FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

publié le Mercredi 17 mai 2023

 FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

© EMA

Depuis le 8 avril, la Frégate multi-missions à capacité de défense aérienne renforcée (FREMM DA) Lorraine est engagée dans un déploiement de longue durée qui doit la conduire prochainement dans le Pacifique. Elle a mis à profit son escale dans l’État indien du Kerala, pour conduire une série d’exercice avec le destroyer de défense aérienne Kolkata. Bâtiment puissamment armé (164 mètres de long, équipé de missiles supersoniques BrahMos et de torpilles lourdes) a rallié Cochin pour l’occasion.

Les deux bâtiments ont réalisé des présentations de ravitaillement à la mer, avant de conduire un exercice de défense aérienne puis un exercice de lutte anti sous-marine sur cible émergée. L’excellent niveau de cet entraînement commun a démontré une nouvelle fois la qualité du lien bilatéral que la France entretient et développe avec son partenaire stratégique en Océan Indien. L’interopérabilité entre les marines françaises et indiennes avait déjà été accrue cette année avec l’exercice Varuna, en janvier 2023, avec le groupe aéronaval avait été engagé, puis l’exercice LAPEROUSE, en avril 2023, avec le groupe Jeanne d’Arc.

Pour la Lorraine, ces exercices navals dans les deux domaines de lutte s’inscrivent dans les objectifs du déploiement de longue durée dont la dernière étape consiste en la vérification des caractéristiques militaires avant l’admission au service actif. Il s’agit d’éprouver et de tester les performances de ses systèmes dans des environnements opérationnels variés et exigeants. Dans ce contexte, interagir avec des unités modernes et aux capacités équivalentes représente une réelle plus-value opérationnelle et technique.

Ces entrainements ont permis d’approfondir la connaissance mutuelle entre les deux marines, entretenue depuis de nombreuses années à travers les exercices franco-indiens. Les différentes interactions démontrent la volonté de l’Inde et de la France de conforter leur partenariat stratégique de premier plan en zone indopacifique.

 FFEAU – Exercice de défense aérienne et de lutte sous la mer avec la marine indienne

Source : Etat-major des armées


Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

publié le Mardi 16 mai 2023

 Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

© Marine nationale

Le 9 mai 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a accosté dans le port de Suva aux sons croisés du Bagad de Lann-Bihoué et du Republic of Fiji M F (RFMF) band. Les deux jours de relâche opérationnelle dans la capitale de la République des Fidji furent une occasion de sceller la coopération de la Marine nationale avec les nations insulaires du Pacifique. La frégate La Fayette accostait quant à elle à Nuku’alofa, aux îles Tonga le 10 mai également pour une pause de quelques jours.

L’accostage à Suva pour le Dixmude fut l’occasion de convier la presse fidjienne à découvrir l’outil PHA, ses marins et les officiers élèves. Une conférence de presse donnée par le capitaine de vaisseau Emmanuel Mocard, commandant du groupe Jeanne d’Arc, et Monsieur François-Xavier Léger, l’ambassadeur de France à Fidji, Kiribati, Nauru, Tonga et Tuvalu s’est ensuite tenue sur le pont d’envol. Le premier ministre des Fidji, Monsieur Sitiveni Rabuka, fut l’invité d’honneur d’un déjeuner donné à bord. Le soir même, le Dixmude conviait les personnalités publiques, politiques et économiques de la zone à son bord pour une réception donnée à l’occasion du jour de l’Europe, en présence de Monsieur Sujiro Seam, ambassadeur de l’Union Européenne dans le Pacifique.

L’escale de Suva vient parachever la coopération et l’interopérabilité des marines française et fidjienne après la participation du patrouilleur fidjien Savaneca à l’exercice CROIX DU SUD 2023 aux côtés du groupe Jeanne d’Arc 2023 et l’embarquement d’une compagnie d’infanterie fidjienne à bord du Dixmude.

La relâche du La Fayette au Tonga est intervenue un peu plus d’un an après un tsunami destructeur causé par un volcan sous-marin en janvier 2022, après lequel la France avait porté assistance au Royaume. L’équipage a rendu honneur à monsieur Samiu Kuita Vaipulu, représentant du Premier ministre des Tonga, ainsi que monsieur Mahe Tupouniua, chargé des relations internationales. Le commandant du La Fayette s’est rendu au quartier général des forces armées tongiennes, auprès de leur Chef d’état-major. Une réception à bord de la frégate a permis des échanges des autorités politiques du pays et des représentants de l’ambassade des Etats-Unis, de Chine, du Japon, ainsi que le haut-commissaire britannique. Les marins ont également organisé une visite du bord pour 70 collégiens tongiens. Après l’appareillage le 12 mai, les marins du La Fayette ont conduit plusieurs exercices avec un patrouilleur tongien.

Source : Marine nationale


Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

publié le Mardi 16 mai 2023

 Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

© Marine nationale

Le 9 mai 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a accosté dans le port de Suva aux sons croisés du Bagad de Lann-Bihoué et du Republic of Fiji M F (RFMF) band. Les deux jours de relâche opérationnelle dans la capitale de la République des Fidji furent une occasion de sceller la coopération de la Marine nationale avec les nations insulaires du Pacifique. La frégate La Fayette accostait quant à elle à Nuku’alofa, aux îles Tonga le 10 mai également pour une pause de quelques jours.

L’accostage à Suva pour le Dixmude fut l’occasion de convier la presse fidjienne à découvrir l’outil PHA, ses marins et les officiers élèves. Une conférence de presse donnée par le capitaine de vaisseau Emmanuel Mocard, commandant du groupe Jeanne d’Arc, et Monsieur François-Xavier Léger, l’ambassadeur de France à Fidji, Kiribati, Nauru, Tonga et Tuvalu s’est ensuite tenue sur le pont d’envol. Le premier ministre des Fidji, Monsieur Sitiveni Rabuka, fut l’invité d’honneur d’un déjeuner donné à bord. Le soir même, le Dixmude conviait les personnalités publiques, politiques et économiques de la zone à son bord pour une réception donnée à l’occasion du jour de l’Europe, en présence de Monsieur Sujiro Seam, ambassadeur de l’Union Européenne dans le Pacifique.

L’escale de Suva vient parachever la coopération et l’interopérabilité des marines française et fidjienne après la participation du patrouilleur fidjien Savaneca à l’exercice CROIX DU SUD 2023 aux côtés du groupe Jeanne d’Arc 2023 et l’embarquement d’une compagnie d’infanterie fidjienne à bord du Dixmude.

La relâche du La Fayette au Tonga est intervenue un peu plus d’un an après un tsunami destructeur causé par un volcan sous-marin en janvier 2022, après lequel la France avait porté assistance au Royaume. L’équipage a rendu honneur à monsieur Samiu Kuita Vaipulu, représentant du Premier ministre des Tonga, ainsi que monsieur Mahe Tupouniua, chargé des relations internationales. Le commandant du La Fayette s’est rendu au quartier général des forces armées tongiennes, auprès de leur Chef d’état-major. Une réception à bord de la frégate a permis des échanges des autorités politiques du pays et des représentants de l’ambassade des Etats-Unis, de Chine, du Japon, ainsi que le haut-commissaire britannique. Les marins ont également organisé une visite du bord pour 70 collégiens tongiens. Après l’appareillage le 12 mai, les marins du La Fayette ont conduit plusieurs exercices avec un patrouilleur tongien.

Source : Marine nationale


Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

publié le Mardi 16 mai 2023

 Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

Mission JDA 23 : Passage au Pacific Islands Countries

© Marine nationale

Le 9 mai 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a accosté dans le port de Suva aux sons croisés du Bagad de Lann-Bihoué et du Republic of Fiji M F (RFMF) band. Les deux jours de relâche opérationnelle dans la capitale de la République des Fidji furent une occasion de sceller la coopération de la Marine nationale avec les nations insulaires du Pacifique. La frégate La Fayette accostait quant à elle à Nuku’alofa, aux îles Tonga le 10 mai également pour une pause de quelques jours.

L’accostage à Suva pour le Dixmude fut l’occasion de convier la presse fidjienne à découvrir l’outil PHA, ses marins et les officiers élèves. Une conférence de presse donnée par le capitaine de vaisseau Emmanuel Mocard, commandant du groupe Jeanne d’Arc, et Monsieur François-Xavier Léger, l’ambassadeur de France à Fidji, Kiribati, Nauru, Tonga et Tuvalu s’est ensuite tenue sur le pont d’envol. Le premier ministre des Fidji, Monsieur Sitiveni Rabuka, fut l’invité d’honneur d’un déjeuner donné à bord. Le soir même, le Dixmude conviait les personnalités publiques, politiques et économiques de la zone à son bord pour une réception donnée à l’occasion du jour de l’Europe, en présence de Monsieur Sujiro Seam, ambassadeur de l’Union Européenne dans le Pacifique.

L’escale de Suva vient parachever la coopération et l’interopérabilité des marines française et fidjienne après la participation du patrouilleur fidjien Savaneca à l’exercice CROIX DU SUD 2023 aux côtés du groupe Jeanne d’Arc 2023 et l’embarquement d’une compagnie d’infanterie fidjienne à bord du Dixmude.

La relâche du La Fayette au Tonga est intervenue un peu plus d’un an après un tsunami destructeur causé par un volcan sous-marin en janvier 2022, après lequel la France avait porté assistance au Royaume. L’équipage a rendu honneur à monsieur Samiu Kuita Vaipulu, représentant du Premier ministre des Tonga, ainsi que monsieur Mahe Tupouniua, chargé des relations internationales. Le commandant du La Fayette s’est rendu au quartier général des forces armées tongiennes, auprès de leur Chef d’état-major. Une réception à bord de la frégate a permis des échanges des autorités politiques du pays et des représentants de l’ambassade des Etats-Unis, de Chine, du Japon, ainsi que le haut-commissaire britannique. Les marins ont également organisé une visite du bord pour 70 collégiens tongiens. Après l’appareillage le 12 mai, les marins du La Fayette ont conduit plusieurs exercices avec un patrouilleur tongien.

Source : Marine nationale


La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

publié le Vendredi 12 mai 2023

 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

© Marine nationale

Après avoir participé du 24 avril au 6 mai 2023 à l’exercice CROIX DU SUD orchestré par les forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), le groupe Jeanne d’Arc se dirige désormais vers les Pacific Islands Countries (PIC). Ce court transit qui mènera le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude au Fidji et la frégate La Fayette au Tonga a permis aux deux bâtiments de mener de nombreux entraînements avec les officiers élèves (OE) du groupe école d’application des officiers de Marine (GEAOM).

Le rythme ne faiblit pas pour les officiers-élèves et les détachements composant le groupe école Jeanne d’Arc. Durant les trois jours de navigation entre Nouméa et l’escale de Suva aux îles Fidji et de Nuku’alofa aux Tonga, les exercices se sont enchaînés, souvent conjointement, permettant de poursuivre la formation des OE et d’entretenir les compétences opérationnelles du bord et des détachements. Profitant de la présence d’une « troisième passerelle », le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) D’Entrecasteaux, l’EAOM a ainsi conduit un exercice d’évolution tactique (EVOLEX) entre les trois bâtiments. Les OE à bord du Dixmude et le La Fayette se sont aussi entraînés aux manœuvres de présentation pour ravitaillement à la mer (PRERAM) ; deux exercices permettant aux OE d’affiner leurs savoir-faire en matière de navigation et de manœuvre.

Le Dixmude a également organisé au profit de l’école embarquée, un VISITEX, déroulant toute la séquence d’une visite de navire suspect, depuis les interrogations du navire à sa visite, en passant par des tirs de police faisant suite au refus d’obtempérer du navire fictivement interrogé.

De leurs côtés, les détachements de la Flottille 35F et du 3e régiment d’hélicoptères de combat (RHC), ont réalisé des manœuvres de touch and go avec l’hélicoptère Dauphin et les deux hélicoptères Gazelle sur le pont d’envol du Dixmude.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.

 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga
 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga
 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

Source : Marine nationale


La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

publié le Vendredi 12 mai 2023

 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

© Marine nationale

Après avoir participé du 24 avril au 6 mai 2023 à l’exercice CROIX DU SUD orchestré par les forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), le groupe Jeanne d’Arc se dirige désormais vers les Pacific Islands Countries (PIC). Ce court transit qui mènera le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude au Fidji et la frégate La Fayette au Tonga a permis aux deux bâtiments de mener de nombreux entraînements avec les officiers élèves (OE) du groupe école d’application des officiers de Marine (GEAOM).

Le rythme ne faiblit pas pour les officiers-élèves et les détachements composant le groupe école Jeanne d’Arc. Durant les trois jours de navigation entre Nouméa et l’escale de Suva aux îles Fidji et de Nuku’alofa aux Tonga, les exercices se sont enchaînés, souvent conjointement, permettant de poursuivre la formation des OE et d’entretenir les compétences opérationnelles du bord et des détachements. Profitant de la présence d’une « troisième passerelle », le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) D’Entrecasteaux, l’EAOM a ainsi conduit un exercice d’évolution tactique (EVOLEX) entre les trois bâtiments. Les OE à bord du Dixmude et le La Fayette se sont aussi entraînés aux manœuvres de présentation pour ravitaillement à la mer (PRERAM) ; deux exercices permettant aux OE d’affiner leurs savoir-faire en matière de navigation et de manœuvre.

Le Dixmude a également organisé au profit de l’école embarquée, un VISITEX, déroulant toute la séquence d’une visite de navire suspect, depuis les interrogations du navire à sa visite, en passant par des tirs de police faisant suite au refus d’obtempérer du navire fictivement interrogé.

De leurs côtés, les détachements de la Flottille 35F et du 3e régiment d’hélicoptères de combat (RHC), ont réalisé des manœuvres de touch and go avec l’hélicoptère Dauphin et les deux hélicoptères Gazelle sur le pont d’envol du Dixmude.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.

 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga
 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga
 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

Source : Marine nationale


La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

publié le Vendredi 12 mai 2023

 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

© Marine nationale

Après avoir participé du 24 avril au 6 mai 2023 à l’exercice CROIX DU SUD orchestré par les forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), le groupe Jeanne d’Arc se dirige désormais vers les Pacific Islands Countries (PIC). Ce court transit qui mènera le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude au Fidji et la frégate La Fayette au Tonga a permis aux deux bâtiments de mener de nombreux entraînements avec les officiers élèves (OE) du groupe école d’application des officiers de Marine (GEAOM).

Le rythme ne faiblit pas pour les officiers-élèves et les détachements composant le groupe école Jeanne d’Arc. Durant les trois jours de navigation entre Nouméa et l’escale de Suva aux îles Fidji et de Nuku’alofa aux Tonga, les exercices se sont enchaînés, souvent conjointement, permettant de poursuivre la formation des OE et d’entretenir les compétences opérationnelles du bord et des détachements. Profitant de la présence d’une « troisième passerelle », le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) D’Entrecasteaux, l’EAOM a ainsi conduit un exercice d’évolution tactique (EVOLEX) entre les trois bâtiments. Les OE à bord du Dixmude et le La Fayette se sont aussi entraînés aux manœuvres de présentation pour ravitaillement à la mer (PRERAM) ; deux exercices permettant aux OE d’affiner leurs savoir-faire en matière de navigation et de manœuvre.

Le Dixmude a également organisé au profit de l’école embarquée, un VISITEX, déroulant toute la séquence d’une visite de navire suspect, depuis les interrogations du navire à sa visite, en passant par des tirs de police faisant suite au refus d’obtempérer du navire fictivement interrogé.

De leurs côtés, les détachements de la Flottille 35F et du 3e régiment d’hélicoptères de combat (RHC), ont réalisé des manœuvres de touch and go avec l’hélicoptère Dauphin et les deux hélicoptères Gazelle sur le pont d’envol du Dixmude.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.

 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga
 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga
 La mission Jeanne d’Arc 2023 en route vers les Fidji et les Tonga

Source : Marine nationale


Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

publié le Jeudi 11 mai 2023

 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

© Marine nationale

Jeudi 11 mai 2023, le patrouilleur de 400 tonnes (P400) La Glorieuse, basé à Nouméa, a été retiré du service actif (RSA), après 36 ans de carrière opérationnelle dans le Pacifique. Ce RSA marque la fin du programme des P400 mais aussi le renouvellement des moyens de la Marine nationale dans les outre-mer, avec la récente arrivée du patrouilleur outre-mer (POM) Auguste Bénébig en Nouvelle-Calédonie.

Placé sous le contrôle opérationnel du commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (COMSUP FANC) ou de l’amiral commandant la zone maritime océan Pacifique (ALPACI), le P400 a ainsi opéré de nombreuses patrouilles dans les archipels de Nouvelle-Calédonie ainsi que dans d’autres zones du Pacifique, remplissant des missions de souveraineté, de protection de la zone économique exclusive (ZEE) et d’action de l’État en mer.

De février à mars 2023, La Glorieuse a réalisé sa dernière mission, en prenant part à l’opération de police des pêches RAI BALANG. D’avril à mai, elle a ensuite participé à l’exercice interarmées et multinational CROIX DU SUD 23 d’assistance humanitaire et de secours aux populations après une catastrophe naturelle.

La dernière sortie à la mer de La Glorieuse a été organisée dimanche 7 mai, en présence des anciens commandants du bâtiment. Ces anciens pachas ont ainsi représenté les centaines de marins qui ont constitué les équipages successifs du P400, qui aura parcouru 667 460 nautiques, soit plus de 30 fois le tour de la Terre, pendant 2 900 jours de mer et réalisé 309 escales dans 23 pays différents.

Le lendemain, lundi 8 mai, La Glorieuse a ouvert ses portes au public, permettant ainsi à plus de 600 visiteurs locaux, pour lesquels ce bâtiment incarnait la continuité de l’État et renforçait le lien Armées-nation avec les territoires ultra-marins, de lui faire ses adieux.

Le 10 mai elle a enfin reçu la visite du vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN), alors en inspection générale sur les unités de la FAN basées en Nouvelle-Calédonie.

Après son RSA, La Glorieuse sera désarmée tandis qu’en parallèle l’Auguste Bénébig poursuit ses essais en mer en vue de sa livraison et de sa future admission au service actif.

 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence
 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence
 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

Source : Marine nationale


Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

publié le Jeudi 11 mai 2023

 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

© Marine nationale

Jeudi 11 mai 2023, le patrouilleur de 400 tonnes (P400) La Glorieuse, basé à Nouméa, a été retiré du service actif (RSA), après 36 ans de carrière opérationnelle dans le Pacifique. Ce RSA marque la fin du programme des P400 mais aussi le renouvellement des moyens de la Marine nationale dans les outre-mer, avec la récente arrivée du patrouilleur outre-mer (POM) Auguste Bénébig en Nouvelle-Calédonie.

Placé sous le contrôle opérationnel du commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (COMSUP FANC) ou de l’amiral commandant la zone maritime océan Pacifique (ALPACI), le P400 a ainsi opéré de nombreuses patrouilles dans les archipels de Nouvelle-Calédonie ainsi que dans d’autres zones du Pacifique, remplissant des missions de souveraineté, de protection de la zone économique exclusive (ZEE) et d’action de l’État en mer.

De février à mars 2023, La Glorieuse a réalisé sa dernière mission, en prenant part à l’opération de police des pêches RAI BALANG. D’avril à mai, elle a ensuite participé à l’exercice interarmées et multinational CROIX DU SUD 23 d’assistance humanitaire et de secours aux populations après une catastrophe naturelle.

La dernière sortie à la mer de La Glorieuse a été organisée dimanche 7 mai, en présence des anciens commandants du bâtiment. Ces anciens pachas ont ainsi représenté les centaines de marins qui ont constitué les équipages successifs du P400, qui aura parcouru 667 460 nautiques, soit plus de 30 fois le tour de la Terre, pendant 2 900 jours de mer et réalisé 309 escales dans 23 pays différents.

Le lendemain, lundi 8 mai, La Glorieuse a ouvert ses portes au public, permettant ainsi à plus de 600 visiteurs locaux, pour lesquels ce bâtiment incarnait la continuité de l’État et renforçait le lien Armées-nation avec les territoires ultra-marins, de lui faire ses adieux.

Le 10 mai elle a enfin reçu la visite du vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN), alors en inspection générale sur les unités de la FAN basées en Nouvelle-Calédonie.

Après son RSA, La Glorieuse sera désarmée tandis qu’en parallèle l’Auguste Bénébig poursuit ses essais en mer en vue de sa livraison et de sa future admission au service actif.

 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence
 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence
 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

Source : Marine nationale


Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

publié le Jeudi 11 mai 2023

 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

© Marine nationale

Jeudi 11 mai 2023, le patrouilleur de 400 tonnes (P400) La Glorieuse, basé à Nouméa, a été retiré du service actif (RSA), après 36 ans de carrière opérationnelle dans le Pacifique. Ce RSA marque la fin du programme des P400 mais aussi le renouvellement des moyens de la Marine nationale dans les outre-mer, avec la récente arrivée du patrouilleur outre-mer (POM) Auguste Bénébig en Nouvelle-Calédonie.

Placé sous le contrôle opérationnel du commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (COMSUP FANC) ou de l’amiral commandant la zone maritime océan Pacifique (ALPACI), le P400 a ainsi opéré de nombreuses patrouilles dans les archipels de Nouvelle-Calédonie ainsi que dans d’autres zones du Pacifique, remplissant des missions de souveraineté, de protection de la zone économique exclusive (ZEE) et d’action de l’État en mer.

De février à mars 2023, La Glorieuse a réalisé sa dernière mission, en prenant part à l’opération de police des pêches RAI BALANG. D’avril à mai, elle a ensuite participé à l’exercice interarmées et multinational CROIX DU SUD 23 d’assistance humanitaire et de secours aux populations après une catastrophe naturelle.

La dernière sortie à la mer de La Glorieuse a été organisée dimanche 7 mai, en présence des anciens commandants du bâtiment. Ces anciens pachas ont ainsi représenté les centaines de marins qui ont constitué les équipages successifs du P400, qui aura parcouru 667 460 nautiques, soit plus de 30 fois le tour de la Terre, pendant 2 900 jours de mer et réalisé 309 escales dans 23 pays différents.

Le lendemain, lundi 8 mai, La Glorieuse a ouvert ses portes au public, permettant ainsi à plus de 600 visiteurs locaux, pour lesquels ce bâtiment incarnait la continuité de l’État et renforçait le lien Armées-nation avec les territoires ultra-marins, de lui faire ses adieux.

Le 10 mai elle a enfin reçu la visite du vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN), alors en inspection générale sur les unités de la FAN basées en Nouvelle-Calédonie.

Après son RSA, La Glorieuse sera désarmée tandis qu’en parallèle l’Auguste Bénébig poursuit ses essais en mer en vue de sa livraison et de sa future admission au service actif.

 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence
 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence
 Après 36 ans d’opérations, le P400 La Glorieuse tire sa révérence

Source : Marine nationale

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