PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

marine 2030

© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

marine 2030

© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


AU CŒUR DE LA DISSUASION OCÉANIQUE - 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

© Marine nationale

Le 28 janvier 1972, le SNLE Le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) français, appareille pour sa toute première patrouille de dissuasion. Quarante-six ans plus tard, en septembre 2018, Le Terrible rentre au port, achevant la 500e patrouille opérationnelle de la Force océanique stratégique (Fost). Depuis 1972, au moins un SNLE, dilué dans l’immensité des océans pour protéger les intérêts vitaux de notre pays, assure sans discontinuité la permanence à la mer de la dissuasion nucléaire, plaçant la France au rang des rares nations capables de maintenir une telle posture. 

Cette mission passe par une recherche de l’excellence dans tous les domaines : industriel, opérationnel, sans oublier la formation et le soutien du marin et de sa famille.

Source : Marine nationale


AU CŒUR DE LA DISSUASION OCÉANIQUE - 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

© Marine nationale

Le 28 janvier 1972, le SNLE Le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) français, appareille pour sa toute première patrouille de dissuasion. Quarante-six ans plus tard, en septembre 2018, Le Terrible rentre au port, achevant la 500e patrouille opérationnelle de la Force océanique stratégique (Fost). Depuis 1972, au moins un SNLE, dilué dans l’immensité des océans pour protéger les intérêts vitaux de notre pays, assure sans discontinuité la permanence à la mer de la dissuasion nucléaire, plaçant la France au rang des rares nations capables de maintenir une telle posture. 

Cette mission passe par une recherche de l’excellence dans tous les domaines : industriel, opérationnel, sans oublier la formation et le soutien du marin et de sa famille.

Source : Marine nationale


AU CŒUR DE LA DISSUASION OCÉANIQUE - 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

© Marine nationale

Le 28 janvier 1972, le SNLE Le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) français, appareille pour sa toute première patrouille de dissuasion. Quarante-six ans plus tard, en septembre 2018, Le Terrible rentre au port, achevant la 500e patrouille opérationnelle de la Force océanique stratégique (Fost). Depuis 1972, au moins un SNLE, dilué dans l’immensité des océans pour protéger les intérêts vitaux de notre pays, assure sans discontinuité la permanence à la mer de la dissuasion nucléaire, plaçant la France au rang des rares nations capables de maintenir une telle posture. 

Cette mission passe par une recherche de l’excellence dans tous les domaines : industriel, opérationnel, sans oublier la formation et le soutien du marin et de sa famille.

Source : Marine nationale


AU CŒUR DE LA DISSUASION OCÉANIQUE - 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

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© Marine nationale

Le 28 janvier 1972, le SNLE Le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) français, appareille pour sa toute première patrouille de dissuasion. Quarante-six ans plus tard, en septembre 2018, Le Terrible rentre au port, achevant la 500e patrouille opérationnelle de la Force océanique stratégique (Fost). Depuis 1972, au moins un SNLE, dilué dans l’immensité des océans pour protéger les intérêts vitaux de notre pays, assure sans discontinuité la permanence à la mer de la dissuasion nucléaire, plaçant la France au rang des rares nations capables de maintenir une telle posture. 

Cette mission passe par une recherche de l’excellence dans tous les domaines : industriel, opérationnel, sans oublier la formation et le soutien du marin et de sa famille.

Source : Marine nationale


AU CŒUR DE LA DISSUASION OCÉANIQUE - 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

sous-marin / 500E PATROUILLE D’UN SNLE

© Marine nationale

Le 28 janvier 1972, le SNLE Le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) français, appareille pour sa toute première patrouille de dissuasion. Quarante-six ans plus tard, en septembre 2018, Le Terrible rentre au port, achevant la 500e patrouille opérationnelle de la Force océanique stratégique (Fost). Depuis 1972, au moins un SNLE, dilué dans l’immensité des océans pour protéger les intérêts vitaux de notre pays, assure sans discontinuité la permanence à la mer de la dissuasion nucléaire, plaçant la France au rang des rares nations capables de maintenir une telle posture. 

Cette mission passe par une recherche de l’excellence dans tous les domaines : industriel, opérationnel, sans oublier la formation et le soutien du marin et de sa famille.

Source : Marine nationale

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