Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

publié le Jeudi 30 mars 2023

 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

© Marine nationale

Le 30 mars 2023, le clairon a sonné pour la dernière fois la musique "au drapeau", sur la frégate anti sous-marine (FASM) Latouche-Tréville. Lors de cette dernière cérémonie des couleurs, le capitaine de frégate (R) Didier Nyffenegger, commandant l'équipage de désarmement du bâtiment, a remis au contre-amiral Xavier Royer de Véricourt, le dernier pavillon de la frégate.

« La dernière cérémonie des couleurs d’un bâtiment de la Marine nationale nous procure à chaque fois une émotion particulière. […] Ces souvenirs nous rappellent que tout bâtiment de combat commence d’abord par être une coque sans vie et sans esprit. Et puis, sauf à périr pavillon haut, cette coque devenue bâtiment de combat a vocation à redevenir un tas de tôles, aussi dense ait été sa vie opérationnelle. » a ainsi rappelé ALFAN Brest devant l’assemblée de marins réunis sur la plateforme arrière du bâtiment.

Septième et dernière de série, la frégate anti-sous-marine Latouche-Tréville a commencé sa construction le 31 mai 1985, mise à flot le 19 mars 1988 à Lorient, réalisé sa première sortie en mer le 3 avril 198. Parrainée avec la ville de Saumur en 1989, elle a été admise au service actif le 10 juillet 1990. En quelques chiffres, la frégate anti-sous-marine Latouche-Tréville c’est 32 ans d’opérations, 14 missions et déploiements de longue durée, 920 000 nautiques parcourus, soit 43 tours du monde en 3500 jours de mer pour 2500 marins affectés.

Les opérations de désarmement ont débuté dès le retrait du service actif de la FASM, le 1er juillet 2022. Pendant 3 mois, l’équipage au complet de la frégate a directement pris part aux travaux de démontage et de remise du matériel. Ainsi, certains rechanges réintégrés en magasin pourront contribuer au maintien en condition opérationnelle d’autres unités de la Marine nationale.

Le désarmement s'est déroulé en deux étapes majeures. La première a été la mise en complément avec remise de matériels, effectuée auprès du service logistique de la Marine (SLM) comprenant le retrait des combustibles, lubrifiants, armes et munitions ainsi que des matières putrescibles. La deuxième, la mise en réserve spéciale, est la phase de sécurisation de la frégate au bassin effectuée avec l'aide du service de soutien de la flotte (SSF) et de l’industriel Naval Group, qui a permis de protéger la coque contre les intempéries et la corrosion.

La frégate Latouche-Tréville était la dernière F70 stationnée au port-base de Brest. Les frégates anti sous-marines de type F70 ont été remplacées par des frégates de nouvelle génération, les frégates multi-missions (FREMM). La Marine nationale dispose ainsi de 8 FREMM, dont 6 en version anti sous-marine. Fortement armées, ces frégates de nouvelle génération mettent en œuvre des systèmes d’armes et des équipements conformes au référentiel d’une Marine en pointe.

 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville
 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

Source : Marine nationale


Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

publié le Jeudi 30 mars 2023

 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

© Marine nationale

Le 30 mars 2023, le clairon a sonné pour la dernière fois la musique "au drapeau", sur la frégate anti sous-marine (FASM) Latouche-Tréville. Lors de cette dernière cérémonie des couleurs, le capitaine de frégate (R) Didier Nyffenegger, commandant l'équipage de désarmement du bâtiment, a remis au contre-amiral Xavier Royer de Véricourt, le dernier pavillon de la frégate.

« La dernière cérémonie des couleurs d’un bâtiment de la Marine nationale nous procure à chaque fois une émotion particulière. […] Ces souvenirs nous rappellent que tout bâtiment de combat commence d’abord par être une coque sans vie et sans esprit. Et puis, sauf à périr pavillon haut, cette coque devenue bâtiment de combat a vocation à redevenir un tas de tôles, aussi dense ait été sa vie opérationnelle. » a ainsi rappelé ALFAN Brest devant l’assemblée de marins réunis sur la plateforme arrière du bâtiment.

Septième et dernière de série, la frégate anti-sous-marine Latouche-Tréville a commencé sa construction le 31 mai 1985, mise à flot le 19 mars 1988 à Lorient, réalisé sa première sortie en mer le 3 avril 198. Parrainée avec la ville de Saumur en 1989, elle a été admise au service actif le 10 juillet 1990. En quelques chiffres, la frégate anti-sous-marine Latouche-Tréville c’est 32 ans d’opérations, 14 missions et déploiements de longue durée, 920 000 nautiques parcourus, soit 43 tours du monde en 3500 jours de mer pour 2500 marins affectés.

Les opérations de désarmement ont débuté dès le retrait du service actif de la FASM, le 1er juillet 2022. Pendant 3 mois, l’équipage au complet de la frégate a directement pris part aux travaux de démontage et de remise du matériel. Ainsi, certains rechanges réintégrés en magasin pourront contribuer au maintien en condition opérationnelle d’autres unités de la Marine nationale.

Le désarmement s'est déroulé en deux étapes majeures. La première a été la mise en complément avec remise de matériels, effectuée auprès du service logistique de la Marine (SLM) comprenant le retrait des combustibles, lubrifiants, armes et munitions ainsi que des matières putrescibles. La deuxième, la mise en réserve spéciale, est la phase de sécurisation de la frégate au bassin effectuée avec l'aide du service de soutien de la flotte (SSF) et de l’industriel Naval Group, qui a permis de protéger la coque contre les intempéries et la corrosion.

La frégate Latouche-Tréville était la dernière F70 stationnée au port-base de Brest. Les frégates anti sous-marines de type F70 ont été remplacées par des frégates de nouvelle génération, les frégates multi-missions (FREMM). La Marine nationale dispose ainsi de 8 FREMM, dont 6 en version anti sous-marine. Fortement armées, ces frégates de nouvelle génération mettent en œuvre des systèmes d’armes et des équipements conformes au référentiel d’une Marine en pointe.

 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville
 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

Source : Marine nationale


Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

publié le Jeudi 30 mars 2023

 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

© Marine nationale

Le 30 mars 2023, le clairon a sonné pour la dernière fois la musique "au drapeau", sur la frégate anti sous-marine (FASM) Latouche-Tréville. Lors de cette dernière cérémonie des couleurs, le capitaine de frégate (R) Didier Nyffenegger, commandant l'équipage de désarmement du bâtiment, a remis au contre-amiral Xavier Royer de Véricourt, le dernier pavillon de la frégate.

« La dernière cérémonie des couleurs d’un bâtiment de la Marine nationale nous procure à chaque fois une émotion particulière. […] Ces souvenirs nous rappellent que tout bâtiment de combat commence d’abord par être une coque sans vie et sans esprit. Et puis, sauf à périr pavillon haut, cette coque devenue bâtiment de combat a vocation à redevenir un tas de tôles, aussi dense ait été sa vie opérationnelle. » a ainsi rappelé ALFAN Brest devant l’assemblée de marins réunis sur la plateforme arrière du bâtiment.

Septième et dernière de série, la frégate anti-sous-marine Latouche-Tréville a commencé sa construction le 31 mai 1985, mise à flot le 19 mars 1988 à Lorient, réalisé sa première sortie en mer le 3 avril 198. Parrainée avec la ville de Saumur en 1989, elle a été admise au service actif le 10 juillet 1990. En quelques chiffres, la frégate anti-sous-marine Latouche-Tréville c’est 32 ans d’opérations, 14 missions et déploiements de longue durée, 920 000 nautiques parcourus, soit 43 tours du monde en 3500 jours de mer pour 2500 marins affectés.

Les opérations de désarmement ont débuté dès le retrait du service actif de la FASM, le 1er juillet 2022. Pendant 3 mois, l’équipage au complet de la frégate a directement pris part aux travaux de démontage et de remise du matériel. Ainsi, certains rechanges réintégrés en magasin pourront contribuer au maintien en condition opérationnelle d’autres unités de la Marine nationale.

Le désarmement s'est déroulé en deux étapes majeures. La première a été la mise en complément avec remise de matériels, effectuée auprès du service logistique de la Marine (SLM) comprenant le retrait des combustibles, lubrifiants, armes et munitions ainsi que des matières putrescibles. La deuxième, la mise en réserve spéciale, est la phase de sécurisation de la frégate au bassin effectuée avec l'aide du service de soutien de la flotte (SSF) et de l’industriel Naval Group, qui a permis de protéger la coque contre les intempéries et la corrosion.

La frégate Latouche-Tréville était la dernière F70 stationnée au port-base de Brest. Les frégates anti sous-marines de type F70 ont été remplacées par des frégates de nouvelle génération, les frégates multi-missions (FREMM). La Marine nationale dispose ainsi de 8 FREMM, dont 6 en version anti sous-marine. Fortement armées, ces frégates de nouvelle génération mettent en œuvre des systèmes d’armes et des équipements conformes au référentiel d’une Marine en pointe.

 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville
 Dernière cérémonie des couleurs pour le Latouche-Tréville

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

publié le Jeudi 30 mars 2023

 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

© Marine nationale

Dix jours après son appareillage de Saint Nazaire dans la nuit du samedi au dimanche 19 mars, le Jacques Chevallier, premier des quatre bâtiments ravitailleurs de forces (BRF) du programme FLOTLOG, a accosté jeudi 30 mars 2023 à Toulon, son nouveau port-base.

Durant son transit, le BRF a réalisé de nombreux essais, pour la première fois sous la conduite de son équipage d’armement qui venait tout juste de décrocher avec succès sa qualification à la navigation (QUALNAV), à l’issue d’un stage de mise en condition réalisé à quai puis en mer.

Parmi les plus emblématiques de ses missions à venir, il a effectué ses premiers ravitaillements à la mer (RAM) grâce au concours de plusieurs unités de la Force d’action navale (FAN).

Le 21 mars 2023, en Atlantique, c’est avec la frégate multi-missions (FREMM) Auvergne que le Jacques Chevallier a réalisé son tout premier RAM. Ce rendez-vous a permis à la frégate, alors en stage de mise en condition opérationnelle (MECO) de qualifier son équipage au RAM, mais il a aussi et surtout contribué à la réalisation des premiers essais et réglages du gréement du ravitailleur avant sa descente vers la Méditerranée.

Le 27 mars, le BRF a réalisé son premier RAM méditerranéen ensoleillé mais venteux avec la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul. Les deux unités ont ainsi manœuvré dans différentes configurations, le Chevalier Paul s’étant tour à tour présenté sur bâbord et tribord avant de réaliser des RAM sur l’avant et l’arrière. Ces manœuvres ont permis d’éprouver les chaînes de réaction des deux bâtiments aux cas non-conformes des manœuvres anti-collision, de la séparation d’urgence ainsi que d’un homme à la mer.

Le RAM avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne qui s’est déroulé mardi 28 mars a constitué un véritable passage de témoin entre ces deux unités de ravitaillement et un moment d’émotion pour les deux équipages. Le retrait du service actif (RSA) prochain de la Marne, à laquelle succédera le Jacques Chevallier au moment de son ASA, marquera ainsi une nouvelle étape dans le renouvellement et la modernisation de la flotte de surface de la Marine.

C’est ensuite aux côtés du porte-avions Charles de Gaulle, en présence de l’amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la Marine, que le Jacques Chevallier a manœuvré, mercredi 29 mars, ainsi que le lendemain, en présence du vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN). Ces ravitaillements entre le porte-avions et un BRF sont les premiers d’une longue série. Car le programme FLOTLOG été conçu pour intégrer au mieux le Jacques Chevallier – et les futurs BRF – au sein du groupe aéronaval (GAN), constitué autour du Charles de Gaulle, une fois son admission au service actif (ASA) actée.

 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base
 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

Source : Marine nationale


Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

publié le Jeudi 30 mars 2023

 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

© Marine nationale

Dix jours après son appareillage de Saint Nazaire dans la nuit du samedi au dimanche 19 mars, le Jacques Chevallier, premier des quatre bâtiments ravitailleurs de forces (BRF) du programme FLOTLOG, a accosté jeudi 30 mars 2023 à Toulon, son nouveau port-base.

Durant son transit, le BRF a réalisé de nombreux essais, pour la première fois sous la conduite de son équipage d’armement qui venait tout juste de décrocher avec succès sa qualification à la navigation (QUALNAV), à l’issue d’un stage de mise en condition réalisé à quai puis en mer.

Parmi les plus emblématiques de ses missions à venir, il a effectué ses premiers ravitaillements à la mer (RAM) grâce au concours de plusieurs unités de la Force d’action navale (FAN).

Le 21 mars 2023, en Atlantique, c’est avec la frégate multi-missions (FREMM) Auvergne que le Jacques Chevallier a réalisé son tout premier RAM. Ce rendez-vous a permis à la frégate, alors en stage de mise en condition opérationnelle (MECO) de qualifier son équipage au RAM, mais il a aussi et surtout contribué à la réalisation des premiers essais et réglages du gréement du ravitailleur avant sa descente vers la Méditerranée.

Le 27 mars, le BRF a réalisé son premier RAM méditerranéen ensoleillé mais venteux avec la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul. Les deux unités ont ainsi manœuvré dans différentes configurations, le Chevalier Paul s’étant tour à tour présenté sur bâbord et tribord avant de réaliser des RAM sur l’avant et l’arrière. Ces manœuvres ont permis d’éprouver les chaînes de réaction des deux bâtiments aux cas non-conformes des manœuvres anti-collision, de la séparation d’urgence ainsi que d’un homme à la mer.

Le RAM avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne qui s’est déroulé mardi 28 mars a constitué un véritable passage de témoin entre ces deux unités de ravitaillement et un moment d’émotion pour les deux équipages. Le retrait du service actif (RSA) prochain de la Marne, à laquelle succédera le Jacques Chevallier au moment de son ASA, marquera ainsi une nouvelle étape dans le renouvellement et la modernisation de la flotte de surface de la Marine.

C’est ensuite aux côtés du porte-avions Charles de Gaulle, en présence de l’amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la Marine, que le Jacques Chevallier a manœuvré, mercredi 29 mars, ainsi que le lendemain, en présence du vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN). Ces ravitaillements entre le porte-avions et un BRF sont les premiers d’une longue série. Car le programme FLOTLOG été conçu pour intégrer au mieux le Jacques Chevallier – et les futurs BRF – au sein du groupe aéronaval (GAN), constitué autour du Charles de Gaulle, une fois son admission au service actif (ASA) actée.

 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base
 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

Source : Marine nationale


Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

publié le Jeudi 30 mars 2023

 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

© Marine nationale

Dix jours après son appareillage de Saint Nazaire dans la nuit du samedi au dimanche 19 mars, le Jacques Chevallier, premier des quatre bâtiments ravitailleurs de forces (BRF) du programme FLOTLOG, a accosté jeudi 30 mars 2023 à Toulon, son nouveau port-base.

Durant son transit, le BRF a réalisé de nombreux essais, pour la première fois sous la conduite de son équipage d’armement qui venait tout juste de décrocher avec succès sa qualification à la navigation (QUALNAV), à l’issue d’un stage de mise en condition réalisé à quai puis en mer.

Parmi les plus emblématiques de ses missions à venir, il a effectué ses premiers ravitaillements à la mer (RAM) grâce au concours de plusieurs unités de la Force d’action navale (FAN).

Le 21 mars 2023, en Atlantique, c’est avec la frégate multi-missions (FREMM) Auvergne que le Jacques Chevallier a réalisé son tout premier RAM. Ce rendez-vous a permis à la frégate, alors en stage de mise en condition opérationnelle (MECO) de qualifier son équipage au RAM, mais il a aussi et surtout contribué à la réalisation des premiers essais et réglages du gréement du ravitailleur avant sa descente vers la Méditerranée.

Le 27 mars, le BRF a réalisé son premier RAM méditerranéen ensoleillé mais venteux avec la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul. Les deux unités ont ainsi manœuvré dans différentes configurations, le Chevalier Paul s’étant tour à tour présenté sur bâbord et tribord avant de réaliser des RAM sur l’avant et l’arrière. Ces manœuvres ont permis d’éprouver les chaînes de réaction des deux bâtiments aux cas non-conformes des manœuvres anti-collision, de la séparation d’urgence ainsi que d’un homme à la mer.

Le RAM avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne qui s’est déroulé mardi 28 mars a constitué un véritable passage de témoin entre ces deux unités de ravitaillement et un moment d’émotion pour les deux équipages. Le retrait du service actif (RSA) prochain de la Marne, à laquelle succédera le Jacques Chevallier au moment de son ASA, marquera ainsi une nouvelle étape dans le renouvellement et la modernisation de la flotte de surface de la Marine.

C’est ensuite aux côtés du porte-avions Charles de Gaulle, en présence de l’amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la Marine, que le Jacques Chevallier a manœuvré, mercredi 29 mars, ainsi que le lendemain, en présence du vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN). Ces ravitaillements entre le porte-avions et un BRF sont les premiers d’une longue série. Car le programme FLOTLOG été conçu pour intégrer au mieux le Jacques Chevallier – et les futurs BRF – au sein du groupe aéronaval (GAN), constitué autour du Charles de Gaulle, une fois son admission au service actif (ASA) actée.

 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base
 Poursuivant ses essais, le BRF Jacques Chevallier effectue ses premiers ravitaillements à la mer et rallie son port-base

Source : Marine nationale


LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

publié le Jeudi 30 mars 2023

 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

© EMA

Du 23 au 29 mars, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral participe à l’activité de coopération opérationnelle CEDRE BLEU en Méditerranée orientale. Cet exercice bilatéral interarmées, planifié conjointement, vise à renforcer la coopération et l'interopérabilité entre les forces armées libanaises et françaises.

Conduite à quai depuis Beyrouth, la première phase de CEDRE BLEU a mobilisé l’équipage du Mistral et l’ensemble des détachements embarqués : le sous groupement tactique embarqué du 21e Régiment d’infanterie de Marine (21e RIMa), le bataillon des fusiliers marins Detroyat, un hélicoptère Puma de l’armée de l’Air et de l’Espace, la flottille amphibie, un détachement du Groupement de plongeurs-démineurs (GPD) Manche. Coordonnés depuis un poste de conduite interarmées à bord du Mistral, les échanges et exercices conjoints leur ont permis de partager dès l’escale à Beyrouth des connaissances et des savoir-faire dans différents domaines : sécurité, amphibie, plongée, entraînements aéronautiques, combat en milieu clos, entraînement des brigades cynophiles, maintenance électrique et surveillance radar.

L’activité de coopération s’est poursuivie en mer. Des opérations amphibies conjointes ont permis le débarquement d’un sous groupement tactique embarqué, composé de près de 300 soldats libanais et français, afin de conduire une manœuvre terrestre avec une séquence de tirs. En parallèle, les hélicoptères Puma français et libanais ont mené des manœuvres conjointes à terre et en mer. Le patrouilleur libanais Trablos et le Mistral ont effectué un exercice de Search And Rescue (SAR) dans les approches libanaises, en appui du futur Joint Rescue Coordination Center (JRCC) libanais. Les fusiliers marins ont également partagé leur savoir-faire dans le domaine des opérations de visite.

Cet exercice interarmées mené dans le cadre d’un scénario complexe de déploiement amphibie, associé à des manœuvres aéroterrestres, contribue ainsi au partage de de compétences et permet de renforcer l’interopérabilité ainsi que la coopération opérationnelle entre les deux nations.

 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU
 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU
 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

Source : Etat-major des armées

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