats ;
  • de réalisme pour mettre le personnel dans des situations proches de la réalité du terrain en opérations ;
  • de modernité pour répondre aux défis que l’interconnexion des réseaux fait peser sur la gestion d’un champ de bataille.
Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre
Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre
Le saviez-vous ? Le Wargame ou jeu de guerre

Source : Marine nationale


Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

publié le Jeudi 25 janvier 2024

Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

© Marine nationale

Dans le cadre d’une corvette au profit des « bordaches » de l’Ecole navale, Damien Seguin, skipper professionnel doté d’un palmarès conséquent (double champion paralympique, transat Jacques, Vabres, 1 Vendée globe,…) a pu embarquer pour deux jours à bord de la Belle-Poule.

Ces deux jours ont été l’occasion pour lui de découvrir la navigation à la voile sur vieux gréements ainsi que l’organisation type de la Marine nationale.

A la barre pour quelques nautiques, Damien Seguin a partagé avec le commandant et l’équipage de la Belle-Poule de bons moments entre passionnés.

Sa présence à bord a été nourrie de temps d’échanges et de partages d’expériences, notamment sur le tour du monde lors du Vendée globe et ses différentes expériences olympiques.

Il a évoqué avec le commandant une possible rencontre à la mer lors du transit retour de la Belle-Poule depuis la Méditerranée en juin prochain. De belles images de deux générations de navire en perspectives.

 

La goélette Belle Poule a été construite en 1932 aux Chantiers navals de Normandie à Fécamp. Elle est la réplique des goélettes de Paimpol qui pêchaient la morue au large de l'Islande. Avec la goélette Etoile, son sister-ship, elle a servi dans les Forces navales françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Elles arborent à ce titre le pavillon de beaupré à Croix de Lorraine.

Basée à Brest, elle participe à l'instruction maritime pour les élèves des différentes écoles de la Marine nationale : Ecole Navale, Maistrance, Ecole des Mousses, etc. La pratique de la voile permet en effet de développer le sens marin, c'est-à-dire la mesure du risque et l'habileté manœuvrière. Son équipage est composé de 16 marins.

A la dimension nautique de ce voilier, s'ajoute une dimension patrimoniale unique. Outre leur mission principale de formation, les voiliers-écoles constituent de véritables ambassadeurs de la Marine nationale et sont fréquemment déployés lors de manifestations nautiques en France comme à l'étranger.

Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule
Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule
Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule
Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

Source : Marine nationale


Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

publié le Jeudi 25 janvier 2024

Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

© Marine nationale

Dans le cadre d’une corvette au profit des « bordaches » de l’Ecole navale, Damien Seguin, skipper professionnel doté d’un palmarès conséquent (double champion paralympique, transat Jacques, Vabres, 1 Vendée globe,…) a pu embarquer pour deux jours à bord de la Belle-Poule.

Ces deux jours ont été l’occasion pour lui de découvrir la navigation à la voile sur vieux gréements ainsi que l’organisation type de la Marine nationale.

A la barre pour quelques nautiques, Damien Seguin a partagé avec le commandant et l’équipage de la Belle-Poule de bons moments entre passionnés.

Sa présence à bord a été nourrie de temps d’échanges et de partages d’expériences, notamment sur le tour du monde lors du Vendée globe et ses différentes expériences olympiques.

Il a évoqué avec le commandant une possible rencontre à la mer lors du transit retour de la Belle-Poule depuis la Méditerranée en juin prochain. De belles images de deux générations de navire en perspectives.

 

La goélette Belle Poule a été construite en 1932 aux Chantiers navals de Normandie à Fécamp. Elle est la réplique des goélettes de Paimpol qui pêchaient la morue au large de l'Islande. Avec la goélette Etoile, son sister-ship, elle a servi dans les Forces navales françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Elles arborent à ce titre le pavillon de beaupré à Croix de Lorraine.

Basée à Brest, elle participe à l'instruction maritime pour les élèves des différentes écoles de la Marine nationale : Ecole Navale, Maistrance, Ecole des Mousses, etc. La pratique de la voile permet en effet de développer le sens marin, c'est-à-dire la mesure du risque et l'habileté manœuvrière. Son équipage est composé de 16 marins.

A la dimension nautique de ce voilier, s'ajoute une dimension patrimoniale unique. Outre leur mission principale de formation, les voiliers-écoles constituent de véritables ambassadeurs de la Marine nationale et sont fréquemment déployés lors de manifestations nautiques en France comme à l'étranger.

Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule
Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule
Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule
Damien Seguin, skipper professionnel à bord de la goélette Belle-Poule

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour l’École navale

publié le Vendredi 25 août 2023

Un nouveau commandant pour l’École navale

Un nouveau commandant pour l’École navale

© Marine nationale

Le 22 août, le vice-amiral Laurent Hemmer a pris ses fonctions d’amiral commandant l’École navale (ALENAV). En présence du vice-amiral d’escadre Éric Janicot, directeur du personnel de la Marine (DPM), l’ensemble des élèves, cadres, personnels civils et enseignants a participé à la cérémonie.

Cette cérémonie a symbolisé la continuité et le renouveau nécessaire pour adapter la formation des marins, en particulier des officiers, aux nombreux défis qui les attendent.  

Après une allocution du DPM, le nouveau commandant de l’École navale a pu prononcer quelques mots exprimant ainsi sa joie de se retrouver sur la place d’armes parmi les élèves et le personnel

« Notre responsabilité est de former les cadres officiers de la Marine, pour plusieurs dizaines d’années. Ses plus grands chefs, ceux de 2060, passent en ce moment dans nos murs ».

Il a eu aussi une parole pour l’École de manœuvre et de navigation

« L’École de manœuvre et de navigation est une pierre précieuse au sein de l’École navale. Les spécialités auxquelles elle forme les marins sont au cœur de la Marine, au sens où elles sont centrales dans nos bâtiments de guerre ».

Au travers du projet « Baille 2030 », cette école s’inscrit dans le cap fixé par le chef d’état-major de la Marine et le directeur du personnel de la Marine. Son unité doit demeurer un souci permanent et doit être cultivée.

Deux années à l’École navale auxquelles il s’attachera autant à la bonne formation des élèves qui influencera la Marine de demain, que pour l’innovation qui est un des piliers de la Marine de combat.  

Il a par ailleurs salué les accomplissements de son prédécesseur, le vice-amiral Benoît Baudonnière.

Né le 19 juin 1966 à Grenoble, il est entré à l’École navale en 1986.  A l’issue de sa formation initiale en 1989, il est désigné pour l’escorteur lance-missiles Du-Chayla. De 1991 à 1994, après un cours de spécialité, il sert à bord de la frégate anti sous-marine Dupleix, comme adjoint puis chef du service « détection ». Pendant cette période, il participe à plusieurs missions opérationnelles dans le golfe arabo-persique, en mer Adriatique et au large de la Somalie. 

Il rejoint alors le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc, où il remplit les fonctions d’instructeur au sein de l’École d’application des officiers de Marine jusqu’en 1996. Il prend le commandement du patrouilleur La Moqueuse, en Nouvelle-Calédonie, qui le fait participer à de nombreuses missions de service public dans les espaces de souveraineté française.

De retour en métropole, Laurent Hemmer sert à bord de la frégate antiaérienne Cassard comme chef du service « informations – lutte au-dessus de la surface ». Il participe à cette occasion aux opérations au large de Djibouti dans le cadre du conflit qui l’oppose à l’Érythrée puis à la protection antiaérienne du porte-avions Foch en mer Adriatique lors de la guerre au Kosovo.

En 1999, il est désigné comme commandant adjoint opérations de la frégate Jean-de-Vienne, avant de suivre en 2001 les cours du Collège interarmées de défense (9e promotion). Diplômé en 2002, il rejoint l’état-major de la marine à Paris en qualité d’assistant du Major Général de la Marine.

En 2005, il est nommé au commandement de la frégate Georges-Leygues, intégrée à l’École d’application des officiers de Marine, avant de rejoindre en 2006 à Paris le centre de planification et de conduite des opérations. Il retourne à la mer en 2008 pour commander la frégate anti sous-marine Jean-de-Vienne. Durant ce commandement, il est impliqué dans plusieurs opérations de lutte contre la piraterie ainsi que d’interception de trafiquants de drogue, en océan Indien et en Méditerranée. Un retour en 2010 à Paris le voit prendre des responsabilités de chef de bureau à l’état-major de la Marine, en charge du pilotage des effectifs.

Avant son arrivée à Tours, en tant qu’adjoint au directeur du personnel militaire de la Marine, il était adjoint au commandant d’arrondissement maritime Méditerranée et commandant de la base de défense de Toulon.

Un nouveau commandant pour l’École navale

Source : Marine nationale


Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

publié le Lundi 20 mars 2023

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

© Marine nationale

Le jeudi 16 mars, l’École navale a déployé toute sa flotte pour accueillir l’Intrépide, un nouveau voilier emblématique qui vise trois objectifs : soutenir la formation, participer au rayonnement de l’École et de la Marine et enfin mettre en œuvre des actions pour conforter le lien avec la nation et en particulier avec la jeunesse.

Spécialement conçu en 2010 pour la course offshore en équipage il mesure 70 pied (21,30 mètres). Sa configuration de plan de voilure et son plan de pont allient simplicité, aisance et fiabilité. Ce nouveau voilier présente un caractère à la fois sportif et marin, particulièrement représentatif de valeurs que porte l’École : excellence, exigence, modernité, pugnacité.

Avec ses quelques 30 places à bord, l’Intrépide embarquera les élèves en formation à la navigation côtière et hauturière : navigation appliquée, développement du sens marin, aguerrissement à la mer, manœuvre de pont en équipage, leadership et commandement. Le voilier servira également de support pour des projets d’échange avec d’autres Écoles navales en Europe et sur le continent américain (ex : Britannia Royal Naval College de Dartmouth, Escuela Naval Militar à Marin). Il créera aussi de nouvelles opportunités de projets scientifiques ou l’appui aux travaux menés par l’Institut de recherche et d’innovation de l’École navale. 

Il permettra aussi le rayonnement et la représentation de l’École navale et de la marine nationale lors d’événements nautiques : départs de courses au large telle que la Route du Rhum ou le Vendée-Globe, régates semi-hauturières et hauturières telle que Fastnet et Armen Race. Le partenariat avec différentes associations favorisant la sensibilisation au milieu maritime ou liées à la jeunesse renforcera le lien armée-nation.

Après un convoyage depuis l’Italie de plusieurs semaines, en passant par Toulon et Portimao au Portugal, l’Intrépide, « qui ne craint pas le danger et affronte les obstacles sans avoir peur »,  a été accueilli à l’ouvert du goulet et en grande rade par l’ensemble des élèves et des permanents présents, à bord des BIM, des croiseurs ou des J80 avant de s’accoster sur les pontons de l’École.

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Source : Marine nationale


Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

publié le Lundi 20 mars 2023

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

© Marine nationale

Le jeudi 16 mars, l’École navale a déployé toute sa flotte pour accueillir l’Intrépide, un nouveau voilier emblématique qui vise trois objectifs : soutenir la formation, participer au rayonnement de l’École et de la Marine et enfin mettre en œuvre des actions pour conforter le lien avec la nation et en particulier avec la jeunesse.

Spécialement conçu en 2010 pour la course offshore en équipage il mesure 70 pied (21,30 mètres). Sa configuration de plan de voilure et son plan de pont allient simplicité, aisance et fiabilité. Ce nouveau voilier présente un caractère à la fois sportif et marin, particulièrement représentatif de valeurs que porte l’École : excellence, exigence, modernité, pugnacité.

Avec ses quelques 30 places à bord, l’Intrépide embarquera les élèves en formation à la navigation côtière et hauturière : navigation appliquée, développement du sens marin, aguerrissement à la mer, manœuvre de pont en équipage, leadership et commandement. Le voilier servira également de support pour des projets d’échange avec d’autres Écoles navales en Europe et sur le continent américain (ex : Britannia Royal Naval College de Dartmouth, Escuela Naval Militar à Marin). Il créera aussi de nouvelles opportunités de projets scientifiques ou l’appui aux travaux menés par l’Institut de recherche et d’innovation de l’École navale. 

Il permettra aussi le rayonnement et la représentation de l’École navale et de la marine nationale lors d’événements nautiques : départs de courses au large telle que la Route du Rhum ou le Vendée-Globe, régates semi-hauturières et hauturières telle que Fastnet et Armen Race. Le partenariat avec différentes associations favorisant la sensibilisation au milieu maritime ou liées à la jeunesse renforcera le lien armée-nation.

Après un convoyage depuis l’Italie de plusieurs semaines, en passant par Toulon et Portimao au Portugal, l’Intrépide, « qui ne craint pas le danger et affronte les obstacles sans avoir peur »,  a été accueilli à l’ouvert du goulet et en grande rade par l’ensemble des élèves et des permanents présents, à bord des BIM, des croiseurs ou des J80 avant de s’accoster sur les pontons de l’École.

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Source : Marine nationale


Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

publié le Lundi 20 mars 2023

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

© Marine nationale

Le jeudi 16 mars, l’École navale a déployé toute sa flotte pour accueillir l’Intrépide, un nouveau voilier emblématique qui vise trois objectifs : soutenir la formation, participer au rayonnement de l’École et de la Marine et enfin mettre en œuvre des actions pour conforter le lien avec la nation et en particulier avec la jeunesse.

Spécialement conçu en 2010 pour la course offshore en équipage il mesure 70 pied (21,30 mètres). Sa configuration de plan de voilure et son plan de pont allient simplicité, aisance et fiabilité. Ce nouveau voilier présente un caractère à la fois sportif et marin, particulièrement représentatif de valeurs que porte l’École : excellence, exigence, modernité, pugnacité.

Avec ses quelques 30 places à bord, l’Intrépide embarquera les élèves en formation à la navigation côtière et hauturière : navigation appliquée, développement du sens marin, aguerrissement à la mer, manœuvre de pont en équipage, leadership et commandement. Le voilier servira également de support pour des projets d’échange avec d’autres Écoles navales en Europe et sur le continent américain (ex : Britannia Royal Naval College de Dartmouth, Escuela Naval Militar à Marin). Il créera aussi de nouvelles opportunités de projets scientifiques ou l’appui aux travaux menés par l’Institut de recherche et d’innovation de l’École navale. 

Il permettra aussi le rayonnement et la représentation de l’École navale et de la marine nationale lors d’événements nautiques : départs de courses au large telle que la Route du Rhum ou le Vendée-Globe, régates semi-hauturières et hauturières telle que Fastnet et Armen Race. Le partenariat avec différentes associations favorisant la sensibilisation au milieu maritime ou liées à la jeunesse renforcera le lien armée-nation.

Après un convoyage depuis l’Italie de plusieurs semaines, en passant par Toulon et Portimao au Portugal, l’Intrépide, « qui ne craint pas le danger et affronte les obstacles sans avoir peur »,  a été accueilli à l’ouvert du goulet et en grande rade par l’ensemble des élèves et des permanents présents, à bord des BIM, des croiseurs ou des J80 avant de s’accoster sur les pontons de l’École.

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Source : Marine nationale


Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

publié le Lundi 20 mars 2023

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

© Marine nationale

Le jeudi 16 mars, l’École navale a déployé toute sa flotte pour accueillir l’Intrépide, un nouveau voilier emblématique qui vise trois objectifs : soutenir la formation, participer au rayonnement de l’École et de la Marine et enfin mettre en œuvre des actions pour conforter le lien avec la nation et en particulier avec la jeunesse.

Spécialement conçu en 2010 pour la course offshore en équipage il mesure 70 pied (21,30 mètres). Sa configuration de plan de voilure et son plan de pont allient simplicité, aisance et fiabilité. Ce nouveau voilier présente un caractère à la fois sportif et marin, particulièrement représentatif de valeurs que porte l’École : excellence, exigence, modernité, pugnacité.

Avec ses quelques 30 places à bord, l’Intrépide embarquera les élèves en formation à la navigation côtière et hauturière : navigation appliquée, développement du sens marin, aguerrissement à la mer, manœuvre de pont en équipage, leadership et commandement. Le voilier servira également de support pour des projets d’échange avec d’autres Écoles navales en Europe et sur le continent américain (ex : Britannia Royal Naval College de Dartmouth, Escuela Naval Militar à Marin). Il créera aussi de nouvelles opportunités de projets scientifiques ou l’appui aux travaux menés par l’Institut de recherche et d’innovation de l’École navale. 

Il permettra aussi le rayonnement et la représentation de l’École navale et de la marine nationale lors d’événements nautiques : départs de courses au large telle que la Route du Rhum ou le Vendée-Globe, régates semi-hauturières et hauturières telle que Fastnet et Armen Race. Le partenariat avec différentes associations favorisant la sensibilisation au milieu maritime ou liées à la jeunesse renforcera le lien armée-nation.

Après un convoyage depuis l’Italie de plusieurs semaines, en passant par Toulon et Portimao au Portugal, l’Intrépide, « qui ne craint pas le danger et affronte les obstacles sans avoir peur »,  a été accueilli à l’ouvert du goulet et en grande rade par l’ensemble des élèves et des permanents présents, à bord des BIM, des croiseurs ou des J80 avant de s’accoster sur les pontons de l’École.

 Un voilier emblématique pour l’École navale : L’Intrépide

Source : Marine nationale


Cérémonie de présentation aux drapeaux de l’École navale

publié le Jeudi 20 octobre 2022

 Cérémonie de présentation aux drapeaux de l’École navale

Cérémonie de présentation aux drapeaux de l’École navale

© Marine nationale

Présidée par le général d’armée Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées (CEMA), la cérémonie de présentation aux drapeaux de l’École navale a eu lieu le 15 octobre 2022.

En présence du vice-amiral d’escadre Olivier Lebas, commandant maritime de la zone Atlantique, du vice-amiral d’escadre Éric Janicot, directeur du personnel miliaire de la Marine, et du vice-amiral d’escadre François-Xavier Blin, inspecteur général de la Marine nationale, le CEMA a prononcé son ordre du jour en rappelant à tous les élèves officiers le sens de leur engagement, en mettant l’accent sur l’exigence dont ils devront faire preuve.

Le contre-amiral Benoît Baudonnière, commandant l’École navale, a ensuite présenté le drapeau de l’École navale aux élèves-officiers de la promotion 2022 et le drapeau de l’École miliaire de la Flotte aux promotions 2022 des officiers de Marine sous contrat.

Évènement majeur dans la vie de l’école, cette cérémonie est un jour empreint de symbole pour les élèves, qui se voient présenter à leur drapeau. Votre préparation vous aidera mais vous aurez besoin de repères intangibles. C’est ici, face à votre drapeau que vous allez les trouver, dans la devise inscrite dans ses plis, « Pour la France, par les mers, nous combattons

Après une remise de la Légion d’honneur par le CEMA au CF Servotte-Amouroux, directeur de l’École de manœuvre et de navigation, les élèves-officiers ont défilé avec fierté devant leurs familles, leurs professeurs et leurs cadres avant de les rejoindre sur le front de mer de l’École navale.

Source : Marine nationale

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