Arrivée du POM Auguste Bénébig à la base navale de Nouméa

publié le Vendredi 07 avril 2023

 Arrivée du POM Auguste Bénébig à la base navale de Nouméa

Arrivée du POM Auguste Bénébig à la base navale de Nouméa

© Marine nationale

Le patrouilleur outre-mer (POM) Auguste Bénébig a accosté lundi 3 avril 2023 à Nouméa, son nouveau port base, depuis lequel il poursuivra ses essais à la mer en vue de son admission prochaine au service actif (ASA).

Le POM a été intégré dans une belle parade nautique, accueilli au son des cornemuses et par un poste de bande composé des marins des forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC). Présent à bord, l’amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la Marine (CEMM), a été salué par 19 coups de canons depuis l’îlot Brun de la base navale. Le canon à eau du POM a répondu au salut.

La population calédonienne a pu observer la parade nautique depuis le Rocher à la Voile – où des marins commentaient le passage des différents bâtiments –, la digue du Cercle nautique calédonien ou la colline du Ouen Toro. Étaient présents sur le quai ou sur l’eau à bord de la vedette de liaison pour admirer le nouveau bâtiment la famille d’Auguste Bénébig, dont son frère et son petit-fils, qui arborait la médaille de l’ordre de la Libération, des réservistes citoyens et d’active, des autorités civiles, des anciens combattants, des stagiaires de la préparation militaire Marine ou encore des élèves des classes de défense.

Le CEMM a remis à deux parents une lettre de leur fils, un jeune marin calédonien affecté à bord du bâtiment ravitailleur de forces (BRF) Jacques Chevallier, récemment arrivé à Toulon. Ce geste relie ainsi l’arrivée de deux nouveaux bâtiments dans leurs ports bases respectifs.

Premier bâtiment d’une classe qui comptera six patrouilleurs, l’Auguste Bénébig viendra renforcer les moyens de la Marine nationale en Nouvelle-Calédonie. Bâtiment innovant, doté de capacités de surveillance augmentées grâce à la mise en œuvre du système de mini drone aérien embarqué de la Marine (SMDM), d’une autonomie renforcée et d’un rayon d’action doublé, le POM témoigne du renouvellement des moyens de la Marine pour assurer ses missions de souveraineté et de protection des intérêts nationaux dans les espaces maritimes ultra-marins du Pacifique.

Patrouilleur robuste et endurant pour assurer des missions longues et éloignées, le POM Auguste Bénébig a parcouru plus de 20 000 kilomètres depuis Brest en près de 3 mois de mer.

 Arrivée du POM Auguste Bénébig à la base navale de Nouméa
 Arrivée du POM Auguste Bénébig à la base navale de Nouméa

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

publié le Jeudi 30 mars 2023

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

© Marine nationale

Du 21 février au 20 mars, le patrouilleur P400 La Glorieuse a participé à l’opération de police des pêches RAI BALANG pour sa dernière mission avant son retrait du service actif.

Le patrouilleur P400 a effectué des missions de souveraineté dans la zone économique exclusive française alors qu’il ralliait Cairns en Australie. Dans ce cadre, il a mené plusieurs interactions avec la marine australienne. Le bâtiment a ensuite poursuivi sa mission vers la Papouasie Nouvelle-Guinée et a fait escale à Rabaul. À cette occasion, le ministre papouan néo-guinéen des pêches et l’ambassadeur de France, Guillaume Lemoine, ont échangé sur la lutte contre la pêche illégale, non réglementée et non déclarée.

Dans le même temps, deux marins de Papouasie Nouvelle-Guinée et un contrôleur des pêches de la National Fisheries Agency ont embarqué sur le P400 La Glorieuse.

Pour cette dernière mission, le patrouilleur a navigué 24 jours, consacrant 230 heures dans la zone de surveillance. Grâce à la coordination et aux échanges d’information avec un avion américain C130 des US Coast Gards, 21 navires de pêche ont été interrogés dans les différentes zones économiques des pays traversés ainsi qu’en haute mer.

Cette opération illustre la volonté de la France de garantir le respect du droit international et souligne son engagement dans la protection des intérêts nationaux dans la région. Enfin, RAI BALANG témoigne de l’action des armées françaises pour la protection des ressources de ses partenaires en Indopacifique, et ainsi, de l’étroite coopération entre la France et les nations du Pacifique.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC) permettent à la France de disposer d’une présence militaire permanente dans l’océan Pacifique Sud afin de protéger les intérêts français dans la région et d’entretenir les partenariats militaires de la France dans cette zone d’intérêt stratégique. Fortes de plus de 1 450 militaires, les FANC apportent un soutien régulier aux missions relevant de l’action de l’État en mer. Elles disposent de capacité d’intervention pour faire face à une crise sécuritaire ou climatique affectant la zone. Les FANC partagent régulièrement leur expertise dans le domaine de l’assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles ou de la sécurité maritime auprès de forces de sécurité et de défense des pays partenaires du Pacifique Sud.

 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse
 FANC – Dernière opération de police des pêches pour le patrouilleur La Glorieuse

Source : Marine nationale


Portrait du quartier-maître Goty, MOMACHINE

publié le Vendredi 24 février 2023

Portrait du quartier-maître Goty, MOMACHINE

Portrait du quartier-maître Goty, MOMACHINE

© Marine nationale

Né en Nouvelle-Calédonie, le quartier-maître Goty grandit sur l’île de Maré au large de la Grande Terre. Il fait ses études sur le « Caillou » et valide ainsi deux certificats d’aptitude professionnelle (CAP) : l’un en métallurgie et l’autre en commerce. À la suite de l’obtention de ses diplômes, il passe deux ans entre travail pour un commerce et vie en communauté sur son île natale.

Bien qu’une majorité des jeunes Calédoniens ayant suivi le chemin des armées s’oriente vers l’armée de Terre, le choix de la Marine nationale est pour lui tout naturel au vu du lien fort qu’il entretient avec la mer. Ayant envie de découvrir de nouveaux horizons, c’est en 2013, à l’âge de 23 ans qu’il s’engage dans la Marine pour travailler en cuisine dans le cadre d’un contrat d’emploi local de deux ans sur le patrouilleur La Moqueuse, aujourd’hui désarmé. Il renouvelle ce contrat et continue à travailler sur La Moqueuse à l’issue. Convaincu par le choix des armées, il s’engage à l’issue de ce deuxième contrat.

Afin d’exercer dans une spécialité qui soit plus en adéquation avec ses appétences, il part faire le cours de formation initiale en métropole pour devenir mécanicien. Il est d’abord affecté sur le porte-avions Charles de Gaulle où il s’occupe des installations liées à l’aviation avant de revenir en Nouvelle-Calédonie sur la frégate de surveillance (FS) Vendémiaire. À bord, au sein du service propulsion, il est en charge des installations mécaniques, notamment les moteurs de propulsion.

Dans le cadre de l’arrêt technique majeur (ATM) que le Vendémiaire réalise en Nouvelle-Zélande, le quartier-maître Goty et les autres marins de son service vont notamment suivre la révision intégrale de deux des quatre moteurs du bord. Ce temps d’ATM est aussi mis à profit pour effectuer la manutention des autres installations mécaniques.

La Marine a été pour le quartier-maître Goty l’opportunité de pouvoir découvrir de nouveaux horizons grâce aux différentes escales qu’il a pu faire durant ses affectations. Heureux dans sa spécialité, il attend maintenant avec impatience son départ au brevet d’aptitude technique mécanicien (BAT MECAN) pour lequel il a été récemment sélectionné.

Source : Marine nationale


Portrait du quartier-maître Goty, MOMACHINE

publié le Vendredi 24 février 2023

Portrait du quartier-maître Goty, MOMACHINE

Portrait du quartier-maître Goty, MOMACHINE

© Marine nationale

Né en Nouvelle-Calédonie, le quartier-maître Goty grandit sur l’île de Maré au large de la Grande Terre. Il fait ses études sur le « Caillou » et valide ainsi deux certificats d’aptitude professionnelle (CAP) : l’un en métallurgie et l’autre en commerce. À la suite de l’obtention de ses diplômes, il passe deux ans entre travail pour un commerce et vie en communauté sur son île natale.

Bien qu’une majorité des jeunes Calédoniens ayant suivi le chemin des armées s’oriente vers l’armée de Terre, le choix de la Marine nationale est pour lui tout naturel au vu du lien fort qu’il entretient avec la mer. Ayant envie de découvrir de nouveaux horizons, c’est en 2013, à l’âge de 23 ans qu’il s’engage dans la Marine pour travailler en cuisine dans le cadre d’un contrat d’emploi local de deux ans sur le patrouilleur La Moqueuse, aujourd’hui désarmé. Il renouvelle ce contrat et continue à travailler sur La Moqueuse à l’issue. Convaincu par le choix des armées, il s’engage à l’issue de ce deuxième contrat.

Afin d’exercer dans une spécialité qui soit plus en adéquation avec ses appétences, il part faire le cours de formation initiale en métropole pour devenir mécanicien. Il est d’abord affecté sur le porte-avions Charles de Gaulle où il s’occupe des installations liées à l’aviation avant de revenir en Nouvelle-Calédonie sur la frégate de surveillance (FS) Vendémiaire. À bord, au sein du service propulsion, il est en charge des installations mécaniques, notamment les moteurs de propulsion.

Dans le cadre de l’arrêt technique majeur (ATM) que le Vendémiaire réalise en Nouvelle-Zélande, le quartier-maître Goty et les autres marins de son service vont notamment suivre la révision intégrale de deux des quatre moteurs du bord. Ce temps d’ATM est aussi mis à profit pour effectuer la manutention des autres installations mécaniques.

La Marine a été pour le quartier-maître Goty l’opportunité de pouvoir découvrir de nouveaux horizons grâce aux différentes escales qu’il a pu faire durant ses affectations. Heureux dans sa spécialité, il attend maintenant avec impatience son départ au brevet d’aptitude technique mécanicien (BAT MECAN) pour lequel il a été récemment sélectionné.

Source : Marine nationale


Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

publié le Mercredi 18 janvier 2023

 Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le premier des six patrouilleurs outre-mer (POM), l’Auguste Bénébig, a pris la mer depuis Brest pour rejoindre son port-base de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, où il poursuivra ses essais avant d’être admis au service actif.

Les POM constituent une série de six navires modernes, de la classe Félix Éboué. Ils marquent le renouvellement des moyens positionnés dans nos outre-mer pour protéger nos concitoyens et nos espaces maritimes.

L’autonomie accrue du patrouilleur et ses équipements de pointe lui donnent la capacité d’agir loin et longtemps dans l’immensité des zones maritimes françaises en Indopacifique, au service de la souveraineté de la France. Dans la région, les missions du POM seront nombreuses, entre respect de la souveraineté française et protection des intérêts nationaux dans les zones économiques exclusives (ZEE) et leurs abords, lutte contre les trafics illicites et action de l’État en mer.

Pour rejoindre la Nouvelle-Calédonie, l'Auguste Bénébig traversera les océans Atlantique et Pacifique, franchissant à mi-mission le canal de Panama.

Bon vent et bonne mer à son équipage !

D’une longueur de 79,9 mètres et d’une largeur de 11,8 mètres pour 1 300 tonnes, l’Auguste Bénébig est armé par un équipage de 30 marins. Doté d’une propulsion hybride thermique/électrique, il est équipé d’un canon de 20mm téléopéré et d’un radar de surveillance. Un drone à voilure fixe (le système de mini-drone de la Marine – SMDM) est embarqué et intégré à bord dès l’armement, ce qui constitue une première pour un bâtiment de la Marine nationale.

 Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

Source : Marine nationale


Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

publié le Mercredi 18 janvier 2023

 Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le premier des six patrouilleurs outre-mer (POM), l’Auguste Bénébig, a pris la mer depuis Brest pour rejoindre son port-base de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, où il poursuivra ses essais avant d’être admis au service actif.

Les POM constituent une série de six navires modernes, de la classe Félix Éboué. Ils marquent le renouvellement des moyens positionnés dans nos outre-mer pour protéger nos concitoyens et nos espaces maritimes.

L’autonomie accrue du patrouilleur et ses équipements de pointe lui donnent la capacité d’agir loin et longtemps dans l’immensité des zones maritimes françaises en Indopacifique, au service de la souveraineté de la France. Dans la région, les missions du POM seront nombreuses, entre respect de la souveraineté française et protection des intérêts nationaux dans les zones économiques exclusives (ZEE) et leurs abords, lutte contre les trafics illicites et action de l’État en mer.

Pour rejoindre la Nouvelle-Calédonie, l'Auguste Bénébig traversera les océans Atlantique et Pacifique, franchissant à mi-mission le canal de Panama.

Bon vent et bonne mer à son équipage !

D’une longueur de 79,9 mètres et d’une largeur de 11,8 mètres pour 1 300 tonnes, l’Auguste Bénébig est armé par un équipage de 30 marins. Doté d’une propulsion hybride thermique/électrique, il est équipé d’un canon de 20mm téléopéré et d’un radar de surveillance. Un drone à voilure fixe (le système de mini-drone de la Marine – SMDM) est embarqué et intégré à bord dès l’armement, ce qui constitue une première pour un bâtiment de la Marine nationale.

 Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

Source : Marine nationale


Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

publié le Mercredi 18 janvier 2023

 Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

© Marine nationale

Le 17 janvier 2023, le premier des six patrouilleurs outre-mer (POM), l’Auguste Bénébig, a pris la mer depuis Brest pour rejoindre son port-base de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, où il poursuivra ses essais avant d’être admis au service actif.

Les POM constituent une série de six navires modernes, de la classe Félix Éboué. Ils marquent le renouvellement des moyens positionnés dans nos outre-mer pour protéger nos concitoyens et nos espaces maritimes.

L’autonomie accrue du patrouilleur et ses équipements de pointe lui donnent la capacité d’agir loin et longtemps dans l’immensité des zones maritimes françaises en Indopacifique, au service de la souveraineté de la France. Dans la région, les missions du POM seront nombreuses, entre respect de la souveraineté française et protection des intérêts nationaux dans les zones économiques exclusives (ZEE) et leurs abords, lutte contre les trafics illicites et action de l’État en mer.

Pour rejoindre la Nouvelle-Calédonie, l'Auguste Bénébig traversera les océans Atlantique et Pacifique, franchissant à mi-mission le canal de Panama.

Bon vent et bonne mer à son équipage !

D’une longueur de 79,9 mètres et d’une largeur de 11,8 mètres pour 1 300 tonnes, l’Auguste Bénébig est armé par un équipage de 30 marins. Doté d’une propulsion hybride thermique/électrique, il est équipé d’un canon de 20mm téléopéré et d’un radar de surveillance. Un drone à voilure fixe (le système de mini-drone de la Marine – SMDM) est embarqué et intégré à bord dès l’armement, ce qui constitue une première pour un bâtiment de la Marine nationale.

 Départ de l’Auguste Bénébig, premier des six POM, pour Nouméa

Source : Marine nationale


FAPF – Bilan de la participation du Falcon F200 Gardian déployé au large de la péninsule coréenne dans le cadre de la mission AETO

publié le Jeudi 17 novembre 2022

 FAPF – Bilan de la participation du Falcon F200 Gardian déployé au large de la péninsule coréenne dans le cadre de la mission AETO

FAPF – Bilan de la participation du Falcon F200 Gardian déployé au large de la péninsule coréenne dans le cadre de la mission AETO

© EMA

Du 17 octobre au 6 novembre, un Falcon F200 Gardian des Forces armées de Polynésie française (FAPF) a participé à une mission de surveillance sous mandat des Nations unies, visant à faire respecter l’embargo imposé à la Corée du Nord. L’avion de surveillance maritime opérait depuis la base aérienne de Futenma au Japon, dans le cadre de la mission AETO, contribution française à la United Nations Security Council Enforcement Coordination Cell (UNSC ECC).

Lancé en janvier 2018, ce dispositif permet de coordonner les neuf États (Australie, Allemagne, Canada, Corée du Sud,  États-Unis, France, Japon, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni) qui participent à la mise en œuvre du volet maritime des sanctions des Nations unies contre la Corée du Nord. Il s’agit en particulier de porter attention aux transbordements à la mer de matières comme le pétrole, le charbon ou le fer contournant les limitations imposées par les résolutions 2375 et 2397 de l’ONU.

Lors de ce déploiement, l’équipage du Gardian avait pour mission de déceler les bâtiments effectuant des transbordements en mer et de recourir à des prises de vue pour étayer les dossiers d’infraction transmis ensuite à l'ONU. L'équipage a planifié et conduit une dizaine de vols, soit plus de 45 heures de mission.

Cette nouvelle contribution à la mission ECC/AETO permet à la France d’afficher son attachement au respect du droit international et à son engagement pour lutter contre la prolifération d’armes de destruction massive. Il lui permet également de disposer d’une capacité d’appréciation de situation de manière autonome au large de la péninsule coréenne.

Les 900 militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante marine, qui, avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), a pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France sur le « théâtre Asie Pacifique » et de positionner la France comme nation riveraine. Pouvant être renforcé ponctuellement par des éléments de métropole, il permet à la France d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, de lutter contre les menaces grandissantes comme les trafics illégaux, d’affirmer son attachement au droit international et à la liberté de navigation, et d’animer la coopération militaire régionale avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique.

Source : Etat-major des armées

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