FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

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© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

© Marine nationale

Le 15 mars dernier, l’avion Falcon 50 M projeté à Dakar et son équipage ont effectué un vol de surveillance des pêches et lutte contre les pollutions (SAGNE), en présence d’un inspecteur des pêches sénégalais.

Ces missions permettent d’allier les capacités de surveillance de l’avion et l’expertise de l’inspecteur sur la zone de patrouille. Le contrôle visuel des navires en action de pêche rend leur identification possible et permet l’observation d’éventuelles infractions. Ce partenariat entre la Marine Nationale et la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP) basée à Dakar, joue un rôle important dans la protection des ressources halieutiques de la région.

Les missions d’entrainement au profit de l’équipage, peuvent également être valorisées lorsqu’une situation anormale est détectée. En effet, le 8 mars, le Falcon 50M alors en vol d’entrainement détecte une pollution d’hydrocarbure à l’arrière d’un bâtiment de pêche reportée ensuite aux autorités sénégalaises. Ces procédures démontrent les relations efficaces entre la France et le Sénégal dans le cadre de la surveillance maritime.

Déployés en permanence sur l’aéroport international de Blaise Diagne à Dakar, l’avion Falcon 50 de la Marine nationale et son équipage assurent, dans le cadre d’un accord de coopération, la tenue de l’alerte SAR (Search And Rescue) dans la zone de responsabilité sénégalaise. Les marins de la flottille 24F de Lann Bihoué participent également dans le cadre de ce déploiement à des missions de surveillance des pêches.

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Source : Marine nationale


Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

© Marine nationale

Le 15 mars dernier, l’avion Falcon 50 M projeté à Dakar et son équipage ont effectué un vol de surveillance des pêches et lutte contre les pollutions (SAGNE), en présence d’un inspecteur des pêches sénégalais.

Ces missions permettent d’allier les capacités de surveillance de l’avion et l’expertise de l’inspecteur sur la zone de patrouille. Le contrôle visuel des navires en action de pêche rend leur identification possible et permet l’observation d’éventuelles infractions. Ce partenariat entre la Marine Nationale et la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP) basée à Dakar, joue un rôle important dans la protection des ressources halieutiques de la région.

Les missions d’entrainement au profit de l’équipage, peuvent également être valorisées lorsqu’une situation anormale est détectée. En effet, le 8 mars, le Falcon 50M alors en vol d’entrainement détecte une pollution d’hydrocarbure à l’arrière d’un bâtiment de pêche reportée ensuite aux autorités sénégalaises. Ces procédures démontrent les relations efficaces entre la France et le Sénégal dans le cadre de la surveillance maritime.

Déployés en permanence sur l’aéroport international de Blaise Diagne à Dakar, l’avion Falcon 50 de la Marine nationale et son équipage assurent, dans le cadre d’un accord de coopération, la tenue de l’alerte SAR (Search And Rescue) dans la zone de responsabilité sénégalaise. Les marins de la flottille 24F de Lann Bihoué participent également dans le cadre de ce déploiement à des missions de surveillance des pêches.

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Source : Marine nationale


Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

© Marine nationale

Le 15 mars dernier, l’avion Falcon 50 M projeté à Dakar et son équipage ont effectué un vol de surveillance des pêches et lutte contre les pollutions (SAGNE), en présence d’un inspecteur des pêches sénégalais.

Ces missions permettent d’allier les capacités de surveillance de l’avion et l’expertise de l’inspecteur sur la zone de patrouille. Le contrôle visuel des navires en action de pêche rend leur identification possible et permet l’observation d’éventuelles infractions. Ce partenariat entre la Marine Nationale et la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP) basée à Dakar, joue un rôle important dans la protection des ressources halieutiques de la région.

Les missions d’entrainement au profit de l’équipage, peuvent également être valorisées lorsqu’une situation anormale est détectée. En effet, le 8 mars, le Falcon 50M alors en vol d’entrainement détecte une pollution d’hydrocarbure à l’arrière d’un bâtiment de pêche reportée ensuite aux autorités sénégalaises. Ces procédures démontrent les relations efficaces entre la France et le Sénégal dans le cadre de la surveillance maritime.

Déployés en permanence sur l’aéroport international de Blaise Diagne à Dakar, l’avion Falcon 50 de la Marine nationale et son équipage assurent, dans le cadre d’un accord de coopération, la tenue de l’alerte SAR (Search And Rescue) dans la zone de responsabilité sénégalaise. Les marins de la flottille 24F de Lann Bihoué participent également dans le cadre de ce déploiement à des missions de surveillance des pêches.

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Source : Marine nationale


Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

publié le Jeudi 23 mars 2023

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

© Marine nationale

Le 15 mars dernier, l’avion Falcon 50 M projeté à Dakar et son équipage ont effectué un vol de surveillance des pêches et lutte contre les pollutions (SAGNE), en présence d’un inspecteur des pêches sénégalais.

Ces missions permettent d’allier les capacités de surveillance de l’avion et l’expertise de l’inspecteur sur la zone de patrouille. Le contrôle visuel des navires en action de pêche rend leur identification possible et permet l’observation d’éventuelles infractions. Ce partenariat entre la Marine Nationale et la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP) basée à Dakar, joue un rôle important dans la protection des ressources halieutiques de la région.

Les missions d’entrainement au profit de l’équipage, peuvent également être valorisées lorsqu’une situation anormale est détectée. En effet, le 8 mars, le Falcon 50M alors en vol d’entrainement détecte une pollution d’hydrocarbure à l’arrière d’un bâtiment de pêche reportée ensuite aux autorités sénégalaises. Ces procédures démontrent les relations efficaces entre la France et le Sénégal dans le cadre de la surveillance maritime.

Déployés en permanence sur l’aéroport international de Blaise Diagne à Dakar, l’avion Falcon 50 de la Marine nationale et son équipage assurent, dans le cadre d’un accord de coopération, la tenue de l’alerte SAR (Search And Rescue) dans la zone de responsabilité sénégalaise. Les marins de la flottille 24F de Lann Bihoué participent également dans le cadre de ce déploiement à des missions de surveillance des pêches.

 Falcon 50 M projeté à Dakar : surveillance des pêches et lutte contre les pollutions en coopération avec le Sénégal

Source : Marine nationale


FAA – Interception d’un navire de pêche suspect par la FS Ventôse au large de la Guadeloupe

publié le Lundi 09 janvier 2023

 FAA – Interception d’un navire de pêche suspect par la FS Ventôse au large de la Guadeloupe

FAA – Interception d’un navire de pêche suspect par la FS Ventôse au large de la Guadeloupe

© EMA

Mi-décembre 2022, la Frégate de surveillance (FS) Ventôse a intercepté un navire de pêche suspect en haute mer, à l’ouest de la Guadeloupe. Le navire avait un comportement suspect et ne répondait pas aux tentatives de prise de contact radio avec le Ventôse.

À l’approche du bâtiment français, l’équipage du navire suspect a commencé à déverser sa cargaison par-dessus bord, dont une grande partie a coulé. L’équipe de visite de la FS Ventôse a ensuite pu déterminer, grâce aux documents présentés par l’équipage, que le navire, en provenance d’un pays sud-américain, contribuait à un réseau de trafics illicites transfrontaliers.

Cette opération de circonstance, menée par les Forces armées aux Antilles (FAA) a permis d’éviter que la cargaison de produits stupéfiants, estimée à plus d’une tonne, ne vienne alimenter le réseau de narcotrafic dans les Caraïbes, la France et l’Europe.

Cette action de lutte contre le narcotrafic vient en complément des opérations interministérielles planifiées. En 2022, les FAA ont ainsi réalisé 9 saisies de produits stupéfiants, soit plus de 5 tonnes.

Les armées françaises sont régulièrement engagées pour endiguer les flux illicites aux abords des territoires ultra-marins, en lien étroit avec les forces de sécurité intérieure. Elles contribuent ainsi à la lutte contre les trafics illégaux transfrontaliers et, in fine, à la protection des Français.

Les Forces armées aux Antilles constituent un dispositif interarmées de premier plan dans la Caraïbe. Basés en Martinique et Guadeloupe, près de 1 000 militaires garantissent la protection du territoire national et leur présence dote la France d’importantes capacités opérationnelles, projetables sous court préavis, pour répondre à une crise sécuritaire ou mener des opérations d’assistance aux populations affectées par une catastrophe naturelle en mer des Caraïbes. La composante aéromaritime des FAA participent régulièrement aux missions relevant de l’action de l’État en mer, notamment la lutte contre les trafics illicites et la protection de l’environnement marin. Les FAA développent la coopération militaire avec leurs alliés et partenaires de la zone Caraïbe.

Source : Etat-major des armées

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