EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

publié le Mardi 25 janvier 2022

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

© EMA

Les instructeurs « actions spéciales mer » des Éléments français au Sénégal (EFS), renforcés par des spécialistes « embarcations rapides commandos » du commando Ponchardier de Lorient ont partagé leurs connaissances durant 6 semaines dans le domaine du contre-terrorisme maritime avec l’unité d’intervention de la gendarmerie nationale de la Côte d’Ivoire.

De jour comme de nuit, les pilotes ivoiriens se sont entrainés sur leurs embarcations rapides de type UFAST. Leurs objectifs étaient de transporter des équipes et de réaliser des actions de vive force sur un navire en transit. Le détachement a formé des spécialistes ivoiriens en contre-terrorisme et libération d’otages en milieu maritime. La reprise de contrôle d’un navire, tenu par des terroristes armés, et les techniques de franchissement ont également été enseignées.

De nombreuses séances d’investigation sur bâtiment à quai ont été menées pour confronter les stagiaires à la menace qui sévit dans le golfe de Guinée. En fin de formation, les pilotes et le groupe « contreterrorisme » ont pu se rejoindre pour mettre en pratique leurs savoir-faire sur des cibles de différentes tailles, en transit au large d’Abidjan.

Équipés d’embarcations performantes et adaptées à leurs missions, les gendarmes formés sont dorénavant en mesure de contribuer à la sécurisation maritime de leur zone d’action.  

Pôle de coopération régionale pour l’Afrique de l’Ouest, les EFS réalisent des missions de formation et d’entrainement au profit des armées locales, à la demande des pays partenaires. Ces formations s’inscrivent dans le cadre d’une véritable stratégie visant à consolider le niveau opérationnel des unités. L’objectif est de pouvoir, ensemble, générer des armées d’emploi capables de produire des effets opérationnels significatifs et durables face aux crises sécuritaires qui touchent la sous-région.

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

 

 

Source : Etat-major des armées


EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

publié le Mardi 25 janvier 2022

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

© EMA

Les instructeurs « actions spéciales mer » des Éléments français au Sénégal (EFS), renforcés par des spécialistes « embarcations rapides commandos » du commando Ponchardier de Lorient ont partagé leurs connaissances durant 6 semaines dans le domaine du contre-terrorisme maritime avec l’unité d’intervention de la gendarmerie nationale de la Côte d’Ivoire.

De jour comme de nuit, les pilotes ivoiriens se sont entrainés sur leurs embarcations rapides de type UFAST. Leurs objectifs étaient de transporter des équipes et de réaliser des actions de vive force sur un navire en transit. Le détachement a formé des spécialistes ivoiriens en contre-terrorisme et libération d’otages en milieu maritime. La reprise de contrôle d’un navire, tenu par des terroristes armés, et les techniques de franchissement ont également été enseignées.

De nombreuses séances d’investigation sur bâtiment à quai ont été menées pour confronter les stagiaires à la menace qui sévit dans le golfe de Guinée. En fin de formation, les pilotes et le groupe « contreterrorisme » ont pu se rejoindre pour mettre en pratique leurs savoir-faire sur des cibles de différentes tailles, en transit au large d’Abidjan.

Équipés d’embarcations performantes et adaptées à leurs missions, les gendarmes formés sont dorénavant en mesure de contribuer à la sécurisation maritime de leur zone d’action.  

Pôle de coopération régionale pour l’Afrique de l’Ouest, les EFS réalisent des missions de formation et d’entrainement au profit des armées locales, à la demande des pays partenaires. Ces formations s’inscrivent dans le cadre d’une véritable stratégie visant à consolider le niveau opérationnel des unités. L’objectif est de pouvoir, ensemble, générer des armées d’emploi capables de produire des effets opérationnels significatifs et durables face aux crises sécuritaires qui touchent la sous-région.

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

 

 

Source : Etat-major des armées


EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

publié le Mardi 25 janvier 2022

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

© EMA

Les instructeurs « actions spéciales mer » des Éléments français au Sénégal (EFS), renforcés par des spécialistes « embarcations rapides commandos » du commando Ponchardier de Lorient ont partagé leurs connaissances durant 6 semaines dans le domaine du contre-terrorisme maritime avec l’unité d’intervention de la gendarmerie nationale de la Côte d’Ivoire.

De jour comme de nuit, les pilotes ivoiriens se sont entrainés sur leurs embarcations rapides de type UFAST. Leurs objectifs étaient de transporter des équipes et de réaliser des actions de vive force sur un navire en transit. Le détachement a formé des spécialistes ivoiriens en contre-terrorisme et libération d’otages en milieu maritime. La reprise de contrôle d’un navire, tenu par des terroristes armés, et les techniques de franchissement ont également été enseignées.

De nombreuses séances d’investigation sur bâtiment à quai ont été menées pour confronter les stagiaires à la menace qui sévit dans le golfe de Guinée. En fin de formation, les pilotes et le groupe « contreterrorisme » ont pu se rejoindre pour mettre en pratique leurs savoir-faire sur des cibles de différentes tailles, en transit au large d’Abidjan.

Équipés d’embarcations performantes et adaptées à leurs missions, les gendarmes formés sont dorénavant en mesure de contribuer à la sécurisation maritime de leur zone d’action.  

Pôle de coopération régionale pour l’Afrique de l’Ouest, les EFS réalisent des missions de formation et d’entrainement au profit des armées locales, à la demande des pays partenaires. Ces formations s’inscrivent dans le cadre d’une véritable stratégie visant à consolider le niveau opérationnel des unités. L’objectif est de pouvoir, ensemble, générer des armées d’emploi capables de produire des effets opérationnels significatifs et durables face aux crises sécuritaires qui touchent la sous-région.

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

 

 

Source : Etat-major des armées


EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

publié le Mardi 25 janvier 2022

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

© EMA

Les instructeurs « actions spéciales mer » des Éléments français au Sénégal (EFS), renforcés par des spécialistes « embarcations rapides commandos » du commando Ponchardier de Lorient ont partagé leurs connaissances durant 6 semaines dans le domaine du contre-terrorisme maritime avec l’unité d’intervention de la gendarmerie nationale de la Côte d’Ivoire.

De jour comme de nuit, les pilotes ivoiriens se sont entrainés sur leurs embarcations rapides de type UFAST. Leurs objectifs étaient de transporter des équipes et de réaliser des actions de vive force sur un navire en transit. Le détachement a formé des spécialistes ivoiriens en contre-terrorisme et libération d’otages en milieu maritime. La reprise de contrôle d’un navire, tenu par des terroristes armés, et les techniques de franchissement ont également été enseignées.

De nombreuses séances d’investigation sur bâtiment à quai ont été menées pour confronter les stagiaires à la menace qui sévit dans le golfe de Guinée. En fin de formation, les pilotes et le groupe « contreterrorisme » ont pu se rejoindre pour mettre en pratique leurs savoir-faire sur des cibles de différentes tailles, en transit au large d’Abidjan.

Équipés d’embarcations performantes et adaptées à leurs missions, les gendarmes formés sont dorénavant en mesure de contribuer à la sécurisation maritime de leur zone d’action.  

Pôle de coopération régionale pour l’Afrique de l’Ouest, les EFS réalisent des missions de formation et d’entrainement au profit des armées locales, à la demande des pays partenaires. Ces formations s’inscrivent dans le cadre d’une véritable stratégie visant à consolider le niveau opérationnel des unités. L’objectif est de pouvoir, ensemble, générer des armées d’emploi capables de produire des effets opérationnels significatifs et durables face aux crises sécuritaires qui touchent la sous-région.

EFS – Formation des gendarmes de Côte d’Ivoire au contre-terrorisme maritime

 

 

Source : Etat-major des armées


EFS - Le Falcon 50 Marine basé à Dakar offre son concours aux autorités sénégalaises

publié le Vendredi 01 octobre 2021

EFS - Le Falcon 50 Marine basé à Dakar offre son concours aux autorités sénégalaises

EFS - Le Falcon 50 Marine basé à Dakar offre son concours aux autorités sénégalaises

© EMA

Le 21 septembre 2021, le Falcon 50 de la Marine nationale basé à Dakar a mené une patrouille de mission de surveillance des pêches et de la pollution (SAGNE) dans les approches maritimes sénégalaises.

Les marins du ciel de la Flottille 24F ont mené une mission de surveillance des pêches au profit des autorités sénégalaises avec à leur bord un inspecteur de la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP). Au cours de ce vol, 16 navires ont ainsi pu être contrôlés.

Dans le cadre de cette coopération franco-sénégalaise, les patrouilles diligentées par le commandement en chef de l’Atlantique (CECLANT) contribuent également à la préservation des ressources halieutiques des pays d’Afrique de l’Ouest. La Marine nationale intervient au titre du volet prévention des 5 fonctions stratégiques, sur lesquelles se fonde la stratégie de défense et de sécurité nationale de la France.  

Soutenu par les Éléments français au Sénégal (EFS), l’équipage de la Flottille 24F de la Marine nationale est déployé en permanence à l’aéroport international Blaise Diagne dans l’espace aéronautique militaire

Dans le cadre des accords de coopération franco-sénégalais, un avion de surveillance maritime Falcon 50M est déployé sur l'aéroport international Blaise Diane à Dakar depuis le 10 décembre 2013, pour assurer des missions de surveillance des pêches et de sauvetage en mer au large du Sénégal. Placé sous le contrôle opérationnel de CECLANT, le F50 M se déploie jusque dans le golfe de Guinée pour surveiller également les trafics illicites dans le cadre du processus de sécurité maritime de Yaoundé.

 

 

 

 

 

Source : Etat-major des armées


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

marine 2030

© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale

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