La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

publié le Jeudi 29 juin 2023

 La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

© Marine nationale

Le 23 juin 2023, la Flottille de lutte contre les mines (LCM) a réceptionné l’élévateur à bateaux et les remorques automotrices destinées à la manutention des drones de guerre des mines du programme SLAM-F (système de lutte anti-mines du futur).

Spécifiquement dessinés et construits par l’Etablissement du Service d’infrastructure de la Défense (ESID) de Brest dans le cadre du programme d’armement SLAM-F, l’élévateur à bateaux associé à une remorque automotrice permettra la manutention des drones de surface du système, les USV (unmanned surface vehicle). Plus que de simples engins de levage, ces équipements sont indispensables à la reconfiguration des drones entre chacune de leurs missions :  ils participent ainsi pleinement au continuum « terre – mer » et garantissent la capacité opérationnelle de l’unité.

La formation de cinq jours au profit des manœuvriers et mécaniciens de la Flottille s’est achevée en apothéose le 23 juin, avec le premier hissage de l’Artemis, prototype du drone de guerre des mines actuellement en évaluation opérationnelles par le Centre d’expertise des programmes navals (CEPN) et la Flottille LCM.

Une fois sa mission accomplie, l’USV rallie le port base sous la supervision du central opérations situé dans le bâtiment de commandement et de conduite. A proximité du quai, la supervision est transférée à un opérateur pour les manœuvres d’accostage au moyen d’une télécommande baptisée « HELM ». Le drone est sorti de l’eau par l’élévateur puis transféré vers le hangar à l’aide des remorques automotrices pour sa reconfiguration avant un nouvel appareillage.

Cette livraison marque une nouvelle étape concrète du programme, qui se prolongera avec la livraison des infrastructures et des drones de série dans les prochains mois.

 La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF
 La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

Source : Marine nationale


La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

publié le Jeudi 29 juin 2023

 La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

© Marine nationale

Le 23 juin 2023, la Flottille de lutte contre les mines (LCM) a réceptionné l’élévateur à bateaux et les remorques automotrices destinées à la manutention des drones de guerre des mines du programme SLAM-F (système de lutte anti-mines du futur).

Spécifiquement dessinés et construits par l’Etablissement du Service d’infrastructure de la Défense (ESID) de Brest dans le cadre du programme d’armement SLAM-F, l’élévateur à bateaux associé à une remorque automotrice permettra la manutention des drones de surface du système, les USV (unmanned surface vehicle). Plus que de simples engins de levage, ces équipements sont indispensables à la reconfiguration des drones entre chacune de leurs missions :  ils participent ainsi pleinement au continuum « terre – mer » et garantissent la capacité opérationnelle de l’unité.

La formation de cinq jours au profit des manœuvriers et mécaniciens de la Flottille s’est achevée en apothéose le 23 juin, avec le premier hissage de l’Artemis, prototype du drone de guerre des mines actuellement en évaluation opérationnelles par le Centre d’expertise des programmes navals (CEPN) et la Flottille LCM.

Une fois sa mission accomplie, l’USV rallie le port base sous la supervision du central opérations situé dans le bâtiment de commandement et de conduite. A proximité du quai, la supervision est transférée à un opérateur pour les manœuvres d’accostage au moyen d’une télécommande baptisée « HELM ». Le drone est sorti de l’eau par l’élévateur puis transféré vers le hangar à l’aide des remorques automotrices pour sa reconfiguration avant un nouvel appareillage.

Cette livraison marque une nouvelle étape concrète du programme, qui se prolongera avec la livraison des infrastructures et des drones de série dans les prochains mois.

 La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF
 La Flottille de lutte contre les mines réceptionne l’élévateur à bateaux dédié aux drones de surface du SLAMF

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Opération de sécurisation des approches maritimes

publié le Jeudi 29 juin 2023

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

Le 19 juin 2023, le commandant en chef pour l’Atlantique (CECLANT) a déclenché une opération de sécurisation des approches du port militaire de Brest. Ces opérations de lutte contre les mines ont pour objectif d’assurer, en un temps contraint, le transit des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) en mer d’Iroise et dans le goulet de Brest. Elles sont conduites régulièrement et de manière inopinée.

© Marine nationale

Elles permettent, grâce à un travail méticuleux des unités de guerre des mines, de soutenir la dissuasion nucléaire française – une mission dont la composante maritime est assurée depuis 1972 par la Marine nationale.

A cette occasion, l’ensemble des moyens de guerre des mines à disposition des façades Atlantique et de la Manche ont été mobilisés, à savoir : chasseurs de mines tripartites (CMT) Pégase, Croix du Sud et Andromède ; bâtiments remorqueurs de sonars (BRS) Aldébaran, Antarès et Altaïr ; éléments du groupe de plongeurs démineurs (GPD) Atlantique et Manche ; et enfin éléments du centre de préparation et d’analyse des opérations de guerre des mines (CPAOGM), le « data center » de la guerre des mines.

Ces unités étaient placées sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerres de mines, lui-même armé par des membres de l’état-major de guerre des mines de la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR).

Grâce à un engagement sans faille des équipages et une excellente disponibilité opérationnelle des unités, le travail a été accompli et a permis de confirmer la pertinence du concept français de lutte contre les mines.

Enfin, comme à chaque édition, cette opération a permis de mettre à jour la base de données des fonds marins brestois, permettant ainsi de maintenir la bonne connaissance de la zone et d’être en mesure de lutter efficacement contre toute menace de type mine.

Les missions de la force de guerre des mines sont les suivantes :

  • Garantir la sécurité de navigation des chenaux d’accès aux ports militaires français, où circulent notamment les SNLE à Brest et le porte-avions Charles de Gaulle à Toulon ;
  • Assurer le libre accès aux ports militaires et de commerce français et alliés ;
  • Neutraliser tout engin explosif à bord des bâtiments ;
  • Neutraliser tout engin explosif improvisé ou conventionnel en milieu maritime ;
  • Sécuriser les détroits et les routes maritimes.
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes
 Opération de sécurisation des approches maritimes

Source : Marine nationale


Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

publié le Lundi 26 juin 2023

Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

© Marine nationale

Du 19 au 22 juin 2023, le centre expert plongée humaine et intervention sous la mer (CEPHISMER) organise une plongée à saturation, baptisée NSRS 2023.1, dans son centre hyperbare (CH 500).

Ce type de plongée vise à consolider la procédure permettant d'évacuer en sécurité l’équipage d’un sous-marin grâce au sous-marin de sauvetage du NSRS (NATO Submarine Rescue System).

Pour les équipes du CEPHISMER, cette plongée permet de répondre à de multiples objectifs d’entraînement. Elles conduisent une table NSRS, c’est-à-dire la procédure de décompression permettant de ramener à la pression atmosphérique l’équipage et vont éprouver l’interruption temporaire de la procédure de décompression afin de faire rentrer dans l'enceinte hyperbare du personnel médical. Le personnel du service de santé des Armées, qui intervient dans le cadre d’une opération de sauvetage est également entraîné. C’est enfin la compétence du personnel du CEPHISMER à préparer et conduire une plongée à saturation qui est entretenue.

Les quatre plongeurs retenus pour cette plongée ont séjourné en pression durant 26 heures à 20 mètres de profondeur dans une atmosphère mêlant oxygène et azote. S’en est suivie une phase de décompression d’une durée de 40 heures pour retourner en surface, avec un arrêt à 11 mètres pour l’entraînement du corps médical.

Source : Marine nationale


Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

publié le Lundi 26 juin 2023

Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

© Marine nationale

Du 19 au 22 juin 2023, le centre expert plongée humaine et intervention sous la mer (CEPHISMER) organise une plongée à saturation, baptisée NSRS 2023.1, dans son centre hyperbare (CH 500).

Ce type de plongée vise à consolider la procédure permettant d'évacuer en sécurité l’équipage d’un sous-marin grâce au sous-marin de sauvetage du NSRS (NATO Submarine Rescue System).

Pour les équipes du CEPHISMER, cette plongée permet de répondre à de multiples objectifs d’entraînement. Elles conduisent une table NSRS, c’est-à-dire la procédure de décompression permettant de ramener à la pression atmosphérique l’équipage et vont éprouver l’interruption temporaire de la procédure de décompression afin de faire rentrer dans l'enceinte hyperbare du personnel médical. Le personnel du service de santé des Armées, qui intervient dans le cadre d’une opération de sauvetage est également entraîné. C’est enfin la compétence du personnel du CEPHISMER à préparer et conduire une plongée à saturation qui est entretenue.

Les quatre plongeurs retenus pour cette plongée ont séjourné en pression durant 26 heures à 20 mètres de profondeur dans une atmosphère mêlant oxygène et azote. S’en est suivie une phase de décompression d’une durée de 40 heures pour retourner en surface, avec un arrêt à 11 mètres pour l’entraînement du corps médical.

Source : Marine nationale


Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

publié le Lundi 26 juin 2023

Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

Plongée à saturation au CEPHISMER : entrainement au sauvetage d’un équipage de sous-marin en détresse

© Marine nationale

Du 19 au 22 juin 2023, le centre expert plongée humaine et intervention sous la mer (CEPHISMER) organise une plongée à saturation, baptisée NSRS 2023.1, dans son centre hyperbare (CH 500).

Ce type de plongée vise à consolider la procédure permettant d'évacuer en sécurité l’équipage d’un sous-marin grâce au sous-marin de sauvetage du NSRS (NATO Submarine Rescue System).

Pour les équipes du CEPHISMER, cette plongée permet de répondre à de multiples objectifs d’entraînement. Elles conduisent une table NSRS, c’est-à-dire la procédure de décompression permettant de ramener à la pression atmosphérique l’équipage et vont éprouver l’interruption temporaire de la procédure de décompression afin de faire rentrer dans l'enceinte hyperbare du personnel médical. Le personnel du service de santé des Armées, qui intervient dans le cadre d’une opération de sauvetage est également entraîné. C’est enfin la compétence du personnel du CEPHISMER à préparer et conduire une plongée à saturation qui est entretenue.

Les quatre plongeurs retenus pour cette plongée ont séjourné en pression durant 26 heures à 20 mètres de profondeur dans une atmosphère mêlant oxygène et azote. S’en est suivie une phase de décompression d’une durée de 40 heures pour retourner en surface, avec un arrêt à 11 mètres pour l’entraînement du corps médical.

Source : Marine nationale


Le Pluton et le GPD Méditerranée participent à l’opération Fundali securi en Adriatique

publié le Jeudi 22 juin 2023

 Le Pluton et le GPD Méditerranée participent à l’opération Fundali securi en Adriatique

Le Pluton et le GPD Méditerranée participent à l’opération Fundali securi en Adriatique

© Marine nationale

Du 13 au 15 juin 2023, le bâtiment base de plongeurs-démineurs (BBPD) Pluton et son détachement embarqué de plongeurs démineurs a participé à l’opération italienne Fundali securi en mer Adriatique aux côtés du chasseur de mines Gaeta.

L’opération Fondali securi a été créé en septembre 2022, quelques heures après l’annonce du sabotage des pipelines Nordstream pour renforcer la protection des artères stratégiques européennes.

Plusieurs échanges ont pu être conduits avec l’équipage du Gaeta. Visites conjointes des bâtiments, présentation des matériels et des procédures en vigueur. Enfin, deux plongées de coopération ont été conduites sur un pipeline. Cet échange s’est avéré riche en enseignements pour le détachement de plongeurs démineurs pour améliorer les procédures et évaluer la pertinence de ses moyens dans le cadre de la maîtrise des fonds marins, et plus particulièrement dans la sécurisation des pipelines.

Cette coopération fut également l’occasion de tester du matériel de recherche et d’identification tels que des ROV et AUV actuellement utilisés par le GPD Méditerranée. Dans le cadre des objectifs stratégiques de la Marine quant à la maîtrise des fonds marins, une coopération avec un allié européen de premier rang en Méditerranée est une riche opportunité.

 Le Pluton et le GPD Méditerranée participent à l’opération Fundali securi en Adriatique
 Le Pluton et le GPD Méditerranée participent à l’opération Fundali securi en Adriatique
 Le Pluton et le GPD Méditerranée participent à l’opération Fundali securi en Adriatique

Source : Marine nationale

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