Clemenceau 21 - Un déploiement opérationnel complexe et intense

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Clemenceau 21 - Un déploiement opérationnel complexe et intense

© L.Bernardin/MN - Autour du porte-avions Charles de Gaulle, de nombreux bâtiments ont intégré le groupe aéronaval durant le déploiement. Ici, la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul, la frégate multi-missions (FREMM) Provence, la frégate américaine USS Donald Cook, la frégate belge Léopold 1er, la frégate grecque Kanaris et la frégate italienne Margottini encadrent le porte-avions en mer Méditerranée le 28 février.
© L.Bernardin/MN - Autour du porte-avions Charles de Gaulle, de nombreux bâtiments ont intégré le groupe aéronaval durant le déploiement. Ici, la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul, la frégate multi-missions (FREMM) Provence, la frégate américaine USS Donald Cook, la frégate belge Léopold 1er, la frégate grecque Kanaris et la frégate italienne Margottini encadrent le porte-avions en mer Méditerranée le 28 février.
© L.Bernardin/MN - Passage du canal de Suez dans le sens aller pour le GAN. Ce transit de la mer Méditerranée vers la mer Rouge marque le début de la deuxième phase du déploiement. Après une période initiale de montée en puissance, le porte-avions et son escorte s’apprêtent à participer à l’opération Chammal, volet français de la coalition Inherent Resolve pour lutter contre le terrorisme islamiste au Levant.
© L.Bernardin/MN - Passage du canal de Suez dans le sens aller pour le GAN. Ce transit de la mer Méditerranée vers la mer Rouge marque le début de la deuxième phase du déploiement. Après une période initiale de montée en puissance, le porte-avions et son escorte s’apprêtent à participer à l’opération Chammal, volet français de la coalition Inherent Resolve pour lutter contre le terrorisme islamiste au Levant.
© 11F/MN - Durant les 50 jours de participation à l’opération Chammal, les aéronefs du groupe aérien embarqué (GAé) ont effectué 142 vols au-dessus du théâtre irako-syrien. Au cours de cette période, des Rafale Marine de la Flottille 11F ont réalisé un vol en formation avec des F-16 de l’armée de l’air irakienne.
© 11F/MN - Durant les 50 jours de participation à l’opération Chammal, les aéronefs du groupe aérien embarqué (GAé) ont effectué 142 vols au-dessus du théâtre irako-syrien. Au cours de cette période, des Rafale Marine de la Flottille 11F ont réalisé un vol en formation avec des F-16 de l’armée de l’air irakienne.
© L.Bernardin/MN - Au rythme de l’activité opérationnelle, les opérateurs de manutention déplacent les Rafale Marine du pont d’envol au hangar et inversement. Pour cela, ils disposent de deux ascenseurs. Dans le hangar, le moindre mètre carré est utilisé pour optimiser le rangement des avions de chasse embarqués.
© L.Bernardin/MN - Au rythme de l’activité opérationnelle, les opérateurs de manutention déplacent les Rafale Marine du pont d’envol au hangar et inversement. Pour cela, ils disposent de deux ascenseurs. Dans le hangar, le moindre mètre carré est utilisé pour optimiser le rangement des avions de chasse embarqués.
© J.Guiavarch/MN - 49 interactions avec 23 nations différentes. Voilà le bilan de Clemenceau 21 en matière de coopération. Les exercices les plus marquants auront été Varuna 21 avec l’Inde et son sous-marin d’attaque INS Khandari, Gaswex avec les États-Unis et le Japon, Ramsès 21 avec l’Égypte ainsi que les deux dual carrier operations avec les groupes aéronavals américain puis britannique. Pour la deuxième fois de son histoire, la France a également pris le commandement de la Task Force 50 américaine.
© J.Guiavarch/MN - 49 interactions avec 23 nations différentes. Voilà le bilan de Clemenceau 21 en matière de coopération. Les exercices les plus marquants auront été Varuna 21 avec l’Inde et son sous-marin d’attaque INS Khandari, Gaswex avec les États-Unis et le Japon, Ramsès 21 avec l’Égypte ainsi que les deux dual carrier operations avec les groupes aéronavals américain puis britannique. Pour la deuxième fois de son histoire, la France a également pris le commandement de la Task Force 50 américaine.
© L.Bernardin/MN - Fédérateur et agrégateur de puissances, le GAN aura servi de catalyseur aux échanges avec nos partenaires stratégiques. Le contre-amiral Marc Aussedat, commandant la TF 473, et le capitaine de vaisseau Guillaume Pinget, commandant du Charles de Gaulle, ont régulièrement accueilli à bord des autorités étrangères : chef d’état-major de l’armée chypriote, commandant du groupe aéronaval américain, commandant en chef des forces de défense d’Israël, etc.
© L.Bernardin/MN - Fédérateur et agrégateur de puissances, le GAN aura servi de catalyseur aux échanges avec nos partenaires stratégiques. Le contre-amiral Marc Aussedat, commandant la TF 473, et le capitaine de vaisseau Guillaume Pinget, commandant du Charles de Gaulle, ont régulièrement accueilli à bord des autorités étrangères : chef d’état-major de l’armée chypriote, commandant du groupe aéronaval américain, commandant en chef des forces de défense d’Israël, etc.
© L.Bernardin/MN - Des escales en bulle sanitaire. Les 1 750 marins du porte-avions Charles de Gaulle ont dû composer avec la pandémie lors des trois relâches opérationnelles de quelques jours à Abou Dabi (Émirats Arabes Unis), Manama (Bahreïn) et Limassol (Chypre). Au programme, des activités sportives et de loisirs sur les quais d’accostage : football, billard, pétanque, etc.
© L.Bernardin/MN - Des escales en bulle sanitaire. Les 1 750 marins du porte-avions Charles de Gaulle ont dû composer avec la pandémie lors des trois relâches opérationnelles de quelques jours à Abou Dabi (Émirats Arabes Unis), Manama (Bahreïn) et Limassol (Chypre). Au programme, des activités sportives et de loisirs sur les quais d’accostage : football, billard, pétanque, etc.
© R.Le Hénaff/MN - L’équivalent de 2,4 tonnes de courrier. C’est ce qu’ont reçu les marins du Charles de Gaulle le 3 mai, soit 159 sacs. Avec le concours du bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Var et du service administration du porte-avions, c’est environ un millier de lettres et colis, envoyés par les familles, qui ont pu être distribués dans tout le bord.
© R.Le Hénaff/MN - L’équivalent de 2,4 tonnes de courrier. C’est ce qu’ont reçu les marins du Charles de Gaulle le 3 mai, soit 159 sacs. Avec le concours du bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Var et du service administration du porte-avions, c’est environ un millier de lettres et colis, envoyés par les familles, qui ont pu être distribués dans tout le bord.
© J.Guiavarch/MN - Appontage après appontage, le matériel s’use. Pour réparer les pièces qui peuvent l’être à bord, les mécaniciens du porte-avions disposent d’ateliers. Ici, un mécanicien répare une cosse de brin d’arrêt.
© J.Guiavarch/MN - Appontage après appontage, le matériel s’use. Pour réparer les pièces qui peuvent l’être à bord, les mécaniciens du porte-avions disposent d’ateliers. Ici, un mécanicien répare une cosse de brin d’arrêt.
© J.Guiavarch/MN - L’exercice Gallic Strike a été le témoin d’un duel de géants en mer Méditerranée début juin. Quelques jours avant la fin de sa mission, le Charles de Gaulle a croisé le Queen Elizabeth qui entamait, de son côté, son premier déploiement opérationnel. Cet exercice conjoint, baptisé Gallic Strike, restera comme la première rencontre des groupes aéronavals français et britannique.
© J.Guiavarch/MN - L’exercice Gallic Strike a été le témoin d’un duel de géants en mer Méditerranée début juin. Quelques jours avant la fin de sa mission, le Charles de Gaulle a croisé le Queen Elizabeth qui entamait, de son côté, son premier déploiement opérationnel. Cet exercice conjoint, baptisé Gallic Strike, restera comme la première rencontre des groupes aéronavals français et britannique.
© A.Groyer - Après avoir parcouru près de 27 000 nautiques et passé 101 jours en mer, le porte-avions Charles de Gaulle est de retour à son port base de Toulon. « Je suis fier du bilan opérationnel de cette mission, a déclaré le contre-amiral Marc Aussedat. Bien différente des précédentes par la complexité sanitaire dans laquelle nous avons évolué, elle n’aurait pu être menée avec succès sans l’énergie, la détermination, la résilience et l’endurance de chacun des équipages qui composent le GAN. »
© A.Groyer - Après avoir parcouru près de 27 000 nautiques et passé 101 jours en mer, le porte-avions Charles de Gaulle est de retour à son port base de Toulon. « Je suis fier du bilan opérationnel de cette mission, a déclaré le contre-amiral Marc Aussedat. Bien différente des précédentes par la complexité sanitaire dans laquelle nous avons évolué, elle n’aurait pu être menée avec succès sans l’énergie, la détermination, la résilience et l’endurance de chacun des équipages qui composent le GAN. »