Bilan de l’action du CMT CEPHEE en mer Baltique

publié le Mercredi 26 octobre 2022

Bilan de l’action du CMT CEPHEE en mer Baltique

Bilan de l’action du CMT CEPHEE en mer Baltique

© Marine nationale

Après 7 semaines de déploiements dans la Baltique, le Céphée est rentré au port base, à Brest. Durant cette mission, le Céphée a participé aux exercices Northen Coast et Hunter avant d’être rattaché à la mission Brilliant Shield.

Northen Coast est un exercice réunissant les marines riveraines de la mer Baltique et qui a pour vocation de renforcer l’interopérabilité dans tous les domaines de lutte. L’implication du CMT Céphée dans cet exercice a permis d’approfondir nos compétences avec les marines allemandes et lituaniennes, tout en affirmant la présence française en mer Baltique.

Hunter a axé le travail sur la coopération de chasse aux mines avec la marine finlandaise. Les chasseurs Vahterpää et Céphée ont ainsi chassé des mines d’exercice préalablement mouillées par la marine finlandaise à proximité de l’accès au port d’Hanko. Cet exercice bilatéral a permis de fructueux échanges à propos des procédures et pour croiser les savoir-faire. Le Céphée est par ailleurs venu en aide au chasseur de mine finlandais lors d’une opération de récupération d’un drone sous-marin finlandais, démontrant ainsi la qualité des relations franco-finlandaises.

Le Céphée a enfin été associé à l’opération de l’OTAN Brilliant Shield. Dans un contexte particulier dans la Baltique, le CMT Céphée a concouru au renforcement de la posture défensive de l’OTAN dans la zone tout en participant à l’appréciation autonome de situation de la France.

Le Céphée a pu travailler avec la majorité des pays partenaires et riverains de la Baltique, montrant l’attachement de la France à la sécurité en mer et au respect du droit international. Les escales en Lituanie, Finlande, Norvège et Pologne ont été autant d’occasions de renforcer les liens avec nos partenaires locaux. Les escales de Klaïpeda et Oslo ont par ailleurs permis d’honorer respectivement les prisonniers de guerre français de 1870 morts lors de la construction du canal Guillaume et les 34 marins norvégiens morts lors du débarquement en Normandie.

Source : Marine nationale


Atlantique Nord - Interopérabilité en milieu arctique : le BSAM Rhône participe à NANOOK 2022

publié le Lundi 22 août 2022

 Atlantique Nord - Interopérabilité en milieu arctique : le BSAM Rhône participe à NANOOK 2022

Atlantique Nord - Interopérabilité en milieu arctique : le BSAM Rhône participe à NANOOK 2022

© Marine nationale

Organisée chaque année par la marine canadienne, l’opération NANOOK 2022 a vu le Bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Rhône intégrer le Task Group 301.1. Cette opération avait pour objectif d’améliorer l’interopérabilité entre les marines alliées, mais également d’approfondir et d’échanger les savoir-faire spécifiques à la navigation en milieu arctique.

Du 2 au 12 août, aux côtés des unités américaine (USCG Bear), canadiennes (HCMS Margaret Brooke, HCMS Goose Bay) et danoise (HDMS Triton), le BSAM Rhône a pris part à l’opération NANOOK 2022, comprenant un large spectre d’entraînements, dans un milieu aéromaritime très exigeant. Outre la maîtrise de la tactique et des communications interalliées, l’équipage s’est exercé à la navigation en force constituée, aux présentations au ravitaillement à la mer, au remorquage en visibilité réduite ou encore des tirs d’artillerie. Une séance de treuillage a également été menée par l’hélicoptère Seahawk danois.

Rejoint par une unité des garde-côtes canadiens, le Task Group a navigué en formation dans les fjords du Torngat, au nord du Labrador, marquant ainsi la fin de la première phase de NANOOK. Une nouvelle phase a permis aux unités de mener des exercices d’interception de navires suspectés de conduire des activités illicites et de sauvetage de type Search and Rescue. Au cours de ces exercices, chaque élément de la force a mis en œuvre un moyen d’assistance correspondant à ses capacités : soutien médical, lutte anti-pollution, assistance pour la lutte contre un incendie, équipe de visite…

Cette opération a permis de mettre en valeur les capacités opérationnelles du BSAM, capable d’opérer en force constituée, tout particulièrement dans l’environnement exigeant des hautes latitudes, milieu en profonde mutation géostratégique et environnementale.

Source : Marine nationale


Atlantique Nord : le Beautemps-Beaupré poursuit sa mission scientifique après une relâche aux îles Féroé

publié le Jeudi 18 août 2022

Atlantique Nord : le Beautemps-Beaupré poursuit sa mission scientifique après une relâche aux îles Féroé

Atlantique Nord : le Beautemps-Beaupré poursuit sa mission scientifique après une relâche aux îles Féroé

© Marine nationale

Au cours de sa mission en Atlantique nord, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré a procédé au mouillage d’équipements scientifiques afin de recueillir des données d’environnement qui seront exploitées par le Shom (Service Hydrographique et Océanographique de la Marine) et par nos forces armées. Les capacités manœuvrières du bâtiment, et notamment son système de positionnement dynamique, ont permis d’assurer ce mouillage en sécurité malgré des conditions météorologiques dégradées.

Le BHO Beautemps-Beaupré s’est ensuite rendu à Tórshavn, principale ville des îles Féroé, pour une relâche opérationnelle de quelques jours. Le commandant a été reçu par le maire de la ville puis par le représentant du Joint Arctic Command. Cette dernière visite a été l’occasion de mieux comprendre le rôle de cette composante des forces armées danoises chargée d’assurer la souveraineté et la défense du Danemark dans les territoires et les ZEE des îles Féroé et du Groenland.

Le directeur local du Joint Arctic Command et son adjoint ont ensuite été accueillis à bord du Beautemps-Beaupré pour une visite du bâtiment en présence de Mme Hanna Jensen, consule honoraire de France aux îles Féroé. Plusieurs membres de l’Institut de recherche maritime des Féroé étaient également présents pour cette visite du bord.  Une belle opportunité pour le bord et les hydrographes du Shom d’échanger sur les moyens et méthodes d’acquisition de données hydrographiques. Les îles Féroé ont fait l’acquisition en 2021 d’un navire de recherche doté de nombreux équipements scientifiques : le Jakup Sverri.

Le Beautemps-Beaupré a quitté Tórshavn le 14 août. Après avoir salué la frégate danoise HDMS Vaedderen en patrouille dans la zone, il a débuté son transit vers sa prochaine zone de travail en empruntant le fjord de Djupini.

Source : Marine nationale


ATLANTIQUE NORD : Les marins de L’Aigle, guerriers de la chasse aux mines, participent à l’exercice MCM Warrior

publié le Vendredi 15 avril 2022

ATLANTIQUE NORD : Les marins de L’Aigle, guerriers de la chasse aux mines, participent à l’exercice MCM Warrior

ATLANTIQUE NORD : Les marins de L’Aigle, guerriers de la chasse aux mines, participent à l’exercice MCM Warrior

© Marine nationale

Du 25 mars au 7 avril, le chasseur de mines tripartite (CMT) L’Aigle a navigué en mer d’Ecosse dans le cadre de l’exercice MCM WARRIOR (Mine Counter Measures). Cet entraînement conjoint organisé par la Royal Navy avait pour objectif de perfectionner l’interopérabilité des unités au sein d’un Task Group et de préparer les unités britanniques (chasseurs de mines et état-major) prochainement déployées dans le Golfe Persique.

Profitant d’une météo favorable, L’Aigle a appareillé de Brest le 21 mars en direction de l’Ecosse où s’est tenue la Pre Sail Conference (PSC) de l’exercice, ultime grand briefing avant que les unités ne prennent le large.

Après une brève escale, l’équipage du CMT L’Aigle a appareillé de Glasgow pour conduire la première phase de l’exercice. Les marins français ont d’abord rejoint trois chasseurs de mines britanniques et un groupe de plongeurs démineurs britanniques pour constituer un Task Group  sous le commandement tactique de l’état-major de conduite des opérations de guerre des mines de la Royal Navy.

Durant les jours suivants, le groupe a navigué dans les eaux écossaises autour de l’île d’Arran pour affronter une dizaine d’assauts dirigées par les bateaux et aéronefs des « forces ennemies ». Au cours des exercices quotidiens de lutte au-dessus de la surface (SURFEX et ADEX) , l’équipage de L’Aigle est resté au poste de combat pour répondre graduellement aux harcèlements adverses en usant des différentes options en leur possession, allant de l’échange radio jusqu’à l’ouverture du feu.

MCM Warrior s’est achevé par une dernière séquence mettant en scène un affrontement de haute-intensité. Cet épisode a permis d’éprouver les procédures acquises par les unités alliées tout au long de l’exercice.

Les différentes phases de l’exercice ont confirmé la haut-niveau d’interopérabilité entre les marines française et britannique, capables d’agir de manière coordonnées dans différents domaines de lutte. Après une escale logistique à Faslane, les marins de L’Aigle retrouveront leur port-base brestois après trois semaines de déploiement.

Source : Marine nationale


COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

publié le Jeudi 24 février 2022

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

© EMA

Le 18 février 2022, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a appareillé de Toulon pour rejoindre le théâtre Atlantique Nord et participer à l’exercice norvégien COLD RESPONSE 2022 (CORE 22). Cet exercice interarmées et interalliées en terrain libre se déroulera au nord de la Norvège. Il a pour objectif de renforcer les capacités des armées alliées à opérer ensemble dans des conditions climatiques exigeantes.

Quarante-huit heures après son appareillage de Toulon, son port base, le Dixmude a eu l’occasion de mener des entraînements en mer avec le porte-aéronefs italien Guiseppe Garibaldi, également déployé pour participer à CORE 22. Les deux bâtiments ont saisi cette opportunité pour partager leur savoir-faire et renforcer leur connaissance mutuelle

Lors d’un affrontement simulé entre les deux navires européens, le drone S100 de la Marine française a localisé le Garibaldi, montrant ainsi la plus-value de cet aéronef en opération. Les chaînes opérationnelles et aviation se sont également entraînées ensemble par le biais d’appontages croisés, comme celui d’un hélicoptère Merlin italien sur le pont d’envol du PHA Dixmude. Cet exercice s’est conclu par la rencontre du commandant en second du Garibaldi et du capitaine de vaisseau Emmanuel MOCARD, commandant le PHA Dixmude, qui ont échangé sur les prochaines activités conjointes que mèneront leurs deux unités en conditions extrêmes dans le Grand Nord.

L’équipage du PHA Dixmude fait maintenant route vers la Rochelle où il embarquera son Groupe tactique embarqué (GTE), composé essentiellement de marsouins du 1er Régiment d’infanterie de marine (1er RIMa). Il conduira sans tarder les manœuvres amphibies d’intégration du GTE. Les marsouins du 1er RIMa seront eux aussi engagés dans la composante terrestre de CORE22.

L’exercice COLD RESPONSE 2022 de déroulera du 14 mars au 1er avril 2022 et rassemblera jusqu’à 35 000 militaires de 28 pays alliés, membres de l’OTAN et partenaires.

 

Source : Etat-major des armées


COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

publié le Jeudi 24 février 2022

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

© EMA

Le 18 février 2022, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a appareillé de Toulon pour rejoindre le théâtre Atlantique Nord et participer à l’exercice norvégien COLD RESPONSE 2022 (CORE 22). Cet exercice interarmées et interalliées en terrain libre se déroulera au nord de la Norvège. Il a pour objectif de renforcer les capacités des armées alliées à opérer ensemble dans des conditions climatiques exigeantes.

Quarante-huit heures après son appareillage de Toulon, son port base, le Dixmude a eu l’occasion de mener des entraînements en mer avec le porte-aéronefs italien Guiseppe Garibaldi, également déployé pour participer à CORE 22. Les deux bâtiments ont saisi cette opportunité pour partager leur savoir-faire et renforcer leur connaissance mutuelle

Lors d’un affrontement simulé entre les deux navires européens, le drone S100 de la Marine française a localisé le Garibaldi, montrant ainsi la plus-value de cet aéronef en opération. Les chaînes opérationnelles et aviation se sont également entraînées ensemble par le biais d’appontages croisés, comme celui d’un hélicoptère Merlin italien sur le pont d’envol du PHA Dixmude. Cet exercice s’est conclu par la rencontre du commandant en second du Garibaldi et du capitaine de vaisseau Emmanuel MOCARD, commandant le PHA Dixmude, qui ont échangé sur les prochaines activités conjointes que mèneront leurs deux unités en conditions extrêmes dans le Grand Nord.

L’équipage du PHA Dixmude fait maintenant route vers la Rochelle où il embarquera son Groupe tactique embarqué (GTE), composé essentiellement de marsouins du 1er Régiment d’infanterie de marine (1er RIMa). Il conduira sans tarder les manœuvres amphibies d’intégration du GTE. Les marsouins du 1er RIMa seront eux aussi engagés dans la composante terrestre de CORE22.

L’exercice COLD RESPONSE 2022 de déroulera du 14 mars au 1er avril 2022 et rassemblera jusqu’à 35 000 militaires de 28 pays alliés, membres de l’OTAN et partenaires.

 

Source : Etat-major des armées


COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

publié le Jeudi 24 février 2022

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

© EMA

Le 18 février 2022, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a appareillé de Toulon pour rejoindre le théâtre Atlantique Nord et participer à l’exercice norvégien COLD RESPONSE 2022 (CORE 22). Cet exercice interarmées et interalliées en terrain libre se déroulera au nord de la Norvège. Il a pour objectif de renforcer les capacités des armées alliées à opérer ensemble dans des conditions climatiques exigeantes.

Quarante-huit heures après son appareillage de Toulon, son port base, le Dixmude a eu l’occasion de mener des entraînements en mer avec le porte-aéronefs italien Guiseppe Garibaldi, également déployé pour participer à CORE 22. Les deux bâtiments ont saisi cette opportunité pour partager leur savoir-faire et renforcer leur connaissance mutuelle

Lors d’un affrontement simulé entre les deux navires européens, le drone S100 de la Marine française a localisé le Garibaldi, montrant ainsi la plus-value de cet aéronef en opération. Les chaînes opérationnelles et aviation se sont également entraînées ensemble par le biais d’appontages croisés, comme celui d’un hélicoptère Merlin italien sur le pont d’envol du PHA Dixmude. Cet exercice s’est conclu par la rencontre du commandant en second du Garibaldi et du capitaine de vaisseau Emmanuel MOCARD, commandant le PHA Dixmude, qui ont échangé sur les prochaines activités conjointes que mèneront leurs deux unités en conditions extrêmes dans le Grand Nord.

L’équipage du PHA Dixmude fait maintenant route vers la Rochelle où il embarquera son Groupe tactique embarqué (GTE), composé essentiellement de marsouins du 1er Régiment d’infanterie de marine (1er RIMa). Il conduira sans tarder les manœuvres amphibies d’intégration du GTE. Les marsouins du 1er RIMa seront eux aussi engagés dans la composante terrestre de CORE22.

L’exercice COLD RESPONSE 2022 de déroulera du 14 mars au 1er avril 2022 et rassemblera jusqu’à 35 000 militaires de 28 pays alliés, membres de l’OTAN et partenaires.

 

Source : Etat-major des armées


COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

publié le Jeudi 24 février 2022

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

COLD RESPONSE 2022 - Les marins du Dixmude en route pour le Grand Nord

© EMA

Le 18 février 2022, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a appareillé de Toulon pour rejoindre le théâtre Atlantique Nord et participer à l’exercice norvégien COLD RESPONSE 2022 (CORE 22). Cet exercice interarmées et interalliées en terrain libre se déroulera au nord de la Norvège. Il a pour objectif de renforcer les capacités des armées alliées à opérer ensemble dans des conditions climatiques exigeantes.

Quarante-huit heures après son appareillage de Toulon, son port base, le Dixmude a eu l’occasion de mener des entraînements en mer avec le porte-aéronefs italien Guiseppe Garibaldi, également déployé pour participer à CORE 22. Les deux bâtiments ont saisi cette opportunité pour partager leur savoir-faire et renforcer leur connaissance mutuelle

Lors d’un affrontement simulé entre les deux navires européens, le drone S100 de la Marine française a localisé le Garibaldi, montrant ainsi la plus-value de cet aéronef en opération. Les chaînes opérationnelles et aviation se sont également entraînées ensemble par le biais d’appontages croisés, comme celui d’un hélicoptère Merlin italien sur le pont d’envol du PHA Dixmude. Cet exercice s’est conclu par la rencontre du commandant en second du Garibaldi et du capitaine de vaisseau Emmanuel MOCARD, commandant le PHA Dixmude, qui ont échangé sur les prochaines activités conjointes que mèneront leurs deux unités en conditions extrêmes dans le Grand Nord.

L’équipage du PHA Dixmude fait maintenant route vers la Rochelle où il embarquera son Groupe tactique embarqué (GTE), composé essentiellement de marsouins du 1er Régiment d’infanterie de marine (1er RIMa). Il conduira sans tarder les manœuvres amphibies d’intégration du GTE. Les marsouins du 1er RIMa seront eux aussi engagés dans la composante terrestre de CORE22.

L’exercice COLD RESPONSE 2022 de déroulera du 14 mars au 1er avril 2022 et rassemblera jusqu’à 35 000 militaires de 28 pays alliés, membres de l’OTAN et partenaires.

 

Source : Etat-major des armées


En Norvège, la FREMM Bretagne a pris part à l’exercice norvégien Arctic Fires

publié le Vendredi 18 février 2022

 En Norvège, la FREMM Bretagne a pris part à l’exercice norvégien Arctic Fires

En Norvège, la FREMM Bretagne a pris part à l’exercice norvégien Arctic Fires

© Marine nationale

Le 2 février 2022, la FREMM Bretagne a eu l’opportunité de coopérer avec la Marine royale de Norvège dans le Andfjorden à proximité d’Andoya, prenant part à l’exercice Arctic Fires.

Deux patrouilleurs rapides lance-missiles de classe Skjold, pouvant atteindre une vitesse de 50 nœuds et puissamment armés d’une tourelle de 76 mm et de 8 missiles antinavires « Kongsberg », ont rejoint la frégate multi-missions déployée dans le Grand Nord depuis le mois d’octobre 2021.

Ensemble, les trois bâtiments ont conduit des évolutions de groupe puis un exercice de tirs d’artillerie sur des cibles « Banshee » (drones aériens). Le succès de ces exercices a permis de confirmer le haut degré de préparation et d’interopérabilité des deux marines, dont les intérêts stratégiques se rejoignent en Atlantique Nord.

Pour la Norvège, il s’agit de contrôler ses approches maritimes, qui abritent notamment des plates-formes pétrolières et des câbles sous-marins essentiels pour sa souveraineté énergétique et numérique. Quant à la France, ces patrouilles régulières dans cette zone, à la météorologie exigeante, témoignent de sa capacité à contrer toute tentative de déni d’accès et à garantir en tout temps la liberté d’action des unités de la Marine nationale en Atlantique.

Source : Marine nationale


Fin de mission Grand-Nord pour le Bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Rhône

publié le Mardi 12 octobre 2021

Fin de mission Grand-Nord pour le Bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Rhône

Fin de mission Grand-Nord pour le Bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Rhône

© EMA

Le BSAM Rhône – équipage B – achève son déploiement dans le Grand Nord où il a navigué en zone polaire durant 3 semaines, en océan Arctique puis en mer de Barents, pour atteindre le 21 septembre dernier la ville de Tromso en Norvège.

Ce déploiement a permis d'entretenir et de développer ses savoir-faire et compétences à naviguer en zone polaire, caractérisées par la présence de glace vive, de banquise, de basses températures, d’intempéries ou encore de brouillards épais. L’objectif était d’aguerrir les équipages à évoluer dans des zones où les conditions d'environnement sont particulièrement hostiles et exigeantes.

Attachée au principe de liberté de circulation en haute mer dans le respect du droit maritime international, la France réaffirme à travers ce déploiement le caractère hauturier de sa marine, présente en tout temps, sur toutes les mers du globe.

Source : Etat-major des armées

S'abonner à Grand Nord