Le 5 juillet, la frégate de surveillance Ventôse des Forces armées aux Antilles a intercepté un voilier suspecté de trafic illicite de produits stupéfiants, au nord-est de la Martinique. Cette nouvelle action interministérielle menée conjointement avec les autorités antillaises a permis le retrait d’importantes quantités de substances illicites des réseaux de distribution criminels entre la Caraïbe et l’Europe. 

Au nord-est de la Martinique, à près de 800 kilomètres des côtes, l’équipe de visite de la frégate de surveillance Ventôse, renforcée par l’Équipe spécialisée d’intervention maritime (ESIM), a constaté la présence de paquetages suspects à bord du voilier ciblé. La marchandise a été déclarée illicite suite à un test positif à la cocaïne. Après une fouille approfondie menée conjointement par la Douane et la Marine nationale, ce sont 317 kg de cocaïne qui ont été saisis.

Cette opération conduite sous la direction du préfet de la Martinique, délégué du Gouvernement pour l’action de l’État en mer, et par l’amiral commandant la zone maritime des Antilles a permis la saisie et la remise aux autorités judiciaires de ces stupéfiants.

Le bilan 2023 des FAA s’élève désormais à plus de 5.2 tonnes de produits stupéfiants retirés des réseaux de distribution.

Les Forces armées aux Antilles (FAA) constituent un dispositif interarmées de premier plan dans la Caraïbe. Basés en Martinique et Guadeloupe, près de 1 000 militaires garantissent la protection du territoire national. Leur présence dote la France d’importantes capacités opérationnelles, projetables sous court préavis, pour répondre à une crise sécuritaire ou mener des opérations d’assistance aux populations affectées par une catastrophe naturelle. La composante aéromaritime des FAA participe régulièrement aux missions relevant de l’action de l’Etat en mer, notamment la lutte contre les trafics illicites et la protection de l’environnement marin. Les FAA développent la coopération militaire avec leurs alliés et partenaires de la zone Caraïbe.

Le 5 juillet, la frégate de surveillance Ventôse des Forces armées aux Antilles a intercepté un voilier suspecté de trafic illicite de produits stupéfiants, au nord-est de la Martinique. Cette nouvelle action interministérielle menée conjointement avec les autorités antillaises a permis le retrait d’importantes quantités de substances illicites des réseaux de distribution criminels entre la Caraïbe et l’Europe. 

Au nord-est de la Martinique, à près de 800 kilomètres des côtes, l’équipe de visite de la frégate de surveillance Ventôse, renforcée par l’Équipe spécialisée d’intervention maritime (ESIM), a constaté la présence de paquetages suspects à bord du voilier ciblé. La marchandise a été déclarée illicite suite à un test positif à la cocaïne. Après une fouille approfondie menée conjointement par la Douane et la Marine nationale, ce sont 317 kg de cocaïne qui ont été saisis.

Cette opération conduite sous la direction du préfet de la Martinique, délégué du Gouvernement pour l’action de l’État en mer, et par l’amiral commandant la zone maritime des Antilles a permis la saisie et la remise aux autorités judiciaires de ces stupéfiants.

Le bilan 2023 des FAA s’élève désormais à plus de 5.2 tonnes de produits stupéfiants retirés des réseaux de distribution.

Les Forces armées aux Antilles (FAA) constituent un dispositif interarmées de premier plan dans la Caraïbe. Basés en Martinique et Guadeloupe, près de 1 000 militaires garantissent la protection du territoire national. Leur présence dote la France d’importantes capacités opérationnelles, projetables sous court préavis, pour répondre à une crise sécuritaire ou mener des opérations d’assistance aux populations affectées par une catastrophe naturelle. La composante aéromaritime des FAA participe régulièrement aux missions relevant de l’action de l’Etat en mer, notamment la lutte contre les trafics illicites et la protection de l’environnement marin. Les FAA développent la coopération militaire avec leurs alliés et partenaires de la zone Caraïbe.

Le 5 juillet, la frégate de surveillance Ventôse des Forces armées aux Antilles a intercepté un voilier suspecté de trafic illicite de produits stupéfiants, au nord-est de la Martinique. Cette nouvelle action interministérielle menée conjointement avec les autorités antillaises a permis le retrait d’importantes quantités de substances illicites des réseaux de distribution criminels entre la Caraïbe et l’Europe. 

Au nord-est de la Martinique, à près de 800 kilomètres des côtes, l’équipe de visite de la frégate de surveillance Ventôse, renforcée par l’Équipe spécialisée d’intervention maritime (ESIM), a constaté la présence de paquetages suspects à bord du voilier ciblé. La marchandise a été déclarée illicite suite à un test positif à la cocaïne. Après une fouille approfondie menée conjointement par la Douane et la Marine nationale, ce sont 317 kg de cocaïne qui ont été saisis.

Cette opération conduite sous la direction du préfet de la Martinique, délégué du Gouvernement pour l’action de l’État en mer, et par l’amiral commandant la zone maritime des Antilles a permis la saisie et la remise aux autorités judiciaires de ces stupéfiants.

Le bilan 2023 des FAA s’élève désormais à plus de 5.2 tonnes de produits stupéfiants retirés des réseaux de distribution.

Les Forces armées aux Antilles (FAA) constituent un dispositif interarmées de premier plan dans la Caraïbe. Basés en Martinique et Guadeloupe, près de 1 000 militaires garantissent la protection du territoire national. Leur présence dote la France d’importantes capacités opérationnelles, projetables sous court préavis, pour répondre à une crise sécuritaire ou mener des opérations d’assistance aux populations affectées par une catastrophe naturelle. La composante aéromaritime des FAA participe régulièrement aux missions relevant de l’action de l’Etat en mer, notamment la lutte contre les trafics illicites et la protection de l’environnement marin. Les FAA développent la coopération militaire avec leurs alliés et partenaires de la zone Caraïbe.

Le 5 juillet, la frégate de surveillance Ventôse des Forces armées aux Antilles a intercepté un voilier suspecté de trafic illicite de produits stupéfiants, au nord-est de la Martinique. Cette nouvelle action interministérielle menée conjointement avec les autorités antillaises a permis le retrait d’importantes quantités de substances illicites des réseaux de distribution criminels entre la Caraïbe et l’Europe. 

Au nord-est de la Martinique, à près de 800 kilomètres des côtes, l’équipe de visite de la frégate de surveillance Ventôse, renforcée par l’Équipe spécialisée d’intervention maritime (ESIM), a constaté la présence de paquetages suspects à bord du voilier ciblé. La marchandise a été déclarée illicite suite à un test positif à la cocaïne. Après une fouille approfondie menée conjointement par la Douane et la Marine nationale, ce sont 317 kg de cocaïne qui ont été saisis.

Cette opération conduite sous la direction du préfet de la Martinique, délégué du Gouvernement pour l’action de l’État en mer, et par l’amiral commandant la zone maritime des Antilles a permis la saisie et la remise aux autorités judiciaires de ces stupéfiants.

Le bilan 2023 des FAA s’élève désormais à plus de 5.2 tonnes de produits stupéfiants retirés des réseaux de distribution.

Les Forces armées aux Antilles (FAA) constituent un dispositif interarmées de premier plan dans la Caraïbe. Basés en Martinique et Guadeloupe, près de 1 000 militaires garantissent la protection du territoire national. Leur présence dote la France d’importantes capacités opérationnelles, projetables sous court préavis, pour répondre à une crise sécuritaire ou mener des opérations d’assistance aux populations affectées par une catastrophe naturelle. La composante aéromaritime des FAA participe régulièrement aux missions relevant de l’action de l’Etat en mer, notamment la lutte contre les trafics illicites et la protection de l’environnement marin. Les FAA développent la coopération militaire avec leurs alliés et partenaires de la zone Caraïbe.

Le 5 juillet, la frégate de surveillance Ventôse des Forces armées aux Antilles a intercepté un voilier suspecté de trafic illicite de produits stupéfiants, au nord-est de la Martinique. Cette nouvelle action interministérielle menée conjointement avec les autorités antillaises a permis le retrait d’importantes quantités de substances illicites des réseaux de distribution criminels entre la Caraïbe et l’Europe. 

Au nord-est de la Martinique, à près de 800 kilomètres des côtes, l’équipe de visite de la frégate de surveillance Ventôse, renforcée par l’Équipe spécialisée d’intervention maritime (ESIM), a constaté la présence de paquetages suspects à bord du voilier ciblé. La marchandise a été déclarée illicite suite à un test positif à la cocaïne. Après une fouille approfondie menée conjointement par la Douane et la Marine nationale, ce sont 317 kg de cocaïne qui ont été saisis.

Cette opération conduite sous la direction du préfet de la Martinique, délégué du Gouvernement pour l’action de l’État en mer, et par l’amiral commandant la zone maritime des Antilles a permis la saisie et la remise aux autorités judiciaires de ces stupéfiants.

Le bilan 2023 des FAA s’élève désormais à plus de 5.2 tonnes de produits stupéfiants retirés des réseaux de distribution.

Les Forces armées aux Antilles (FAA) constituent un dispositif interarmées de premier plan dans la Caraïbe. Basés en Martinique et Guadeloupe, près de 1 000 militaires garantissent la protection du territoire national. Leur présence dote la France d’importantes capacités opérationnelles, projetables sous court préavis, pour répondre à une crise sécuritaire ou mener des opérations d’assistance aux populations affectées par une catastrophe naturelle. La composante aéromaritime des FAA participe régulièrement aux missions relevant de l’action de l’Etat en mer, notamment la lutte contre les trafics illicites et la protection de l’environnement marin. Les FAA développent la coopération militaire avec leurs alliés et partenaires de la zone Caraïbe.

Au sein des forces de surface de la Marine nationale, la composante guerre des mines compte quatre bâtiments-bases de plongeurs démineurs (BBPD).

Ces unités d’appui aux plongeurs accueillent des détachements des trois groupes de plongeurs démineurs (GPD) basés sur les façades méditerranéenne, atlantique et normande. Durant le mois de juin, les quatre BBPD ont été déployés en opérations simultanément, en Méditerranée, mer Baltique et dans la zone Manche-Mer du Nord.

Basé à Cherbourg et déployé depuis mi-mai, leVulcain, avec à son bord un détachement du GPD Manche, a d’abord mené fin mai des opérations de déminage au large de Dieppe. La neutralisation de ces 83 munitions historiques représente 3,6 tonnes d’explosif.

L’équipage du BBPD a ensuite pris part à l’exercice OTAN BALTOPS 2023, aux côtés d’une cinquantaine d’unités de surface issues de 20 nations. Avec le chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire, le Vulcain a participé à des exercices de chasse aux mines. À l’aide de son robot sous-marin, le BBPD a ainsi pu relever les 40 mines d’exercice, confirmant l‘expertise et l’interopérabilité française dans le domaine de la guerre des mines.

Le Styx, bâtiment-base du GPD Atlantique, embarquant un détachement de plongeurs-démineurs munis de leur drône sous-marin (AUV), a quant à lui mené une mission de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM), en sécurisation et protection des approches territoriales françaises. Avant de rejoindre le CMT Sagittaire en Ecosse pour prendre part à l’exercice de guerre des mines SEA BREEZE aux côtés d’unités et de détachements de plongeurs-démineurs otaniens et de nations invitées.

Du 15 mai au 11 juin, l’Achéron a évolué en mer Méditerranée. Au Monténégro, les plongeurs démineurs du GPD Méditerranée ont poursuivi le travail mené par le CMT Lyre en mai dernier, en réalisant des plongées d’identification d’une épave qui pourrait être celle du sous-marin Monge, disparu durant la Seconde Guerre mondiale.

L’équipage de l’Achéron a ensuite retrouvé celui du Pluton au port de La Valette, à Malte. Leur escale a permis de se préparer à agir conjointement dans le cadre d’un task group BBPD avec leurs détachements de plongeurs démineurs et de fusiliers marins, en coopération avec les plongeurs maltais. Plusieurs activités ont ainsi été réalisées entre les deux pays, entre visite des BBPD, échanges sur le soutien médical d’une plongée et une plongée conjointe.

Le Pluton a ensuite opéré en soutien à la marine italienne dans le cadre de son opération de maîtrise des fonds marins, Fondali Securi. Aux côtés du chasseur de mines italien Gaeta, le Pluton a ainsi mené des opérations de surveillance sur la portion du pipeline trans-Adriatique qui transporte du gaz naturel entre l’Albanie et l’Italie, renforçant la coopération mutuelle entre nations alliées en termes de sécurisation des fonds marins. C’est enfin au large de la Corse que le Pluton a opéré, en intervenant au profit du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) dans le cadre de plongée d’expertises sur l’épave Sanguinaires C, datant du XVIème siècle.

Au sein des forces de surface de la Marine nationale, la composante guerre des mines compte quatre bâtiments-bases de plongeurs démineurs (BBPD).

Ces unités d’appui aux plongeurs accueillent des détachements des trois groupes de plongeurs démineurs (GPD) basés sur les façades méditerranéenne, atlantique et normande. Durant le mois de juin, les quatre BBPD ont été déployés en opérations simultanément, en Méditerranée, mer Baltique et dans la zone Manche-Mer du Nord.

Basé à Cherbourg et déployé depuis mi-mai, leVulcain, avec à son bord un détachement du GPD Manche, a d’abord mené fin mai des opérations de déminage au large de Dieppe. La neutralisation de ces 83 munitions historiques représente 3,6 tonnes d’explosif.

L’équipage du BBPD a ensuite pris part à l’exercice OTAN BALTOPS 2023, aux côtés d’une cinquantaine d’unités de surface issues de 20 nations. Avec le chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire, le Vulcain a participé à des exercices de chasse aux mines. À l’aide de son robot sous-marin, le BBPD a ainsi pu relever les 40 mines d’exercice, confirmant l‘expertise et l’interopérabilité française dans le domaine de la guerre des mines.

Le Styx, bâtiment-base du GPD Atlantique, embarquant un détachement de plongeurs-démineurs munis de leur drône sous-marin (AUV), a quant à lui mené une mission de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM), en sécurisation et protection des approches territoriales françaises. Avant de rejoindre le CMT Sagittaire en Ecosse pour prendre part à l’exercice de guerre des mines SEA BREEZE aux côtés d’unités et de détachements de plongeurs-démineurs otaniens et de nations invitées.

Du 15 mai au 11 juin, l’Achéron a évolué en mer Méditerranée. Au Monténégro, les plongeurs démineurs du GPD Méditerranée ont poursuivi le travail mené par le CMT Lyre en mai dernier, en réalisant des plongées d’identification d’une épave qui pourrait être celle du sous-marin Monge, disparu durant la Seconde Guerre mondiale.

L’équipage de l’Achéron a ensuite retrouvé celui du Pluton au port de La Valette, à Malte. Leur escale a permis de se préparer à agir conjointement dans le cadre d’un task group BBPD avec leurs détachements de plongeurs démineurs et de fusiliers marins, en coopération avec les plongeurs maltais. Plusieurs activités ont ainsi été réalisées entre les deux pays, entre visite des BBPD, échanges sur le soutien médical d’une plongée et une plongée conjointe.

Le Pluton a ensuite opéré en soutien à la marine italienne dans le cadre de son opération de maîtrise des fonds marins, Fondali Securi. Aux côtés du chasseur de mines italien Gaeta, le Pluton a ainsi mené des opérations de surveillance sur la portion du pipeline trans-Adriatique qui transporte du gaz naturel entre l’Albanie et l’Italie, renforçant la coopération mutuelle entre nations alliées en termes de sécurisation des fonds marins. C’est enfin au large de la Corse que le Pluton a opéré, en intervenant au profit du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) dans le cadre de plongée d’expertises sur l’épave Sanguinaires C, datant du XVIème siècle.

Au sein des forces de surface de la Marine nationale, la composante guerre des mines compte quatre bâtiments-bases de plongeurs démineurs (BBPD).

Ces unités d’appui aux plongeurs accueillent des détachements des trois groupes de plongeurs démineurs (GPD) basés sur les façades méditerranéenne, atlantique et normande. Durant le mois de juin, les quatre BBPD ont été déployés en opérations simultanément, en Méditerranée, mer Baltique et dans la zone Manche-Mer du Nord.

Basé à Cherbourg et déployé depuis mi-mai, leVulcain, avec à son bord un détachement du GPD Manche, a d’abord mené fin mai des opérations de déminage au large de Dieppe. La neutralisation de ces 83 munitions historiques représente 3,6 tonnes d’explosif.

L’équipage du BBPD a ensuite pris part à l’exercice OTAN BALTOPS 2023, aux côtés d’une cinquantaine d’unités de surface issues de 20 nations. Avec le chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire, le Vulcain a participé à des exercices de chasse aux mines. À l’aide de son robot sous-marin, le BBPD a ainsi pu relever les 40 mines d’exercice, confirmant l‘expertise et l’interopérabilité française dans le domaine de la guerre des mines.

Le Styx, bâtiment-base du GPD Atlantique, embarquant un détachement de plongeurs-démineurs munis de leur drône sous-marin (AUV), a quant à lui mené une mission de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM), en sécurisation et protection des approches territoriales françaises. Avant de rejoindre le CMT Sagittaire en Ecosse pour prendre part à l’exercice de guerre des mines SEA BREEZE aux côtés d’unités et de détachements de plongeurs-démineurs otaniens et de nations invitées.

Du 15 mai au 11 juin, l’Achéron a évolué en mer Méditerranée. Au Monténégro, les plongeurs démineurs du GPD Méditerranée ont poursuivi le travail mené par le CMT Lyre en mai dernier, en réalisant des plongées d’identification d’une épave qui pourrait être celle du sous-marin Monge, disparu durant la Seconde Guerre mondiale.

L’équipage de l’Achéron a ensuite retrouvé celui du Pluton au port de La Valette, à Malte. Leur escale a permis de se préparer à agir conjointement dans le cadre d’un task group BBPD avec leurs détachements de plongeurs démineurs et de fusiliers marins, en coopération avec les plongeurs maltais. Plusieurs activités ont ainsi été réalisées entre les deux pays, entre visite des BBPD, échanges sur le soutien médical d’une plongée et une plongée conjointe.

Le Pluton a ensuite opéré en soutien à la marine italienne dans le cadre de son opération de maîtrise des fonds marins, Fondali Securi. Aux côtés du chasseur de mines italien Gaeta, le Pluton a ainsi mené des opérations de surveillance sur la portion du pipeline trans-Adriatique qui transporte du gaz naturel entre l’Albanie et l’Italie, renforçant la coopération mutuelle entre nations alliées en termes de sécurisation des fonds marins. C’est enfin au large de la Corse que le Pluton a opéré, en intervenant au profit du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) dans le cadre de plongée d’expertises sur l’épave Sanguinaires C, datant du XVIème siècle.

Au sein des forces de surface de la Marine nationale, la composante guerre des mines compte quatre bâtiments-bases de plongeurs démineurs (BBPD).

Ces unités d’appui aux plongeurs accueillent des détachements des trois groupes de plongeurs démineurs (GPD) basés sur les façades méditerranéenne, atlantique et normande. Durant le mois de juin, les quatre BBPD ont été déployés en opérations simultanément, en Méditerranée, mer Baltique et dans la zone Manche-Mer du Nord.

Basé à Cherbourg et déployé depuis mi-mai, leVulcain, avec à son bord un détachement du GPD Manche, a d’abord mené fin mai des opérations de déminage au large de Dieppe. La neutralisation de ces 83 munitions historiques représente 3,6 tonnes d’explosif.

L’équipage du BBPD a ensuite pris part à l’exercice OTAN BALTOPS 2023, aux côtés d’une cinquantaine d’unités de surface issues de 20 nations. Avec le chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire, le Vulcain a participé à des exercices de chasse aux mines. À l’aide de son robot sous-marin, le BBPD a ainsi pu relever les 40 mines d’exercice, confirmant l‘expertise et l’interopérabilité française dans le domaine de la guerre des mines.

Le Styx, bâtiment-base du GPD Atlantique, embarquant un détachement de plongeurs-démineurs munis de leur drône sous-marin (AUV), a quant à lui mené une mission de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM), en sécurisation et protection des approches territoriales françaises. Avant de rejoindre le CMT Sagittaire en Ecosse pour prendre part à l’exercice de guerre des mines SEA BREEZE aux côtés d’unités et de détachements de plongeurs-démineurs otaniens et de nations invitées.

Du 15 mai au 11 juin, l’Achéron a évolué en mer Méditerranée. Au Monténégro, les plongeurs démineurs du GPD Méditerranée ont poursuivi le travail mené par le CMT Lyre en mai dernier, en réalisant des plongées d’identification d’une épave qui pourrait être celle du sous-marin Monge, disparu durant la Seconde Guerre mondiale.

L’équipage de l’Achéron a ensuite retrouvé celui du Pluton au port de La Valette, à Malte. Leur escale a permis de se préparer à agir conjointement dans le cadre d’un task group BBPD avec leurs détachements de plongeurs démineurs et de fusiliers marins, en coopération avec les plongeurs maltais. Plusieurs activités ont ainsi été réalisées entre les deux pays, entre visite des BBPD, échanges sur le soutien médical d’une plongée et une plongée conjointe.

Le Pluton a ensuite opéré en soutien à la marine italienne dans le cadre de son opération de maîtrise des fonds marins, Fondali Securi. Aux côtés du chasseur de mines italien Gaeta, le Pluton a ainsi mené des opérations de surveillance sur la portion du pipeline trans-Adriatique qui transporte du gaz naturel entre l’Albanie et l’Italie, renforçant la coopération mutuelle entre nations alliées en termes de sécurisation des fonds marins. C’est enfin au large de la Corse que le Pluton a opéré, en intervenant au profit du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) dans le cadre de plongée d’expertises sur l’épave Sanguinaires C, datant du XVIème siècle.

Au sein des forces de surface de la Marine nationale, la composante guerre des mines compte quatre bâtiments-bases de plongeurs démineurs (BBPD).

Ces unités d’appui aux plongeurs accueillent des détachements des trois groupes de plongeurs démineurs (GPD) basés sur les façades méditerranéenne, atlantique et normande. Durant le mois de juin, les quatre BBPD ont été déployés en opérations simultanément, en Méditerranée, mer Baltique et dans la zone Manche-Mer du Nord.

Basé à Cherbourg et déployé depuis mi-mai, leVulcain, avec à son bord un détachement du GPD Manche, a d’abord mené fin mai des opérations de déminage au large de Dieppe. La neutralisation de ces 83 munitions historiques représente 3,6 tonnes d’explosif.

L’équipage du BBPD a ensuite pris part à l’exercice OTAN BALTOPS 2023, aux côtés d’une cinquantaine d’unités de surface issues de 20 nations. Avec le chasseur de mines tripartite (CMT) Sagittaire, le Vulcain a participé à des exercices de chasse aux mines. À l’aide de son robot sous-marin, le BBPD a ainsi pu relever les 40 mines d’exercice, confirmant l‘expertise et l’interopérabilité française dans le domaine de la guerre des mines.

Le Styx, bâtiment-base du GPD Atlantique, embarquant un détachement de plongeurs-démineurs munis de leur drône sous-marin (AUV), a quant à lui mené une mission de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM), en sécurisation et protection des approches territoriales françaises. Avant de rejoindre le CMT Sagittaire en Ecosse pour prendre part à l’exercice de guerre des mines SEA BREEZE aux côtés d’unités et de détachements de plongeurs-démineurs otaniens et de nations invitées.

Du 15 mai au 11 juin, l’Achéron a évolué en mer Méditerranée. Au Monténégro, les plongeurs démineurs du GPD Méditerranée ont poursuivi le travail mené par le CMT Lyre en mai dernier, en réalisant des plongées d’identification d’une épave qui pourrait être celle du sous-marin Monge, disparu durant la Seconde Guerre mondiale.

L’équipage de l’Achéron a ensuite retrouvé celui du Pluton au port de La Valette, à Malte. Leur escale a permis de se préparer à agir conjointement dans le cadre d’un task group BBPD avec leurs détachements de plongeurs démineurs et de fusiliers marins, en coopération avec les plongeurs maltais. Plusieurs activités ont ainsi été réalisées entre les deux pays, entre visite des BBPD, échanges sur le soutien médical d’une plongée et une plongée conjointe.

Le Pluton a ensuite opéré en soutien à la marine italienne dans le cadre de son opération de maîtrise des fonds marins, Fondali Securi. Aux côtés du chasseur de mines italien Gaeta, le Pluton a ainsi mené des opérations de surveillance sur la portion du pipeline trans-Adriatique qui transporte du gaz naturel entre l’Albanie et l’Italie, renforçant la coopération mutuelle entre nations alliées en termes de sécurisation des fonds marins. C’est enfin au large de la Corse que le Pluton a opéré, en intervenant au profit du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) dans le cadre de plongée d’expertises sur l’épave Sanguinaires C, datant du XVIème siècle.