Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

publié le Vendredi 07 juillet 2023

 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

© Marine nationale

Déployé du 25 avril au 3 juillet 2023, le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme a contribué à la surveillance maritime en Atlantique Nord et Baltique en coopération avec les marines riveraines et partenaires, tout en renforçant la connaissance française de la zone.

Après 68 jours de déploiement et près de deux mois d’intégration à la force navale multinationale de l’OTAN en Atlantique Nord puis en Baltique, la Somme comptabilise un total remarquable de 50 ravitaillements à la mer dont 38 avec des unités alliées. 

Son déploiement a été marqué début mai par l’exercice OTAN de lutte anti sous-marine DYNAMIC MANGOOSE en Atlantique Nord auquel elle a participé en tant qu’unique ravitailleur de la force ; avant de se détacher temporairement du groupe pour mener des opérations nationales au large des côtes bretonnes.

La Somme a ensuite rejoint les forces de l’Alliance en mer Baltique début juin pour participer à l’exercice d’ampleur BALTOPS 23 aux côtés de 6000 marins de 19 nations OTAN et une nation partenaire, la Suède, répartis sur 50 bâtiments de surface, 45 aéronefs et deux sous-marins. A cette occasion elle a retrouvé pour des ravitaillements à la mer la FREMM Auvergne et le PHM Commandant Blaison également engagés dans BALTOPS 23 et de nombreuses unités alliées, se démarquant par sa réactivité et sa capacité à ravitailler de jour comme de nuit, plusieurs bâtiments à la fois et dans des conditions de mer souvent dégradées.

Des relâches opérationnelles à Reykjavik (Islande), Swinoujscie (Pologne), Kiel (Allemagne) et Stockholm (Suède), ont été l’occasion de riches échanges entre le bâtiment et nos partenaires du Nord.

Le BCR Somme en garantissant l’endurance des bâtiments de combats à la mer a démontré l’importance de cette capacité au sein d’une force navale et l’expertise française dans le domaine. Son professionnalisme et sa réactivité ont été grandement appréciés et salués par nos partenaires. 

 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme
 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme
 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

Source : Marine nationale


Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

publié le Vendredi 07 juillet 2023

 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

© Marine nationale

Déployé du 25 avril au 3 juillet 2023, le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme a contribué à la surveillance maritime en Atlantique Nord et Baltique en coopération avec les marines riveraines et partenaires, tout en renforçant la connaissance française de la zone.

Après 68 jours de déploiement et près de deux mois d’intégration à la force navale multinationale de l’OTAN en Atlantique Nord puis en Baltique, la Somme comptabilise un total remarquable de 50 ravitaillements à la mer dont 38 avec des unités alliées. 

Son déploiement a été marqué début mai par l’exercice OTAN de lutte anti sous-marine DYNAMIC MANGOOSE en Atlantique Nord auquel elle a participé en tant qu’unique ravitailleur de la force ; avant de se détacher temporairement du groupe pour mener des opérations nationales au large des côtes bretonnes.

La Somme a ensuite rejoint les forces de l’Alliance en mer Baltique début juin pour participer à l’exercice d’ampleur BALTOPS 23 aux côtés de 6000 marins de 19 nations OTAN et une nation partenaire, la Suède, répartis sur 50 bâtiments de surface, 45 aéronefs et deux sous-marins. A cette occasion elle a retrouvé pour des ravitaillements à la mer la FREMM Auvergne et le PHM Commandant Blaison également engagés dans BALTOPS 23 et de nombreuses unités alliées, se démarquant par sa réactivité et sa capacité à ravitailler de jour comme de nuit, plusieurs bâtiments à la fois et dans des conditions de mer souvent dégradées.

Des relâches opérationnelles à Reykjavik (Islande), Swinoujscie (Pologne), Kiel (Allemagne) et Stockholm (Suède), ont été l’occasion de riches échanges entre le bâtiment et nos partenaires du Nord.

Le BCR Somme en garantissant l’endurance des bâtiments de combats à la mer a démontré l’importance de cette capacité au sein d’une force navale et l’expertise française dans le domaine. Son professionnalisme et sa réactivité ont été grandement appréciés et salués par nos partenaires. 

 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme
 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme
 Fin de mission en Atlantique du Nord et Baltique pour la Somme

Source : Marine nationale


Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

publié le Mercredi 05 juillet 2023

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

© EMA

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Source : Etat-major des armées


Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

publié le Mercredi 05 juillet 2023

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

© EMA

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Source : Etat-major des armées


Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

publié le Mercredi 05 juillet 2023

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

© EMA

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Source : Etat-major des armées


Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

publié le Mercredi 05 juillet 2023

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

© EMA

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest
 Pacifique – La Lorraine participe à un Tri Carrier OPS dans le Pacifique Nord-Ouest

Source : Etat-major des armées


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale

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