Du 21 au 23 février 2023, à l’occasion du passage de la mission Jeanne d’Arc à Djibouti, les officiers-élèves ont conduit une Manœuvre Tactique d’Infanterie et d’Aguerrissement (MTIA) dans le cadre de leur formation au commandement.

Cet exercice de combat en milieu désertique leur a permis d’exercer des responsabilités de commandement sur le terrain, de développer leur résilience et leur initiative tactique.

La manœuvre a commencé tôt le matin par un débarquement amphibie sur les plages d’Arta. Après avoir rejoint la côte en EDA-R[1] ou EDA-S[2], les officiers-élèves de l’école d’application ainsi que leurs cadres se sont articulés en deux sections qui se sont affrontées dans une zone de manœuvre du Centre d’Entrainement au Combat et d’Aguerrissement au Désert (CECAD) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ).

Pendant trois jours et deux nuits, les jeunes enseignes de vaisseau ont enchaîné progressions discrètes, missions de renseignement et d’assaut en bénéficiant de l’appui aérien d’une Gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) embarqué sur le PHA Dixmude. En exerçant tour à tour les responsabilités de chef groupe, les officiers-élèves ont éprouvé leurs capacités à commander : ils ont dû faire preuve d’endurance, de lucidité et de cohésion pour créer une dynamique collective et atteindre les objectifs fixés.

Les midships volontaires pour la spécialité commando ont par ailleurs été évalués sur leurs capacités de planification et de conduite d’une manœuvre tactique de niveau « groupe d’infanterie » ; ces officiers-élèves ont également pu pratiquer la célèbre piste d’audace la « Voie de l’Inconscient » dont le point le plus haut se situe à 21 mètres du sol.

Outre les objectifs tactiques collectifs et l’évaluation des qualités humaines et militaires de chacun, ce temps passé à terre a été une occasion de fédérer la promotion 2023 de l’école d’application des officiers de Marine (EAOM), en particulier lors des bivouacs propices aux moments de cohésion et de camaraderie après l’effort.

Lien vers le dossier de presse JDA

[1] Engin de débarquement amphibie rapide

[2] Engin de débarquement amphibie standard

Du 21 au 23 février 2023, à l’occasion du passage de la mission Jeanne d’Arc à Djibouti, les officiers-élèves ont conduit une Manœuvre Tactique d’Infanterie et d’Aguerrissement (MTIA) dans le cadre de leur formation au commandement.

Cet exercice de combat en milieu désertique leur a permis d’exercer des responsabilités de commandement sur le terrain, de développer leur résilience et leur initiative tactique.

La manœuvre a commencé tôt le matin par un débarquement amphibie sur les plages d’Arta. Après avoir rejoint la côte en EDA-R[1] ou EDA-S[2], les officiers-élèves de l’école d’application ainsi que leurs cadres se sont articulés en deux sections qui se sont affrontées dans une zone de manœuvre du Centre d’Entrainement au Combat et d’Aguerrissement au Désert (CECAD) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ).

Pendant trois jours et deux nuits, les jeunes enseignes de vaisseau ont enchaîné progressions discrètes, missions de renseignement et d’assaut en bénéficiant de l’appui aérien d’une Gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) embarqué sur le PHA Dixmude. En exerçant tour à tour les responsabilités de chef groupe, les officiers-élèves ont éprouvé leurs capacités à commander : ils ont dû faire preuve d’endurance, de lucidité et de cohésion pour créer une dynamique collective et atteindre les objectifs fixés.

Les midships volontaires pour la spécialité commando ont par ailleurs été évalués sur leurs capacités de planification et de conduite d’une manœuvre tactique de niveau « groupe d’infanterie » ; ces officiers-élèves ont également pu pratiquer la célèbre piste d’audace la « Voie de l’Inconscient » dont le point le plus haut se situe à 21 mètres du sol.

Outre les objectifs tactiques collectifs et l’évaluation des qualités humaines et militaires de chacun, ce temps passé à terre a été une occasion de fédérer la promotion 2023 de l’école d’application des officiers de Marine (EAOM), en particulier lors des bivouacs propices aux moments de cohésion et de camaraderie après l’effort.

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[1] Engin de débarquement amphibie rapide

[2] Engin de débarquement amphibie standard

Du 21 au 23 février 2023, à l’occasion du passage de la mission Jeanne d’Arc à Djibouti, les officiers-élèves ont conduit une Manœuvre Tactique d’Infanterie et d’Aguerrissement (MTIA) dans le cadre de leur formation au commandement.

Cet exercice de combat en milieu désertique leur a permis d’exercer des responsabilités de commandement sur le terrain, de développer leur résilience et leur initiative tactique.

La manœuvre a commencé tôt le matin par un débarquement amphibie sur les plages d’Arta. Après avoir rejoint la côte en EDA-R[1] ou EDA-S[2], les officiers-élèves de l’école d’application ainsi que leurs cadres se sont articulés en deux sections qui se sont affrontées dans une zone de manœuvre du Centre d’Entrainement au Combat et d’Aguerrissement au Désert (CECAD) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ).

Pendant trois jours et deux nuits, les jeunes enseignes de vaisseau ont enchaîné progressions discrètes, missions de renseignement et d’assaut en bénéficiant de l’appui aérien d’une Gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) embarqué sur le PHA Dixmude. En exerçant tour à tour les responsabilités de chef groupe, les officiers-élèves ont éprouvé leurs capacités à commander : ils ont dû faire preuve d’endurance, de lucidité et de cohésion pour créer une dynamique collective et atteindre les objectifs fixés.

Les midships volontaires pour la spécialité commando ont par ailleurs été évalués sur leurs capacités de planification et de conduite d’une manœuvre tactique de niveau « groupe d’infanterie » ; ces officiers-élèves ont également pu pratiquer la célèbre piste d’audace la « Voie de l’Inconscient » dont le point le plus haut se situe à 21 mètres du sol.

Outre les objectifs tactiques collectifs et l’évaluation des qualités humaines et militaires de chacun, ce temps passé à terre a été une occasion de fédérer la promotion 2023 de l’école d’application des officiers de Marine (EAOM), en particulier lors des bivouacs propices aux moments de cohésion et de camaraderie après l’effort.

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[1] Engin de débarquement amphibie rapide

[2] Engin de débarquement amphibie standard

Du 21 au 23 février 2023, à l’occasion du passage de la mission Jeanne d’Arc à Djibouti, les officiers-élèves ont conduit une Manœuvre Tactique d’Infanterie et d’Aguerrissement (MTIA) dans le cadre de leur formation au commandement.

Cet exercice de combat en milieu désertique leur a permis d’exercer des responsabilités de commandement sur le terrain, de développer leur résilience et leur initiative tactique.

La manœuvre a commencé tôt le matin par un débarquement amphibie sur les plages d’Arta. Après avoir rejoint la côte en EDA-R[1] ou EDA-S[2], les officiers-élèves de l’école d’application ainsi que leurs cadres se sont articulés en deux sections qui se sont affrontées dans une zone de manœuvre du Centre d’Entrainement au Combat et d’Aguerrissement au Désert (CECAD) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ).

Pendant trois jours et deux nuits, les jeunes enseignes de vaisseau ont enchaîné progressions discrètes, missions de renseignement et d’assaut en bénéficiant de l’appui aérien d’une Gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) embarqué sur le PHA Dixmude. En exerçant tour à tour les responsabilités de chef groupe, les officiers-élèves ont éprouvé leurs capacités à commander : ils ont dû faire preuve d’endurance, de lucidité et de cohésion pour créer une dynamique collective et atteindre les objectifs fixés.

Les midships volontaires pour la spécialité commando ont par ailleurs été évalués sur leurs capacités de planification et de conduite d’une manœuvre tactique de niveau « groupe d’infanterie » ; ces officiers-élèves ont également pu pratiquer la célèbre piste d’audace la « Voie de l’Inconscient » dont le point le plus haut se situe à 21 mètres du sol.

Outre les objectifs tactiques collectifs et l’évaluation des qualités humaines et militaires de chacun, ce temps passé à terre a été une occasion de fédérer la promotion 2023 de l’école d’application des officiers de Marine (EAOM), en particulier lors des bivouacs propices aux moments de cohésion et de camaraderie après l’effort.

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[1] Engin de débarquement amphibie rapide

[2] Engin de débarquement amphibie standard

Le 7 janvier, le Groupe aéronaval (GAN) s’est entrainé avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos Marine stationné à Djibouti. De nombreuses activités navales, aériennes et terrestres ont été organisées entre plusieurs unités du GAN, déployées dans le cadre de la mission ANTARES, et les commandos marine insérés aux Forces françaises à Djibouti (FFDj).

Les marins français se sont exercés aux raids nautiques et au tirs depuis une Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate escortant le porte-avions Charles De Gaulle. Des entraînements de débarquement à la corde lisse et de projection de force depuis la mer vers la terre ont également été menés grâce aux hélicoptères du GAN.

Cette phase d’entrainement intense s’est conclue par une simulation d’assaut de vive force au large de Djibouti. Ainsi, une frégate du GAN a récupéré des commandos marine à terre pour les projeter sur un navire « cible » en mer, avec son hélicoptère et ses embarcations légères. D’autres hélicoptères de la force assuraient la surveillance tactique et l’appui feu avec des tireurs d’élites.

À l’occasion de ces exercices dans le golfe d’Aden, le GAN et les commandos français ont mis en œuvre un large panel de modes opératoires spécifiques à l’évolution en milieu contesté afin d’atteindre les objectifs fixés par les scénarios d’entraînement. Ces activités de préparation opérationnelle permettent aux armées françaises d’être en capacité d’acquérir une supériorité opérationnelle dans tous les champs de conflictualité.

Le 7 janvier, le Groupe aéronaval (GAN) s’est entrainé avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos Marine stationné à Djibouti. De nombreuses activités navales, aériennes et terrestres ont été organisées entre plusieurs unités du GAN, déployées dans le cadre de la mission ANTARES, et les commandos marine insérés aux Forces françaises à Djibouti (FFDj).

Les marins français se sont exercés aux raids nautiques et au tirs depuis une Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate escortant le porte-avions Charles De Gaulle. Des entraînements de débarquement à la corde lisse et de projection de force depuis la mer vers la terre ont également été menés grâce aux hélicoptères du GAN.

Cette phase d’entrainement intense s’est conclue par une simulation d’assaut de vive force au large de Djibouti. Ainsi, une frégate du GAN a récupéré des commandos marine à terre pour les projeter sur un navire « cible » en mer, avec son hélicoptère et ses embarcations légères. D’autres hélicoptères de la force assuraient la surveillance tactique et l’appui feu avec des tireurs d’élites.

À l’occasion de ces exercices dans le golfe d’Aden, le GAN et les commandos français ont mis en œuvre un large panel de modes opératoires spécifiques à l’évolution en milieu contesté afin d’atteindre les objectifs fixés par les scénarios d’entraînement. Ces activités de préparation opérationnelle permettent aux armées françaises d’être en capacité d’acquérir une supériorité opérationnelle dans tous les champs de conflictualité.

Le 7 janvier, le Groupe aéronaval (GAN) s’est entrainé avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos Marine stationné à Djibouti. De nombreuses activités navales, aériennes et terrestres ont été organisées entre plusieurs unités du GAN, déployées dans le cadre de la mission ANTARES, et les commandos marine insérés aux Forces françaises à Djibouti (FFDj).

Les marins français se sont exercés aux raids nautiques et au tirs depuis une Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate escortant le porte-avions Charles De Gaulle. Des entraînements de débarquement à la corde lisse et de projection de force depuis la mer vers la terre ont également été menés grâce aux hélicoptères du GAN.

Cette phase d’entrainement intense s’est conclue par une simulation d’assaut de vive force au large de Djibouti. Ainsi, une frégate du GAN a récupéré des commandos marine à terre pour les projeter sur un navire « cible » en mer, avec son hélicoptère et ses embarcations légères. D’autres hélicoptères de la force assuraient la surveillance tactique et l’appui feu avec des tireurs d’élites.

À l’occasion de ces exercices dans le golfe d’Aden, le GAN et les commandos français ont mis en œuvre un large panel de modes opératoires spécifiques à l’évolution en milieu contesté afin d’atteindre les objectifs fixés par les scénarios d’entraînement. Ces activités de préparation opérationnelle permettent aux armées françaises d’être en capacité d’acquérir une supériorité opérationnelle dans tous les champs de conflictualité.

Le 7 janvier, le Groupe aéronaval (GAN) s’est entrainé avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos Marine stationné à Djibouti. De nombreuses activités navales, aériennes et terrestres ont été organisées entre plusieurs unités du GAN, déployées dans le cadre de la mission ANTARES, et les commandos marine insérés aux Forces françaises à Djibouti (FFDj).

Les marins français se sont exercés aux raids nautiques et au tirs depuis une Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate escortant le porte-avions Charles De Gaulle. Des entraînements de débarquement à la corde lisse et de projection de force depuis la mer vers la terre ont également été menés grâce aux hélicoptères du GAN.

Cette phase d’entrainement intense s’est conclue par une simulation d’assaut de vive force au large de Djibouti. Ainsi, une frégate du GAN a récupéré des commandos marine à terre pour les projeter sur un navire « cible » en mer, avec son hélicoptère et ses embarcations légères. D’autres hélicoptères de la force assuraient la surveillance tactique et l’appui feu avec des tireurs d’élites.

À l’occasion de ces exercices dans le golfe d’Aden, le GAN et les commandos français ont mis en œuvre un large panel de modes opératoires spécifiques à l’évolution en milieu contesté afin d’atteindre les objectifs fixés par les scénarios d’entraînement. Ces activités de préparation opérationnelle permettent aux armées françaises d’être en capacité d’acquérir une supériorité opérationnelle dans tous les champs de conflictualité.

Le 7 janvier, le Groupe aéronaval (GAN) s’est entrainé avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos Marine stationné à Djibouti. De nombreuses activités navales, aériennes et terrestres ont été organisées entre plusieurs unités du GAN, déployées dans le cadre de la mission ANTARES, et les commandos marine insérés aux Forces françaises à Djibouti (FFDj).

Les marins français se sont exercés aux raids nautiques et au tirs depuis une Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate escortant le porte-avions Charles De Gaulle. Des entraînements de débarquement à la corde lisse et de projection de force depuis la mer vers la terre ont également été menés grâce aux hélicoptères du GAN.

Cette phase d’entrainement intense s’est conclue par une simulation d’assaut de vive force au large de Djibouti. Ainsi, une frégate du GAN a récupéré des commandos marine à terre pour les projeter sur un navire « cible » en mer, avec son hélicoptère et ses embarcations légères. D’autres hélicoptères de la force assuraient la surveillance tactique et l’appui feu avec des tireurs d’élites.

À l’occasion de ces exercices dans le golfe d’Aden, le GAN et les commandos français ont mis en œuvre un large panel de modes opératoires spécifiques à l’évolution en milieu contesté afin d’atteindre les objectifs fixés par les scénarios d’entraînement. Ces activités de préparation opérationnelle permettent aux armées françaises d’être en capacité d’acquérir une supériorité opérationnelle dans tous les champs de conflictualité.

Le 7 janvier, le Groupe aéronaval (GAN) s’est entrainé avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos Marine stationné à Djibouti. De nombreuses activités navales, aériennes et terrestres ont été organisées entre plusieurs unités du GAN, déployées dans le cadre de la mission ANTARES, et les commandos marine insérés aux Forces françaises à Djibouti (FFDj).

Les marins français se sont exercés aux raids nautiques et au tirs depuis une Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate escortant le porte-avions Charles De Gaulle. Des entraînements de débarquement à la corde lisse et de projection de force depuis la mer vers la terre ont également été menés grâce aux hélicoptères du GAN.

Cette phase d’entrainement intense s’est conclue par une simulation d’assaut de vive force au large de Djibouti. Ainsi, une frégate du GAN a récupéré des commandos marine à terre pour les projeter sur un navire « cible » en mer, avec son hélicoptère et ses embarcations légères. D’autres hélicoptères de la force assuraient la surveillance tactique et l’appui feu avec des tireurs d’élites.

À l’occasion de ces exercices dans le golfe d’Aden, le GAN et les commandos français ont mis en œuvre un large panel de modes opératoires spécifiques à l’évolution en milieu contesté afin d’atteindre les objectifs fixés par les scénarios d’entraînement. Ces activités de préparation opérationnelle permettent aux armées françaises d’être en capacité d’acquérir une supériorité opérationnelle dans tous les champs de conflictualité.