Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

publié le Mercredi 15 février 2023

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

© Marine nationale

Le 10 février 2023, le capitaine de vaisseau Jérôme Colonna d’Istria, commandant l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA), a fait reconnaître le nouveau commandant du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren équipage bleu.

Le 4 janvier 2023, le SNA Suffren a achevé son premier déploiement opérationnel. L'équipage bleu du SNA a retrouvé Toulon après plus d'un mois passé au sein du groupe aéronaval. Déployé en Méditerranée, il a participé à la mission ANTARES, en contribuant à la connaissance de la zone. Grâce à ses capacités, complémentaires des autres unités déployées, le Suffren a contribué à l’anticipation des crises dans une zone d'intérêt stratégique, concourant ainsi à la capacité autonome de décision de la France et à la préparation des futures opérations de la Marine. Sous l’autorité de l’état-major de la Task force 473, le SNA Suffren a également validé sa capacité à conduire une frappe contre terre au missile de croisière naval (MdCN), coordonnée avec les autres unités du groupe, particulièrement les frégates multi-missions et Rafale Marine.

Admis au service actif en juin 2022, le SNA Suffren est le premier d’une série de six sous-marins qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030. Fortement automatisés, féminisables et disposant d’une autonomie de 70 jours, les SNA de type Suffren sont armés par un équipage de seulement 65 marins, malgré un tonnage deux fois plus important que celui des SNA Rubis qu’ils remplacent.

Le SNA Suffren reprend le même socle de missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures et élargies. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre, avec des Missiles de Croisière Naval, et d’une capacité à mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et son hangar de pont.

 Un nouveau commandant pour le SNA Suffren équipage bleu

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour Le Malin

publié le Vendredi 20 janvier 2023

 Passation de commandement pour Le Malin

Passation de commandement pour Le Malin

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le général de brigade Laurent Cluzel, commandant supérieur des forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (COMSUP FAZSOI), a fait reconnaître le nouveau commandant du patrouilleur Le Malin.

Au cours des dix-huit derniers mois, les 24 marins du patrouilleur Le Malin ont effectué de nombreux déploiements, dans la zone économique exclusive (ZEE) réunionnaise ainsi que dans le canal du Mozambique aux abords des îles Éparses, dans le cadre de mission de police des pêches, de lutte contre le narcotrafic ainsi que de coopération avec les gardes-côtes comoriens et les forces mauriciennes. Le Malin a également patrouillé jusqu’en Tanzanie, aux Seychelles ainsi qu’à Zanzibar et a effectué de nombreuses escales à Madagascar. Lors de leur dernière mission, en novembre 2022, l’équipage du Malin s’est rendu jusqu’en Afrique du Sud pour participer à l’exercice OXIDE 22, un exercice de coopération avec le patrouilleur sud-africain SAS King Sekhukhune I.

Servant à l’origine de navire de pêche civil, Le Malin est récupéré par la Marine nationale en 2007 où il devient un bâtiment-base de plongeurs démineurs. Il est transformé en patrouilleur en 2011, et notamment équipé de deux mitrailleuses 12,7mm et deux mitrailleuses 7,62mm afin d’effectuer des missions de souveraineté et d’action de l’État en mer dans la zone sud de l’océan Indien. D’une longueur de 50 mètres et d’une largeur de 10,7 mètres pour 1 300 tonnes, Le Malin est armé par un équipage de 24 marins. Son port-base est Port-des-Galets.

 Passation de commandement pour Le Malin
 Passation de commandement pour Le Malin

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour Le Malin

publié le Vendredi 20 janvier 2023

 Passation de commandement pour Le Malin

Passation de commandement pour Le Malin

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le général de brigade Laurent Cluzel, commandant supérieur des forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (COMSUP FAZSOI), a fait reconnaître le nouveau commandant du patrouilleur Le Malin.

Au cours des dix-huit derniers mois, les 24 marins du patrouilleur Le Malin ont effectué de nombreux déploiements, dans la zone économique exclusive (ZEE) réunionnaise ainsi que dans le canal du Mozambique aux abords des îles Éparses, dans le cadre de mission de police des pêches, de lutte contre le narcotrafic ainsi que de coopération avec les gardes-côtes comoriens et les forces mauriciennes. Le Malin a également patrouillé jusqu’en Tanzanie, aux Seychelles ainsi qu’à Zanzibar et a effectué de nombreuses escales à Madagascar. Lors de leur dernière mission, en novembre 2022, l’équipage du Malin s’est rendu jusqu’en Afrique du Sud pour participer à l’exercice OXIDE 22, un exercice de coopération avec le patrouilleur sud-africain SAS King Sekhukhune I.

Servant à l’origine de navire de pêche civil, Le Malin est récupéré par la Marine nationale en 2007 où il devient un bâtiment-base de plongeurs démineurs. Il est transformé en patrouilleur en 2011, et notamment équipé de deux mitrailleuses 12,7mm et deux mitrailleuses 7,62mm afin d’effectuer des missions de souveraineté et d’action de l’État en mer dans la zone sud de l’océan Indien. D’une longueur de 50 mètres et d’une largeur de 10,7 mètres pour 1 300 tonnes, Le Malin est armé par un équipage de 24 marins. Son port-base est Port-des-Galets.

 Passation de commandement pour Le Malin
 Passation de commandement pour Le Malin

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour Le Malin

publié le Vendredi 20 janvier 2023

 Passation de commandement pour Le Malin

Passation de commandement pour Le Malin

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le général de brigade Laurent Cluzel, commandant supérieur des forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (COMSUP FAZSOI), a fait reconnaître le nouveau commandant du patrouilleur Le Malin.

Au cours des dix-huit derniers mois, les 24 marins du patrouilleur Le Malin ont effectué de nombreux déploiements, dans la zone économique exclusive (ZEE) réunionnaise ainsi que dans le canal du Mozambique aux abords des îles Éparses, dans le cadre de mission de police des pêches, de lutte contre le narcotrafic ainsi que de coopération avec les gardes-côtes comoriens et les forces mauriciennes. Le Malin a également patrouillé jusqu’en Tanzanie, aux Seychelles ainsi qu’à Zanzibar et a effectué de nombreuses escales à Madagascar. Lors de leur dernière mission, en novembre 2022, l’équipage du Malin s’est rendu jusqu’en Afrique du Sud pour participer à l’exercice OXIDE 22, un exercice de coopération avec le patrouilleur sud-africain SAS King Sekhukhune I.

Servant à l’origine de navire de pêche civil, Le Malin est récupéré par la Marine nationale en 2007 où il devient un bâtiment-base de plongeurs démineurs. Il est transformé en patrouilleur en 2011, et notamment équipé de deux mitrailleuses 12,7mm et deux mitrailleuses 7,62mm afin d’effectuer des missions de souveraineté et d’action de l’État en mer dans la zone sud de l’océan Indien. D’une longueur de 50 mètres et d’une largeur de 10,7 mètres pour 1 300 tonnes, Le Malin est armé par un équipage de 24 marins. Son port-base est Port-des-Galets.

 Passation de commandement pour Le Malin
 Passation de commandement pour Le Malin

Source : Marine nationale


Passation de commandement pour Le Malin

publié le Vendredi 20 janvier 2023

 Passation de commandement pour Le Malin

Passation de commandement pour Le Malin

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le général de brigade Laurent Cluzel, commandant supérieur des forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (COMSUP FAZSOI), a fait reconnaître le nouveau commandant du patrouilleur Le Malin.

Au cours des dix-huit derniers mois, les 24 marins du patrouilleur Le Malin ont effectué de nombreux déploiements, dans la zone économique exclusive (ZEE) réunionnaise ainsi que dans le canal du Mozambique aux abords des îles Éparses, dans le cadre de mission de police des pêches, de lutte contre le narcotrafic ainsi que de coopération avec les gardes-côtes comoriens et les forces mauriciennes. Le Malin a également patrouillé jusqu’en Tanzanie, aux Seychelles ainsi qu’à Zanzibar et a effectué de nombreuses escales à Madagascar. Lors de leur dernière mission, en novembre 2022, l’équipage du Malin s’est rendu jusqu’en Afrique du Sud pour participer à l’exercice OXIDE 22, un exercice de coopération avec le patrouilleur sud-africain SAS King Sekhukhune I.

Servant à l’origine de navire de pêche civil, Le Malin est récupéré par la Marine nationale en 2007 où il devient un bâtiment-base de plongeurs démineurs. Il est transformé en patrouilleur en 2011, et notamment équipé de deux mitrailleuses 12,7mm et deux mitrailleuses 7,62mm afin d’effectuer des missions de souveraineté et d’action de l’État en mer dans la zone sud de l’océan Indien. D’une longueur de 50 mètres et d’une largeur de 10,7 mètres pour 1 300 tonnes, Le Malin est armé par un équipage de 24 marins. Son port-base est Port-des-Galets.

 Passation de commandement pour Le Malin
 Passation de commandement pour Le Malin

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

publié le Mardi 13 décembre 2022

 Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

© Marine nationale

Le 13 décembre 2022, le capitaine de vaisseau Pierre-Yves Grente, adjoint organique à Toulon de l’amiral commandant la Force d’action navale, a fait reconnaître le capitaine de frégate (CF) Aurélien de Gove comme commandant de l’équipage du patrouilleur de haute-mer (PHM) Commandant Birot, en remplacement du capitaine de corvette (CC) Sébastien Mathieu.

Le CC Sébastien Mathieu a pris le commandement du Birot le 5 janvier 2022. Depuis, l’activité du Commandant Birot a été particulièrement soutenue. De février à mai, il a été déployé dans le golfe de Guinée, dans le cadre de l’opération CORYMBE. Pendant ces trois mois, le Birot a apporté son soutien aux marines locales dans leur lutte contre la piraterie, la pêche et les trafics illicites notamment au travers de la formation de plus 150 marins étrangers, mais a également opéré une réassurance constante des intérêts français à plus de 3000 nautiques de la France métropolitaine.

En juin, le PHM a pris part à EXOCET, exercice majeur inter-organique et interallié de lutte antinavire. Entre juillet et septembre, le Commandant Birot a réalisé deux missions de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM) durant lesquelles il a notamment mené des actions de police de l’environnement dans les aires marines protégées des côtes françaises. À la fin du mois de septembre, le Birot est entré en arrêt technique pour plusieurs mois à Toulon, son port-base.

Le CF Aurélien de Gove est entré à l’École navale en 2005. À l’issue de sa campagne sur la Jeanne d’Arc, qu’il effectue en océan Indien, il choisit la spécialité de lutte sous la mer (LSM) au sein des forces de surface. Il rallie pour sa première affectation le chasseur de mines tripartite Capricorne. En 2010, il rejoint la frégate Tourville comme chef du service pont et participe en 2011 à la protection du porte-avions Charles de Gaulle dans le cadre de l’opération AGAPANTHE. Il est également déployé au large de la Libye durant l’opération HARMATTAN. Après avoir servi comme chef de service sur le patrouilleur de haute-mer Enseigne de vaisseau Jacoubet puis comme commandant en second du bâtiment-base de plongeurs démineurs Pluton, il prend, en 2013, le commandement du bâtiment remorqueur de sonar Antarès.

Breveté de l’école des systèmes de combat et armes navales (ESCAN) en 2015, il rejoint à Lorient la frégate multi-missions (FREMM) Languedoc afin de mener l’armement et la montée en puissance de l’équipage avant son ralliement de Toulon.

Chef de service « lutte sous la mer » (LSM) puis commandant adjoint équipage, il participe à de nombreuses opérations de sûreté en Atlantique et en Méditerranée ainsi qu’à l’opération HAMILTON à la suite de l’emploi d’armes chimiques en Syrie. Après deux ans en tant que directeur adjoint au groupe de transformation et de renfort de Toulon, où il participe à la mise en place des doubles équipages sur FREMM, il rallie en 2020 la division entraînement de l’état-major de la Force d’action navale en tant que chef de section LSM. Durant deux ans, il participe principalement à l’entraînement des FREMM, ayant la charge de huit stages sur ces navires aussi bien en tant qu’officier chargé du bâtiment que dans le domaine spécifique de la lutte anti-sous-marine. Il participe à l’élaboration et l’évaluation de l’exercice POLARIS en 2021 et a la charge de l’exercice avancée de lutte sous la mer SQUALE en juin 2022.

Après avoir rallié en tant que commandant en second la frégate de type La Fayette Surcouf avec laquelle il participe notamment à une mission AGENOR, il prend le commandement du PHM Commandant Birot.

 Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot
 Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

Source : Marine nationale


Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

publié le Mardi 13 décembre 2022

 Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

© Marine nationale

Le 13 décembre 2022, le capitaine de vaisseau Pierre-Yves Grente, adjoint organique à Toulon de l’amiral commandant la Force d’action navale, a fait reconnaître le capitaine de frégate (CF) Aurélien de Gove comme commandant de l’équipage du patrouilleur de haute-mer (PHM) Commandant Birot, en remplacement du capitaine de corvette (CC) Sébastien Mathieu.

Le CC Sébastien Mathieu a pris le commandement du Birot le 5 janvier 2022. Depuis, l’activité du Commandant Birot a été particulièrement soutenue. De février à mai, il a été déployé dans le golfe de Guinée, dans le cadre de l’opération CORYMBE. Pendant ces trois mois, le Birot a apporté son soutien aux marines locales dans leur lutte contre la piraterie, la pêche et les trafics illicites notamment au travers de la formation de plus 150 marins étrangers, mais a également opéré une réassurance constante des intérêts français à plus de 3000 nautiques de la France métropolitaine.

En juin, le PHM a pris part à EXOCET, exercice majeur inter-organique et interallié de lutte antinavire. Entre juillet et septembre, le Commandant Birot a réalisé deux missions de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM) durant lesquelles il a notamment mené des actions de police de l’environnement dans les aires marines protégées des côtes françaises. À la fin du mois de septembre, le Birot est entré en arrêt technique pour plusieurs mois à Toulon, son port-base.

Le CF Aurélien de Gove est entré à l’École navale en 2005. À l’issue de sa campagne sur la Jeanne d’Arc, qu’il effectue en océan Indien, il choisit la spécialité de lutte sous la mer (LSM) au sein des forces de surface. Il rallie pour sa première affectation le chasseur de mines tripartite Capricorne. En 2010, il rejoint la frégate Tourville comme chef du service pont et participe en 2011 à la protection du porte-avions Charles de Gaulle dans le cadre de l’opération AGAPANTHE. Il est également déployé au large de la Libye durant l’opération HARMATTAN. Après avoir servi comme chef de service sur le patrouilleur de haute-mer Enseigne de vaisseau Jacoubet puis comme commandant en second du bâtiment-base de plongeurs démineurs Pluton, il prend, en 2013, le commandement du bâtiment remorqueur de sonar Antarès.

Breveté de l’école des systèmes de combat et armes navales (ESCAN) en 2015, il rejoint à Lorient la frégate multi-missions (FREMM) Languedoc afin de mener l’armement et la montée en puissance de l’équipage avant son ralliement de Toulon.

Chef de service « lutte sous la mer » (LSM) puis commandant adjoint équipage, il participe à de nombreuses opérations de sûreté en Atlantique et en Méditerranée ainsi qu’à l’opération HAMILTON à la suite de l’emploi d’armes chimiques en Syrie. Après deux ans en tant que directeur adjoint au groupe de transformation et de renfort de Toulon, où il participe à la mise en place des doubles équipages sur FREMM, il rallie en 2020 la division entraînement de l’état-major de la Force d’action navale en tant que chef de section LSM. Durant deux ans, il participe principalement à l’entraînement des FREMM, ayant la charge de huit stages sur ces navires aussi bien en tant qu’officier chargé du bâtiment que dans le domaine spécifique de la lutte anti-sous-marine. Il participe à l’élaboration et l’évaluation de l’exercice POLARIS en 2021 et a la charge de l’exercice avancée de lutte sous la mer SQUALE en juin 2022.

Après avoir rallié en tant que commandant en second la frégate de type La Fayette Surcouf avec laquelle il participe notamment à une mission AGENOR, il prend le commandement du PHM Commandant Birot.

 Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot
 Un nouveau commandant pour le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot

Source : Marine nationale

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