LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

publié le Jeudi 30 mars 2023

 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

© EMA

Du 23 au 29 mars, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral participe à l’activité de coopération opérationnelle CEDRE BLEU en Méditerranée orientale. Cet exercice bilatéral interarmées, planifié conjointement, vise à renforcer la coopération et l'interopérabilité entre les forces armées libanaises et françaises.

Conduite à quai depuis Beyrouth, la première phase de CEDRE BLEU a mobilisé l’équipage du Mistral et l’ensemble des détachements embarqués : le sous groupement tactique embarqué du 21e Régiment d’infanterie de Marine (21e RIMa), le bataillon des fusiliers marins Detroyat, un hélicoptère Puma de l’armée de l’Air et de l’Espace, la flottille amphibie, un détachement du Groupement de plongeurs-démineurs (GPD) Manche. Coordonnés depuis un poste de conduite interarmées à bord du Mistral, les échanges et exercices conjoints leur ont permis de partager dès l’escale à Beyrouth des connaissances et des savoir-faire dans différents domaines : sécurité, amphibie, plongée, entraînements aéronautiques, combat en milieu clos, entraînement des brigades cynophiles, maintenance électrique et surveillance radar.

L’activité de coopération s’est poursuivie en mer. Des opérations amphibies conjointes ont permis le débarquement d’un sous groupement tactique embarqué, composé de près de 300 soldats libanais et français, afin de conduire une manœuvre terrestre avec une séquence de tirs. En parallèle, les hélicoptères Puma français et libanais ont mené des manœuvres conjointes à terre et en mer. Le patrouilleur libanais Trablos et le Mistral ont effectué un exercice de Search And Rescue (SAR) dans les approches libanaises, en appui du futur Joint Rescue Coordination Center (JRCC) libanais. Les fusiliers marins ont également partagé leur savoir-faire dans le domaine des opérations de visite.

Cet exercice interarmées mené dans le cadre d’un scénario complexe de déploiement amphibie, associé à des manœuvres aéroterrestres, contribue ainsi au partage de de compétences et permet de renforcer l’interopérabilité ainsi que la coopération opérationnelle entre les deux nations.

 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU
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 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

Source : Etat-major des armées


LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

publié le Jeudi 30 mars 2023

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© EMA

Du 23 au 29 mars, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral participe à l’activité de coopération opérationnelle CEDRE BLEU en Méditerranée orientale. Cet exercice bilatéral interarmées, planifié conjointement, vise à renforcer la coopération et l'interopérabilité entre les forces armées libanaises et françaises.

Conduite à quai depuis Beyrouth, la première phase de CEDRE BLEU a mobilisé l’équipage du Mistral et l’ensemble des détachements embarqués : le sous groupement tactique embarqué du 21e Régiment d’infanterie de Marine (21e RIMa), le bataillon des fusiliers marins Detroyat, un hélicoptère Puma de l’armée de l’Air et de l’Espace, la flottille amphibie, un détachement du Groupement de plongeurs-démineurs (GPD) Manche. Coordonnés depuis un poste de conduite interarmées à bord du Mistral, les échanges et exercices conjoints leur ont permis de partager dès l’escale à Beyrouth des connaissances et des savoir-faire dans différents domaines : sécurité, amphibie, plongée, entraînements aéronautiques, combat en milieu clos, entraînement des brigades cynophiles, maintenance électrique et surveillance radar.

L’activité de coopération s’est poursuivie en mer. Des opérations amphibies conjointes ont permis le débarquement d’un sous groupement tactique embarqué, composé de près de 300 soldats libanais et français, afin de conduire une manœuvre terrestre avec une séquence de tirs. En parallèle, les hélicoptères Puma français et libanais ont mené des manœuvres conjointes à terre et en mer. Le patrouilleur libanais Trablos et le Mistral ont effectué un exercice de Search And Rescue (SAR) dans les approches libanaises, en appui du futur Joint Rescue Coordination Center (JRCC) libanais. Les fusiliers marins ont également partagé leur savoir-faire dans le domaine des opérations de visite.

Cet exercice interarmées mené dans le cadre d’un scénario complexe de déploiement amphibie, associé à des manœuvres aéroterrestres, contribue ainsi au partage de de compétences et permet de renforcer l’interopérabilité ainsi que la coopération opérationnelle entre les deux nations.

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Source : Etat-major des armées


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publié le Jeudi 30 mars 2023

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© EMA

Du 23 au 29 mars, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral participe à l’activité de coopération opérationnelle CEDRE BLEU en Méditerranée orientale. Cet exercice bilatéral interarmées, planifié conjointement, vise à renforcer la coopération et l'interopérabilité entre les forces armées libanaises et françaises.

Conduite à quai depuis Beyrouth, la première phase de CEDRE BLEU a mobilisé l’équipage du Mistral et l’ensemble des détachements embarqués : le sous groupement tactique embarqué du 21e Régiment d’infanterie de Marine (21e RIMa), le bataillon des fusiliers marins Detroyat, un hélicoptère Puma de l’armée de l’Air et de l’Espace, la flottille amphibie, un détachement du Groupement de plongeurs-démineurs (GPD) Manche. Coordonnés depuis un poste de conduite interarmées à bord du Mistral, les échanges et exercices conjoints leur ont permis de partager dès l’escale à Beyrouth des connaissances et des savoir-faire dans différents domaines : sécurité, amphibie, plongée, entraînements aéronautiques, combat en milieu clos, entraînement des brigades cynophiles, maintenance électrique et surveillance radar.

L’activité de coopération s’est poursuivie en mer. Des opérations amphibies conjointes ont permis le débarquement d’un sous groupement tactique embarqué, composé de près de 300 soldats libanais et français, afin de conduire une manœuvre terrestre avec une séquence de tirs. En parallèle, les hélicoptères Puma français et libanais ont mené des manœuvres conjointes à terre et en mer. Le patrouilleur libanais Trablos et le Mistral ont effectué un exercice de Search And Rescue (SAR) dans les approches libanaises, en appui du futur Joint Rescue Coordination Center (JRCC) libanais. Les fusiliers marins ont également partagé leur savoir-faire dans le domaine des opérations de visite.

Cet exercice interarmées mené dans le cadre d’un scénario complexe de déploiement amphibie, associé à des manœuvres aéroterrestres, contribue ainsi au partage de de compétences et permet de renforcer l’interopérabilité ainsi que la coopération opérationnelle entre les deux nations.

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Source : Etat-major des armées


LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

publié le Jeudi 30 mars 2023

 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

© EMA

Du 23 au 29 mars, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral participe à l’activité de coopération opérationnelle CEDRE BLEU en Méditerranée orientale. Cet exercice bilatéral interarmées, planifié conjointement, vise à renforcer la coopération et l'interopérabilité entre les forces armées libanaises et françaises.

Conduite à quai depuis Beyrouth, la première phase de CEDRE BLEU a mobilisé l’équipage du Mistral et l’ensemble des détachements embarqués : le sous groupement tactique embarqué du 21e Régiment d’infanterie de Marine (21e RIMa), le bataillon des fusiliers marins Detroyat, un hélicoptère Puma de l’armée de l’Air et de l’Espace, la flottille amphibie, un détachement du Groupement de plongeurs-démineurs (GPD) Manche. Coordonnés depuis un poste de conduite interarmées à bord du Mistral, les échanges et exercices conjoints leur ont permis de partager dès l’escale à Beyrouth des connaissances et des savoir-faire dans différents domaines : sécurité, amphibie, plongée, entraînements aéronautiques, combat en milieu clos, entraînement des brigades cynophiles, maintenance électrique et surveillance radar.

L’activité de coopération s’est poursuivie en mer. Des opérations amphibies conjointes ont permis le débarquement d’un sous groupement tactique embarqué, composé de près de 300 soldats libanais et français, afin de conduire une manœuvre terrestre avec une séquence de tirs. En parallèle, les hélicoptères Puma français et libanais ont mené des manœuvres conjointes à terre et en mer. Le patrouilleur libanais Trablos et le Mistral ont effectué un exercice de Search And Rescue (SAR) dans les approches libanaises, en appui du futur Joint Rescue Coordination Center (JRCC) libanais. Les fusiliers marins ont également partagé leur savoir-faire dans le domaine des opérations de visite.

Cet exercice interarmées mené dans le cadre d’un scénario complexe de déploiement amphibie, associé à des manœuvres aéroterrestres, contribue ainsi au partage de de compétences et permet de renforcer l’interopérabilité ainsi que la coopération opérationnelle entre les deux nations.

 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU
 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU
 LIBAN – Les armées françaises aux côtés de leurs partenaires libanais pour l’activité de coopération CEDRE BLEU

Source : Etat-major des armées


Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

© Marine nationale

Mercredi 22 mars 2023, sous la coordination conjointe de la préfecture du Pas-de-Calais (sécurisation à terre) et de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (sécurisation en mer et neutralisation), s’est déroulée une opération de déminage menée par le groupe des plongeurs démineurs (GPD) de la Manche.

Un important dispositif de sécurité a été mis en place dans un rayon de 1 500 mètres autour des blocs de défense entre 6h30 et 11h30, dont une zone de mise à l’abri pour la commune de Wissant. Les habitants avaient pour consigne de rester chez eux pour se protéger de potentiels éclats pouvant survenir suite à la neutralisation des engins historiques.

Un poste de commandement des opérations a été mis en place à la mairie de Wissant en présence notamment de Dominique CONSILLE, sous-préfète de l’arrondissement de Boulogne-sur-Mer, Laurence PROUVOT, maire de Wissant, et du lieutenant de vaisseau THOMAS, plongeur démineur en charge de l’opération de déminage pour la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

La gendarmerie nationale et la mairie de Wissant se sont assurées que la zone de mise à l’abri soit bien claire et respectée. Des moyens de secours composés du service d’aide médicale d’urgence (SAMU) 62 et des sapeurs-pompiers ont également été déployés.

Au total, les quatre blocs de défense ont été neutralisés par les plongeurs-démineurs. 3 blocs avaient été découverts début février. Le quatrième bloc a été découvert lors de l’intervention des plongeurs-démineurs. Afin d’optimiser et de concentrer les efforts, tous ont été traités en une fois. Les blocs contenaient 4 obus représentant un total de 280 kg d'équivalent TNT neutralisés.

Focus sur le GPD Manche

Le GPD Manche est une unité de la Marine nationale rattachée à la force d’action navale. Il mène des missions dans la zone de responsabilité du préfet maritime en Manche et mer du Nord (du Mont Saint-Michel à la frontière belge, en mer, comme sur le rivage sur les 870 kilomètres de côtes) mais également à l’étranger.

La Marine nationale agit au quotidien pour sécuriser le littoral français et les fonds marins. L’ensemble de ses moyens de lutte contre les mines (bâtiments dédiés tels que les chasseurs de mines tripartites et groupe de plongeurs démineurs) mènent régulièrement des opérations visant à détecter, neutraliser ou détruire des munitions non explosées en mer ou sur les plages françaises. En Manche et mer du Nord en 2022, l'action conjointe du groupe de plongeurs démineurs et des chasseurs de mines tripartites de la Marine nationale a permis de détruire 1 007 engins historiques (en mer et sur l’estran), ce qui a représenté 15 675 kg équivalent TNT.

 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche
 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

Source : Marine nationale


Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

© Marine nationale

Mercredi 22 mars 2023, sous la coordination conjointe de la préfecture du Pas-de-Calais (sécurisation à terre) et de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (sécurisation en mer et neutralisation), s’est déroulée une opération de déminage menée par le groupe des plongeurs démineurs (GPD) de la Manche.

Un important dispositif de sécurité a été mis en place dans un rayon de 1 500 mètres autour des blocs de défense entre 6h30 et 11h30, dont une zone de mise à l’abri pour la commune de Wissant. Les habitants avaient pour consigne de rester chez eux pour se protéger de potentiels éclats pouvant survenir suite à la neutralisation des engins historiques.

Un poste de commandement des opérations a été mis en place à la mairie de Wissant en présence notamment de Dominique CONSILLE, sous-préfète de l’arrondissement de Boulogne-sur-Mer, Laurence PROUVOT, maire de Wissant, et du lieutenant de vaisseau THOMAS, plongeur démineur en charge de l’opération de déminage pour la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

La gendarmerie nationale et la mairie de Wissant se sont assurées que la zone de mise à l’abri soit bien claire et respectée. Des moyens de secours composés du service d’aide médicale d’urgence (SAMU) 62 et des sapeurs-pompiers ont également été déployés.

Au total, les quatre blocs de défense ont été neutralisés par les plongeurs-démineurs. 3 blocs avaient été découverts début février. Le quatrième bloc a été découvert lors de l’intervention des plongeurs-démineurs. Afin d’optimiser et de concentrer les efforts, tous ont été traités en une fois. Les blocs contenaient 4 obus représentant un total de 280 kg d'équivalent TNT neutralisés.

Focus sur le GPD Manche

Le GPD Manche est une unité de la Marine nationale rattachée à la force d’action navale. Il mène des missions dans la zone de responsabilité du préfet maritime en Manche et mer du Nord (du Mont Saint-Michel à la frontière belge, en mer, comme sur le rivage sur les 870 kilomètres de côtes) mais également à l’étranger.

La Marine nationale agit au quotidien pour sécuriser le littoral français et les fonds marins. L’ensemble de ses moyens de lutte contre les mines (bâtiments dédiés tels que les chasseurs de mines tripartites et groupe de plongeurs démineurs) mènent régulièrement des opérations visant à détecter, neutraliser ou détruire des munitions non explosées en mer ou sur les plages françaises. En Manche et mer du Nord en 2022, l'action conjointe du groupe de plongeurs démineurs et des chasseurs de mines tripartites de la Marine nationale a permis de détruire 1 007 engins historiques (en mer et sur l’estran), ce qui a représenté 15 675 kg équivalent TNT.

 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche
 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

Source : Marine nationale


Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

© Marine nationale

Mercredi 22 mars 2023, sous la coordination conjointe de la préfecture du Pas-de-Calais (sécurisation à terre) et de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (sécurisation en mer et neutralisation), s’est déroulée une opération de déminage menée par le groupe des plongeurs démineurs (GPD) de la Manche.

Un important dispositif de sécurité a été mis en place dans un rayon de 1 500 mètres autour des blocs de défense entre 6h30 et 11h30, dont une zone de mise à l’abri pour la commune de Wissant. Les habitants avaient pour consigne de rester chez eux pour se protéger de potentiels éclats pouvant survenir suite à la neutralisation des engins historiques.

Un poste de commandement des opérations a été mis en place à la mairie de Wissant en présence notamment de Dominique CONSILLE, sous-préfète de l’arrondissement de Boulogne-sur-Mer, Laurence PROUVOT, maire de Wissant, et du lieutenant de vaisseau THOMAS, plongeur démineur en charge de l’opération de déminage pour la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

La gendarmerie nationale et la mairie de Wissant se sont assurées que la zone de mise à l’abri soit bien claire et respectée. Des moyens de secours composés du service d’aide médicale d’urgence (SAMU) 62 et des sapeurs-pompiers ont également été déployés.

Au total, les quatre blocs de défense ont été neutralisés par les plongeurs-démineurs. 3 blocs avaient été découverts début février. Le quatrième bloc a été découvert lors de l’intervention des plongeurs-démineurs. Afin d’optimiser et de concentrer les efforts, tous ont été traités en une fois. Les blocs contenaient 4 obus représentant un total de 280 kg d'équivalent TNT neutralisés.

Focus sur le GPD Manche

Le GPD Manche est une unité de la Marine nationale rattachée à la force d’action navale. Il mène des missions dans la zone de responsabilité du préfet maritime en Manche et mer du Nord (du Mont Saint-Michel à la frontière belge, en mer, comme sur le rivage sur les 870 kilomètres de côtes) mais également à l’étranger.

La Marine nationale agit au quotidien pour sécuriser le littoral français et les fonds marins. L’ensemble de ses moyens de lutte contre les mines (bâtiments dédiés tels que les chasseurs de mines tripartites et groupe de plongeurs démineurs) mènent régulièrement des opérations visant à détecter, neutraliser ou détruire des munitions non explosées en mer ou sur les plages françaises. En Manche et mer du Nord en 2022, l'action conjointe du groupe de plongeurs démineurs et des chasseurs de mines tripartites de la Marine nationale a permis de détruire 1 007 engins historiques (en mer et sur l’estran), ce qui a représenté 15 675 kg équivalent TNT.

 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche
 Opération de déminage à Wissant (62) : quatre engins historiques neutralisés par le GPD manche

Source : Marine nationale


Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

publié le Mardi 21 mars 2023

 Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

© Marine nationale

Le lundi 13 mars 2023, l’Ecole des fusiliers marins a organisé une cérémonie de remise de bérets verts, de diplômes et de décorations sur la place d’armes Siroco, au sein de la base des fusiliers marins et commandos, près de Lorient.

La cérémonie était présidée par le contre-amiral Pierre de Briançon, commandant la force maritime des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO), en présence du commandant de l’Ecole des fusiliers marins (ECOFUS), le capitaine de vaisseau Sébastien Parisse, et du maire de l’île de Sein, M. Didier Fouquet.

La cérémonie devait initialement se dérouler sur l’île de Sein, mais les conditions météorologiques n’ont pas permis le voyage. Le Maire de la commune, alors présent sur le continent, a néanmoins pu se rendre sur le site de l’Ecole des fusiliers marins pour la cérémonie.

La présence de l’île de Sein à une cérémonie de l’ECOFUS n’est pas le reflet du hasard. En effet, la commune de Sein fait partie des 5 villes françaises qui comptent au nombre des compagnons de la Libération. 18 unités militaires ont également reçu cette distinction. C’est le cas du 1er régiment de fusiliers marins (1er RFM), dont le drapeau a été confié à l’Ecole des fusiliers marins, en faisant ainsi la digne héritière du régiment.

Au cours de cette cérémonie, 6 élèves officiers fusiliers marins commandos (EOFC) se sont vus remettre leur béret vert, symbole de leur intégration au sein des forces spéciales de la Marine nationale.  La cérémonie fut aussi l’occasion de remettre des diplômes aux nouveaux qualifiés chefs d’équipe commando et chefs de groupe commando. Par ailleurs, deux personnels de l’Ecole des fusiliers marins ont été décorés de la médaille de la croix de la valeur militaire avec étoile de bronze, tandis qu’un troisième recevait la médaille d’or de la défense nationale avec étoile de bronze.

 Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

Source : Marine nationale


Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

publié le Mardi 21 mars 2023

 Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

© Marine nationale

Le lundi 13 mars 2023, l’Ecole des fusiliers marins a organisé une cérémonie de remise de bérets verts, de diplômes et de décorations sur la place d’armes Siroco, au sein de la base des fusiliers marins et commandos, près de Lorient.

La cérémonie était présidée par le contre-amiral Pierre de Briançon, commandant la force maritime des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO), en présence du commandant de l’Ecole des fusiliers marins (ECOFUS), le capitaine de vaisseau Sébastien Parisse, et du maire de l’île de Sein, M. Didier Fouquet.

La cérémonie devait initialement se dérouler sur l’île de Sein, mais les conditions météorologiques n’ont pas permis le voyage. Le Maire de la commune, alors présent sur le continent, a néanmoins pu se rendre sur le site de l’Ecole des fusiliers marins pour la cérémonie.

La présence de l’île de Sein à une cérémonie de l’ECOFUS n’est pas le reflet du hasard. En effet, la commune de Sein fait partie des 5 villes françaises qui comptent au nombre des compagnons de la Libération. 18 unités militaires ont également reçu cette distinction. C’est le cas du 1er régiment de fusiliers marins (1er RFM), dont le drapeau a été confié à l’Ecole des fusiliers marins, en faisant ainsi la digne héritière du régiment.

Au cours de cette cérémonie, 6 élèves officiers fusiliers marins commandos (EOFC) se sont vus remettre leur béret vert, symbole de leur intégration au sein des forces spéciales de la Marine nationale.  La cérémonie fut aussi l’occasion de remettre des diplômes aux nouveaux qualifiés chefs d’équipe commando et chefs de groupe commando. Par ailleurs, deux personnels de l’Ecole des fusiliers marins ont été décorés de la médaille de la croix de la valeur militaire avec étoile de bronze, tandis qu’un troisième recevait la médaille d’or de la défense nationale avec étoile de bronze.

 Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

Source : Marine nationale


Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

publié le Mardi 21 mars 2023

 Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

© Marine nationale

Le lundi 13 mars 2023, l’Ecole des fusiliers marins a organisé une cérémonie de remise de bérets verts, de diplômes et de décorations sur la place d’armes Siroco, au sein de la base des fusiliers marins et commandos, près de Lorient.

La cérémonie était présidée par le contre-amiral Pierre de Briançon, commandant la force maritime des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO), en présence du commandant de l’Ecole des fusiliers marins (ECOFUS), le capitaine de vaisseau Sébastien Parisse, et du maire de l’île de Sein, M. Didier Fouquet.

La cérémonie devait initialement se dérouler sur l’île de Sein, mais les conditions météorologiques n’ont pas permis le voyage. Le Maire de la commune, alors présent sur le continent, a néanmoins pu se rendre sur le site de l’Ecole des fusiliers marins pour la cérémonie.

La présence de l’île de Sein à une cérémonie de l’ECOFUS n’est pas le reflet du hasard. En effet, la commune de Sein fait partie des 5 villes françaises qui comptent au nombre des compagnons de la Libération. 18 unités militaires ont également reçu cette distinction. C’est le cas du 1er régiment de fusiliers marins (1er RFM), dont le drapeau a été confié à l’Ecole des fusiliers marins, en faisant ainsi la digne héritière du régiment.

Au cours de cette cérémonie, 6 élèves officiers fusiliers marins commandos (EOFC) se sont vus remettre leur béret vert, symbole de leur intégration au sein des forces spéciales de la Marine nationale.  La cérémonie fut aussi l’occasion de remettre des diplômes aux nouveaux qualifiés chefs d’équipe commando et chefs de groupe commando. Par ailleurs, deux personnels de l’Ecole des fusiliers marins ont été décorés de la médaille de la croix de la valeur militaire avec étoile de bronze, tandis qu’un troisième recevait la médaille d’or de la défense nationale avec étoile de bronze.

 Cérémonie à l’Ecole des fusiliers marins

Source : Marine nationale

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