Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

publié le Vendredi 09 juin 2023

 Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

© EMA

Entre mars et mai 2023, les unités navales basées à la Réunion opérant dans la zone sud de l’océan Indien ont saisi plusieurs tonnes de drogues dans le cadre des opérations de lutte contre le narcotrafic.

Le trafic de stupéfiants en provenance du sous-continent indien irrigue les grands bassins de consommation tels que l’Europe et constitue une menace sérieuse de déstabilisation pour les pays riverains de l’Océan Indien. Il est établi que la majorité du flux se dilue par la voie maritime.

La lutte contre ce trafic mobilise l’ensemble des services de l’État et plus particulièrement les Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), qui contribuent à cet effort, en mer. Les bâtiments hauturiers de la Marine aux FAZSOI sont les seuls à être stationnés de façon permanente dans l’océan Indien. Ceux-ci ont développé une forte expertise en matière de contrôle des navires suspects.

Dans la zone maritime dans laquelle le préfet de La Réunion est le délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, les résultats obtenus depuis janvier 2023 illustrent l’engagement de la France à œuvrer pour la stabilisation de la région en luttant contre ces trafics. Au bilan, plus de 3 330 kg d’héroïne et 240 kg de métamphétamine ont été saisis par les unités stationnées à La Réunion. La coordination des différents services de l’État, le professionnalisme des équipages et l’efficacité de tous les acteurs impliqués ont permis ce résultat.

Les Forces armées dans la zone sud de l'océan Indien (FAZSOI) remplissent un large panel de missions dans une zone de responsabilité permanente aux élongations importantes. Depuis Mayotte et La Réunion, plus de 1 700 militaires garantissent la protection de la population, protègent les zones économiques exclusives, luttent contre la piraterie ainsi que les trafics illicites. Les FAZSOI appuient fréquemment les missions de l'action de l'Etat en mer et mettent en œuvre les partenariats militaires de la France avec des pays d'Afrique australe et du sud de l'Océan indien.

Source : Etat-major des armées


Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

publié le Vendredi 09 juin 2023

 Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

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© EMA

Entre mars et mai 2023, les unités navales basées à la Réunion opérant dans la zone sud de l’océan Indien ont saisi plusieurs tonnes de drogues dans le cadre des opérations de lutte contre le narcotrafic.

Le trafic de stupéfiants en provenance du sous-continent indien irrigue les grands bassins de consommation tels que l’Europe et constitue une menace sérieuse de déstabilisation pour les pays riverains de l’Océan Indien. Il est établi que la majorité du flux se dilue par la voie maritime.

La lutte contre ce trafic mobilise l’ensemble des services de l’État et plus particulièrement les Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), qui contribuent à cet effort, en mer. Les bâtiments hauturiers de la Marine aux FAZSOI sont les seuls à être stationnés de façon permanente dans l’océan Indien. Ceux-ci ont développé une forte expertise en matière de contrôle des navires suspects.

Dans la zone maritime dans laquelle le préfet de La Réunion est le délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, les résultats obtenus depuis janvier 2023 illustrent l’engagement de la France à œuvrer pour la stabilisation de la région en luttant contre ces trafics. Au bilan, plus de 3 330 kg d’héroïne et 240 kg de métamphétamine ont été saisis par les unités stationnées à La Réunion. La coordination des différents services de l’État, le professionnalisme des équipages et l’efficacité de tous les acteurs impliqués ont permis ce résultat.

Les Forces armées dans la zone sud de l'océan Indien (FAZSOI) remplissent un large panel de missions dans une zone de responsabilité permanente aux élongations importantes. Depuis Mayotte et La Réunion, plus de 1 700 militaires garantissent la protection de la population, protègent les zones économiques exclusives, luttent contre la piraterie ainsi que les trafics illicites. Les FAZSOI appuient fréquemment les missions de l'action de l'Etat en mer et mettent en œuvre les partenariats militaires de la France avec des pays d'Afrique australe et du sud de l'Océan indien.

Source : Etat-major des armées


Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

publié le Vendredi 09 juin 2023

 Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

© EMA

Entre mars et mai 2023, les unités navales basées à la Réunion opérant dans la zone sud de l’océan Indien ont saisi plusieurs tonnes de drogues dans le cadre des opérations de lutte contre le narcotrafic.

Le trafic de stupéfiants en provenance du sous-continent indien irrigue les grands bassins de consommation tels que l’Europe et constitue une menace sérieuse de déstabilisation pour les pays riverains de l’Océan Indien. Il est établi que la majorité du flux se dilue par la voie maritime.

La lutte contre ce trafic mobilise l’ensemble des services de l’État et plus particulièrement les Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), qui contribuent à cet effort, en mer. Les bâtiments hauturiers de la Marine aux FAZSOI sont les seuls à être stationnés de façon permanente dans l’océan Indien. Ceux-ci ont développé une forte expertise en matière de contrôle des navires suspects.

Dans la zone maritime dans laquelle le préfet de La Réunion est le délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, les résultats obtenus depuis janvier 2023 illustrent l’engagement de la France à œuvrer pour la stabilisation de la région en luttant contre ces trafics. Au bilan, plus de 3 330 kg d’héroïne et 240 kg de métamphétamine ont été saisis par les unités stationnées à La Réunion. La coordination des différents services de l’État, le professionnalisme des équipages et l’efficacité de tous les acteurs impliqués ont permis ce résultat.

Les Forces armées dans la zone sud de l'océan Indien (FAZSOI) remplissent un large panel de missions dans une zone de responsabilité permanente aux élongations importantes. Depuis Mayotte et La Réunion, plus de 1 700 militaires garantissent la protection de la population, protègent les zones économiques exclusives, luttent contre la piraterie ainsi que les trafics illicites. Les FAZSOI appuient fréquemment les missions de l'action de l'Etat en mer et mettent en œuvre les partenariats militaires de la France avec des pays d'Afrique australe et du sud de l'Océan indien.

Source : Etat-major des armées


Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

publié le Vendredi 09 juin 2023

 Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

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Entre mars et mai 2023, les unités navales basées à la Réunion opérant dans la zone sud de l’océan Indien ont saisi plusieurs tonnes de drogues dans le cadre des opérations de lutte contre le narcotrafic.

Le trafic de stupéfiants en provenance du sous-continent indien irrigue les grands bassins de consommation tels que l’Europe et constitue une menace sérieuse de déstabilisation pour les pays riverains de l’Océan Indien. Il est établi que la majorité du flux se dilue par la voie maritime.

La lutte contre ce trafic mobilise l’ensemble des services de l’État et plus particulièrement les Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), qui contribuent à cet effort, en mer. Les bâtiments hauturiers de la Marine aux FAZSOI sont les seuls à être stationnés de façon permanente dans l’océan Indien. Ceux-ci ont développé une forte expertise en matière de contrôle des navires suspects.

Dans la zone maritime dans laquelle le préfet de La Réunion est le délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, les résultats obtenus depuis janvier 2023 illustrent l’engagement de la France à œuvrer pour la stabilisation de la région en luttant contre ces trafics. Au bilan, plus de 3 330 kg d’héroïne et 240 kg de métamphétamine ont été saisis par les unités stationnées à La Réunion. La coordination des différents services de l’État, le professionnalisme des équipages et l’efficacité de tous les acteurs impliqués ont permis ce résultat.

Les Forces armées dans la zone sud de l'océan Indien (FAZSOI) remplissent un large panel de missions dans une zone de responsabilité permanente aux élongations importantes. Depuis Mayotte et La Réunion, plus de 1 700 militaires garantissent la protection de la population, protègent les zones économiques exclusives, luttent contre la piraterie ainsi que les trafics illicites. Les FAZSOI appuient fréquemment les missions de l'action de l'Etat en mer et mettent en œuvre les partenariats militaires de la France avec des pays d'Afrique australe et du sud de l'Océan indien.

Source : Etat-major des armées


Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

publié le Vendredi 09 juin 2023

 Océan Indien - Lutte contre le trafic de stupéfiants

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Entre mars et mai 2023, les unités navales basées à la Réunion opérant dans la zone sud de l’océan Indien ont saisi plusieurs tonnes de drogues dans le cadre des opérations de lutte contre le narcotrafic.

Le trafic de stupéfiants en provenance du sous-continent indien irrigue les grands bassins de consommation tels que l’Europe et constitue une menace sérieuse de déstabilisation pour les pays riverains de l’Océan Indien. Il est établi que la majorité du flux se dilue par la voie maritime.

La lutte contre ce trafic mobilise l’ensemble des services de l’État et plus particulièrement les Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), qui contribuent à cet effort, en mer. Les bâtiments hauturiers de la Marine aux FAZSOI sont les seuls à être stationnés de façon permanente dans l’océan Indien. Ceux-ci ont développé une forte expertise en matière de contrôle des navires suspects.

Dans la zone maritime dans laquelle le préfet de La Réunion est le délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, les résultats obtenus depuis janvier 2023 illustrent l’engagement de la France à œuvrer pour la stabilisation de la région en luttant contre ces trafics. Au bilan, plus de 3 330 kg d’héroïne et 240 kg de métamphétamine ont été saisis par les unités stationnées à La Réunion. La coordination des différents services de l’État, le professionnalisme des équipages et l’efficacité de tous les acteurs impliqués ont permis ce résultat.

Les Forces armées dans la zone sud de l'océan Indien (FAZSOI) remplissent un large panel de missions dans une zone de responsabilité permanente aux élongations importantes. Depuis Mayotte et La Réunion, plus de 1 700 militaires garantissent la protection de la population, protègent les zones économiques exclusives, luttent contre la piraterie ainsi que les trafics illicites. Les FAZSOI appuient fréquemment les missions de l'action de l'Etat en mer et mettent en œuvre les partenariats militaires de la France avec des pays d'Afrique australe et du sud de l'Océan indien.

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

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© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

Source : Etat-major des armées


FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais

publié le Vendredi 26 mai 2023

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© EMA

Les 10 et 11 mai, les Forces armées en Guyane (FAG) et la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM) ont mené une opération coordonnée de lutte contre la pêche illicite dans l’Ouest guyanais. Cette opération a mobilisé la vedette côtière de surveillance maritime Charente et l’embarcation relève-filets Caouanne, ainsi qu’un hélicoptère Fennec des FAG, et l’Unité littorale des Affaires maritimes.

L’opération a permis de procéder au contrôle de neuf navires de pêches illégaux et a abouti à la saisie de 13 t de poissons, 110 kg de vessies natatoires, et 40 kilomètres de filets. Ce type d’opération inter-administrations, baptisé REMORA, sera reconduit à échéance régulière, dans le but de faire reculer la pêche illégale dans l’Ouest.

Cette nouvelle stratégie vise à concentrer l’ensemble des moyens de l’État dans une zone précise et à une période donnée. Elle complète l’effort des unités de contrôle dans l’Est, notamment dans le cadre des opérations MOKARRAN et MAKO. Ces dernières ont prouvé leur efficacité en repoussant la pression des navires de pêche illégale brésiliens vers la frontière. Avec la mise en œuvre de ce type d’opération, les FAG contribuent activement à la sécurité maritime dans la zone.

Les Forces armées en Guyane (FAG) garantissent la souveraineté de la France sur ce territoire ultramarin. Plus de 2 100 militaires sont engagés quotidiennement pour contribuer à la stabilité de la zone de responsabilité permanente dans les Caraïbes. Ils sont engagés dans la lutte contre l’orpaillage illégal (opération HARPIE), la sécurisation du centre spatial guyanais (opération TITAN) et dans la protection de la zone économique exclusive française au large de la Guyane (opération interministérielle POLPÊCHE). Point d’appui essentiel en Amérique latine, les FAG accueillent régulièrement des partenaires régionaux au sein du centre d’entrainement en forêt équatoriale. Ces différentes activités participent à la défense des intérêts stratégiques de la France dans la région.

 FAG – Bilan de l’opération REMORA de lutte contre la pêche illicite dans l’ouest guyanais
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Source : Etat-major des armées

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