MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

publié le Jeudi 25 mai 2023

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

© EMA

Du 17 au 21 mai, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude, son Groupement tactique embarqué (GTE) et la frégate La Fayette ont réalisé une relâche opérationnelle à Papeete, sur l’île de Tahiti, dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC. Elle n’avait pas navigué en Polynésie française depuis plus de 20 ans et a ainsi mis à profit sa présence dans la zone pour réaliser des manœuvres avec les Forces armées en Polynésie française (FAPF).

Depuis le 11 mai, le groupe JEANNE D’ARC évoluait dans l’océan Pacifique sous le contrôle opérationnel du Commandant supérieur (COMSUP) des FAPF. Le 16 mai, le groupe a débuté sa patrouille dans la Zone économique exclusive de Polynésie française. Les 800 marins et soldats embarqués ont ainsi participé au renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime assurée toute l’année par les FAPF.

Le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer Bougainville et le patrouilleur Arago ont ainsi pu réaliser des manœuvres avec la frégate La Fayette dans le lagon des îles de Raiatea et Tahaa tout en assurant des missions de souveraineté. En parallèle, le groupe tactique embarqué à bord du Dixmude a conduit des exercices amphibies et de tirs de combat avec le Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P).

Le passage du groupe JEANNE D’ARC en Océan Pacifique a permis de renforcer l’interopérabilité entre les moyens militaires de la zone et ceux provenant de la métropole, en s’entraînant notamment à la planification et la conduite d’opérations. La présence des deux bâtiments de la Marine nationale et d’une unité de l’armée de Terre dans cette zone d’intérêt stratégique illustre les capacités de projection d’une force navale française jusqu’en Indopacifique.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

Source : Etat-major des armées


MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

publié le Jeudi 25 mai 2023

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

© EMA

Du 17 au 21 mai, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude, son Groupement tactique embarqué (GTE) et la frégate La Fayette ont réalisé une relâche opérationnelle à Papeete, sur l’île de Tahiti, dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC. Elle n’avait pas navigué en Polynésie française depuis plus de 20 ans et a ainsi mis à profit sa présence dans la zone pour réaliser des manœuvres avec les Forces armées en Polynésie française (FAPF).

Depuis le 11 mai, le groupe JEANNE D’ARC évoluait dans l’océan Pacifique sous le contrôle opérationnel du Commandant supérieur (COMSUP) des FAPF. Le 16 mai, le groupe a débuté sa patrouille dans la Zone économique exclusive de Polynésie française. Les 800 marins et soldats embarqués ont ainsi participé au renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime assurée toute l’année par les FAPF.

Le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer Bougainville et le patrouilleur Arago ont ainsi pu réaliser des manœuvres avec la frégate La Fayette dans le lagon des îles de Raiatea et Tahaa tout en assurant des missions de souveraineté. En parallèle, le groupe tactique embarqué à bord du Dixmude a conduit des exercices amphibies et de tirs de combat avec le Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P).

Le passage du groupe JEANNE D’ARC en Océan Pacifique a permis de renforcer l’interopérabilité entre les moyens militaires de la zone et ceux provenant de la métropole, en s’entraînant notamment à la planification et la conduite d’opérations. La présence des deux bâtiments de la Marine nationale et d’une unité de l’armée de Terre dans cette zone d’intérêt stratégique illustre les capacités de projection d’une force navale française jusqu’en Indopacifique.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

Source : Etat-major des armées


MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

publié le Jeudi 25 mai 2023

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

© EMA

Du 17 au 21 mai, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude, son Groupement tactique embarqué (GTE) et la frégate La Fayette ont réalisé une relâche opérationnelle à Papeete, sur l’île de Tahiti, dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC. Elle n’avait pas navigué en Polynésie française depuis plus de 20 ans et a ainsi mis à profit sa présence dans la zone pour réaliser des manœuvres avec les Forces armées en Polynésie française (FAPF).

Depuis le 11 mai, le groupe JEANNE D’ARC évoluait dans l’océan Pacifique sous le contrôle opérationnel du Commandant supérieur (COMSUP) des FAPF. Le 16 mai, le groupe a débuté sa patrouille dans la Zone économique exclusive de Polynésie française. Les 800 marins et soldats embarqués ont ainsi participé au renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime assurée toute l’année par les FAPF.

Le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer Bougainville et le patrouilleur Arago ont ainsi pu réaliser des manœuvres avec la frégate La Fayette dans le lagon des îles de Raiatea et Tahaa tout en assurant des missions de souveraineté. En parallèle, le groupe tactique embarqué à bord du Dixmude a conduit des exercices amphibies et de tirs de combat avec le Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P).

Le passage du groupe JEANNE D’ARC en Océan Pacifique a permis de renforcer l’interopérabilité entre les moyens militaires de la zone et ceux provenant de la métropole, en s’entraînant notamment à la planification et la conduite d’opérations. La présence des deux bâtiments de la Marine nationale et d’une unité de l’armée de Terre dans cette zone d’intérêt stratégique illustre les capacités de projection d’une force navale française jusqu’en Indopacifique.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

Source : Etat-major des armées


MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

publié le Jeudi 25 mai 2023

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

© EMA

Du 17 au 21 mai, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude, son Groupement tactique embarqué (GTE) et la frégate La Fayette ont réalisé une relâche opérationnelle à Papeete, sur l’île de Tahiti, dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC. Elle n’avait pas navigué en Polynésie française depuis plus de 20 ans et a ainsi mis à profit sa présence dans la zone pour réaliser des manœuvres avec les Forces armées en Polynésie française (FAPF).

Depuis le 11 mai, le groupe JEANNE D’ARC évoluait dans l’océan Pacifique sous le contrôle opérationnel du Commandant supérieur (COMSUP) des FAPF. Le 16 mai, le groupe a débuté sa patrouille dans la Zone économique exclusive de Polynésie française. Les 800 marins et soldats embarqués ont ainsi participé au renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime assurée toute l’année par les FAPF.

Le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer Bougainville et le patrouilleur Arago ont ainsi pu réaliser des manœuvres avec la frégate La Fayette dans le lagon des îles de Raiatea et Tahaa tout en assurant des missions de souveraineté. En parallèle, le groupe tactique embarqué à bord du Dixmude a conduit des exercices amphibies et de tirs de combat avec le Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P).

Le passage du groupe JEANNE D’ARC en Océan Pacifique a permis de renforcer l’interopérabilité entre les moyens militaires de la zone et ceux provenant de la métropole, en s’entraînant notamment à la planification et la conduite d’opérations. La présence des deux bâtiments de la Marine nationale et d’une unité de l’armée de Terre dans cette zone d’intérêt stratégique illustre les capacités de projection d’une force navale française jusqu’en Indopacifique.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

Source : Etat-major des armées


MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

publié le Jeudi 25 mai 2023

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

© EMA

Du 17 au 21 mai, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude, son Groupement tactique embarqué (GTE) et la frégate La Fayette ont réalisé une relâche opérationnelle à Papeete, sur l’île de Tahiti, dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC. Elle n’avait pas navigué en Polynésie française depuis plus de 20 ans et a ainsi mis à profit sa présence dans la zone pour réaliser des manœuvres avec les Forces armées en Polynésie française (FAPF).

Depuis le 11 mai, le groupe JEANNE D’ARC évoluait dans l’océan Pacifique sous le contrôle opérationnel du Commandant supérieur (COMSUP) des FAPF. Le 16 mai, le groupe a débuté sa patrouille dans la Zone économique exclusive de Polynésie française. Les 800 marins et soldats embarqués ont ainsi participé au renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime assurée toute l’année par les FAPF.

Le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer Bougainville et le patrouilleur Arago ont ainsi pu réaliser des manœuvres avec la frégate La Fayette dans le lagon des îles de Raiatea et Tahaa tout en assurant des missions de souveraineté. En parallèle, le groupe tactique embarqué à bord du Dixmude a conduit des exercices amphibies et de tirs de combat avec le Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P).

Le passage du groupe JEANNE D’ARC en Océan Pacifique a permis de renforcer l’interopérabilité entre les moyens militaires de la zone et ceux provenant de la métropole, en s’entraînant notamment à la planification et la conduite d’opérations. La présence des deux bâtiments de la Marine nationale et d’une unité de l’armée de Terre dans cette zone d’intérêt stratégique illustre les capacités de projection d’une force navale française jusqu’en Indopacifique.

La mission JEANNE D’ARC 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret et réaliste aux officiers-élèves embarqués.

 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF
 MISSION JEANNE D’ARC 2023 – Entrainement du Dixmude et du La Fayette avec les FAPF

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

publié le Jeudi 25 mai 2023

 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

© EMA

Le 18 mai, la Frégate de surveillance (FS) Prairial a accosté à son port base de Papeete après une mission de plus de trois mois dans la région Asie Pacifique. S’inscrivant dans le volet militaire de la stratégie indopacifique française, la mission ASIE 23 a permis une appréciation autonome des activités dans cette zone stratégique, mais aussi un renforcement des partenariats avec les pays riverains.

Lors de la première partie de la mission, la FS Prairial a patrouillé dans les zones économiques exclusives des Pacific Islands Countries. Cette mission de surveillance de la pêche a notamment permis le partage d’informations avec la Forum Fisheries Agency, contribuant ainsi à la préservation des ressources des îles de la région.

La deuxième partie de mission a été marquée par des manœuvres conjointes entre le Prairial et les marines des pays partenaires de la région Asie Pacifique. La FS a effectué de nombreux exercices avec les Philippines, le Vietnam, la Corée du Sud et le Japon. Elle a participé à des ateliers de démonstration à quai avec le Cambodge et a effectué des ravitaillements à la mer avec la marine américaine, à la suite d’une escale à Guam, où se situe une des bases américaines du Pacifique.

L’équipage du Prairial a ainsi travaillé des savoir-faire communs avec les marines partenaires, notamment dans les domaines de la mise en œuvre et l’exploitation des liaisons de données tactiques, des opérations de visites et de navigations en groupe. Ce partage de pratiques et de procédures a permis de gagner en efficacité pour faire face aux problématiques communes de sécurité maritime dans cette zone sensible du Pacifique. Ces activités ont également participé au développement de l’interopérabilité interalliés dans le cadre de l’approche multilatérale française dans cette région.

Enfin, au cours de sa patrouille en mer de Chine, le Prairial a contribué à la mission de surveillance ECC/AETO sous mandat des Nations unies, illustrant l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation, ainsi que son engagement dans la lutte contre la prolifération d’armes de destruction massive.

Véritable vecteur de rayonnement au cours de la mission ASIE 23, le Prairial a accueilli de nombreuses autorités étrangères et françaises, dont la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères. D’autres événements forts tels que l’organisation d’un think tank en Corée du Sud sur la sécurité maritime à l’échelle de l’Union européenne, et une exposition sur l’action des forces françaises et la préservation de l’environnement marin au Japon, ont également fait rayonner la marine française à l’international.

ASIE 23 a été une mission opérationnelle intense sur un théâtre qui concentre des enjeux majeurs. Au bilan, le Prairial a parcouru plus de 20 000 Nq (» 37 000 km, soit le tour de la Terre), a mis en œuvre son hélicoptère Dauphin pour mener une centaine de vols et a mené des interactions avec six nations partenaires.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud.

 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial
 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

publié le Jeudi 25 mai 2023

 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

© EMA

Le 18 mai, la Frégate de surveillance (FS) Prairial a accosté à son port base de Papeete après une mission de plus de trois mois dans la région Asie Pacifique. S’inscrivant dans le volet militaire de la stratégie indopacifique française, la mission ASIE 23 a permis une appréciation autonome des activités dans cette zone stratégique, mais aussi un renforcement des partenariats avec les pays riverains.

Lors de la première partie de la mission, la FS Prairial a patrouillé dans les zones économiques exclusives des Pacific Islands Countries. Cette mission de surveillance de la pêche a notamment permis le partage d’informations avec la Forum Fisheries Agency, contribuant ainsi à la préservation des ressources des îles de la région.

La deuxième partie de mission a été marquée par des manœuvres conjointes entre le Prairial et les marines des pays partenaires de la région Asie Pacifique. La FS a effectué de nombreux exercices avec les Philippines, le Vietnam, la Corée du Sud et le Japon. Elle a participé à des ateliers de démonstration à quai avec le Cambodge et a effectué des ravitaillements à la mer avec la marine américaine, à la suite d’une escale à Guam, où se situe une des bases américaines du Pacifique.

L’équipage du Prairial a ainsi travaillé des savoir-faire communs avec les marines partenaires, notamment dans les domaines de la mise en œuvre et l’exploitation des liaisons de données tactiques, des opérations de visites et de navigations en groupe. Ce partage de pratiques et de procédures a permis de gagner en efficacité pour faire face aux problématiques communes de sécurité maritime dans cette zone sensible du Pacifique. Ces activités ont également participé au développement de l’interopérabilité interalliés dans le cadre de l’approche multilatérale française dans cette région.

Enfin, au cours de sa patrouille en mer de Chine, le Prairial a contribué à la mission de surveillance ECC/AETO sous mandat des Nations unies, illustrant l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation, ainsi que son engagement dans la lutte contre la prolifération d’armes de destruction massive.

Véritable vecteur de rayonnement au cours de la mission ASIE 23, le Prairial a accueilli de nombreuses autorités étrangères et françaises, dont la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères. D’autres événements forts tels que l’organisation d’un think tank en Corée du Sud sur la sécurité maritime à l’échelle de l’Union européenne, et une exposition sur l’action des forces françaises et la préservation de l’environnement marin au Japon, ont également fait rayonner la marine française à l’international.

ASIE 23 a été une mission opérationnelle intense sur un théâtre qui concentre des enjeux majeurs. Au bilan, le Prairial a parcouru plus de 20 000 Nq (» 37 000 km, soit le tour de la Terre), a mis en œuvre son hélicoptère Dauphin pour mener une centaine de vols et a mené des interactions avec six nations partenaires.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud.

 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial
 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

Source : Etat-major des armées


FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

publié le Jeudi 25 mai 2023

 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

© EMA

Le 18 mai, la Frégate de surveillance (FS) Prairial a accosté à son port base de Papeete après une mission de plus de trois mois dans la région Asie Pacifique. S’inscrivant dans le volet militaire de la stratégie indopacifique française, la mission ASIE 23 a permis une appréciation autonome des activités dans cette zone stratégique, mais aussi un renforcement des partenariats avec les pays riverains.

Lors de la première partie de la mission, la FS Prairial a patrouillé dans les zones économiques exclusives des Pacific Islands Countries. Cette mission de surveillance de la pêche a notamment permis le partage d’informations avec la Forum Fisheries Agency, contribuant ainsi à la préservation des ressources des îles de la région.

La deuxième partie de mission a été marquée par des manœuvres conjointes entre le Prairial et les marines des pays partenaires de la région Asie Pacifique. La FS a effectué de nombreux exercices avec les Philippines, le Vietnam, la Corée du Sud et le Japon. Elle a participé à des ateliers de démonstration à quai avec le Cambodge et a effectué des ravitaillements à la mer avec la marine américaine, à la suite d’une escale à Guam, où se situe une des bases américaines du Pacifique.

L’équipage du Prairial a ainsi travaillé des savoir-faire communs avec les marines partenaires, notamment dans les domaines de la mise en œuvre et l’exploitation des liaisons de données tactiques, des opérations de visites et de navigations en groupe. Ce partage de pratiques et de procédures a permis de gagner en efficacité pour faire face aux problématiques communes de sécurité maritime dans cette zone sensible du Pacifique. Ces activités ont également participé au développement de l’interopérabilité interalliés dans le cadre de l’approche multilatérale française dans cette région.

Enfin, au cours de sa patrouille en mer de Chine, le Prairial a contribué à la mission de surveillance ECC/AETO sous mandat des Nations unies, illustrant l’attachement de la France au respect du droit international et à la liberté de navigation, ainsi que son engagement dans la lutte contre la prolifération d’armes de destruction massive.

Véritable vecteur de rayonnement au cours de la mission ASIE 23, le Prairial a accueilli de nombreuses autorités étrangères et françaises, dont la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères. D’autres événements forts tels que l’organisation d’un think tank en Corée du Sud sur la sécurité maritime à l’échelle de l’Union européenne, et une exposition sur l’action des forces françaises et la préservation de l’environnement marin au Japon, ont également fait rayonner la marine française à l’international.

ASIE 23 a été une mission opérationnelle intense sur un théâtre qui concentre des enjeux majeurs. Au bilan, le Prairial a parcouru plus de 20 000 Nq (» 37 000 km, soit le tour de la Terre), a mis en œuvre son hélicoptère Dauphin pour mener une centaine de vols et a mené des interactions avec six nations partenaires.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud.

 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial
 FAPF – Bilan de la mission ASIE 23 avec la Frégate de surveillance Prairial

Source : Etat-major des armées


FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

publié le Mercredi 17 mai 2023

 FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

© EMA

Depuis le 8 avril, la Frégate multi-missions à capacité de défense aérienne renforcée (FREMM DA) Lorraine est engagée dans un déploiement de longue durée qui doit la conduire prochainement dans le Pacifique. Elle a mis à profit son escale dans l’État indien du Kerala, pour conduire une série d’exercice avec le destroyer de défense aérienne Kolkata. Bâtiment puissamment armé (164 mètres de long, équipé de missiles supersoniques BrahMos et de torpilles lourdes) a rallié Cochin pour l’occasion.

Les deux bâtiments ont réalisé des présentations de ravitaillement à la mer, avant de conduire un exercice de défense aérienne puis un exercice de lutte anti sous-marine sur cible émergée. L’excellent niveau de cet entraînement commun a démontré une nouvelle fois la qualité du lien bilatéral que la France entretient et développe avec son partenaire stratégique en Océan Indien. L’interopérabilité entre les marines françaises et indiennes avait déjà été accrue cette année avec l’exercice Varuna, en janvier 2023, avec le groupe aéronaval avait été engagé, puis l’exercice LAPEROUSE, en avril 2023, avec le groupe Jeanne d’Arc.

Pour la Lorraine, ces exercices navals dans les deux domaines de lutte s’inscrivent dans les objectifs du déploiement de longue durée dont la dernière étape consiste en la vérification des caractéristiques militaires avant l’admission au service actif. Il s’agit d’éprouver et de tester les performances de ses systèmes dans des environnements opérationnels variés et exigeants. Dans ce contexte, interagir avec des unités modernes et aux capacités équivalentes représente une réelle plus-value opérationnelle et technique.

Ces entrainements ont permis d’approfondir la connaissance mutuelle entre les deux marines, entretenue depuis de nombreuses années à travers les exercices franco-indiens. Les différentes interactions démontrent la volonté de l’Inde et de la France de conforter leur partenariat stratégique de premier plan en zone indopacifique.

 FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

Source : Etat-major des armées


FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

publié le Mercredi 17 mai 2023

 FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

© EMA

Depuis le 8 avril, la Frégate multi-missions à capacité de défense aérienne renforcée (FREMM DA) Lorraine est engagée dans un déploiement de longue durée qui doit la conduire prochainement dans le Pacifique. Elle a mis à profit son escale dans l’État indien du Kerala, pour conduire une série d’exercice avec le destroyer de défense aérienne Kolkata. Bâtiment puissamment armé (164 mètres de long, équipé de missiles supersoniques BrahMos et de torpilles lourdes) a rallié Cochin pour l’occasion.

Les deux bâtiments ont réalisé des présentations de ravitaillement à la mer, avant de conduire un exercice de défense aérienne puis un exercice de lutte anti sous-marine sur cible émergée. L’excellent niveau de cet entraînement commun a démontré une nouvelle fois la qualité du lien bilatéral que la France entretient et développe avec son partenaire stratégique en Océan Indien. L’interopérabilité entre les marines françaises et indiennes avait déjà été accrue cette année avec l’exercice Varuna, en janvier 2023, avec le groupe aéronaval avait été engagé, puis l’exercice LAPEROUSE, en avril 2023, avec le groupe Jeanne d’Arc.

Pour la Lorraine, ces exercices navals dans les deux domaines de lutte s’inscrivent dans les objectifs du déploiement de longue durée dont la dernière étape consiste en la vérification des caractéristiques militaires avant l’admission au service actif. Il s’agit d’éprouver et de tester les performances de ses systèmes dans des environnements opérationnels variés et exigeants. Dans ce contexte, interagir avec des unités modernes et aux capacités équivalentes représente une réelle plus-value opérationnelle et technique.

Ces entrainements ont permis d’approfondir la connaissance mutuelle entre les deux marines, entretenue depuis de nombreuses années à travers les exercices franco-indiens. Les différentes interactions démontrent la volonté de l’Inde et de la France de conforter leur partenariat stratégique de premier plan en zone indopacifique.

 FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

Source : Etat-major des armées

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