Admission au service actif du SNA Suffren

publié le Vendredi 10 juin 2022

 Admission au service actif du SNA Suffren

Admission au service actif du SNA Suffren

© Marine nationale

M Sébastien Lecornu, ministre des armées, s’est rendu à bord du SNA Suffren en escale à Brest le 3 juin à l’occasion de son admission au service actif.

Débutées à la réception de bâtiment le 6 novembre 2020 et entrecoupées de deux périodes d’entretien, ces phases, appelées vérifications des caractéristiques militaires (VCM) visaient à acquérir avec certitudes la maitrise des différents domaines de lutte.

Il s’agissait donc de tester le fonctionnement des d’armes mais aussi d’expérimenter et de s’approprier pleinement l’emploi comme la maitrise des systèmes d’armes du bâtiment dans  tous les types de zones maritimes. 

Les équipages ont réalisé le programme d’essais à la mer du bâtiment en apportant leurs expertises pour évaluer ses capacités opérationnelles. Ils développé de nouvelles tactiques, appréhendé de nouveaux usages et éprouvé le bâtiment dans des conditions d’emploi différentes. 

L’acquisition des domaines de lutte s’est faite à travers un processus progressif de maîtrise lors de scénarii de plus en plus complexes, dont le point culminant fut la participation à l’exercice Polaris où le sous-marin fut opposé à toute une force navale comportant plusieurs frégates modernes.

Le SNA Suffren reprendra les mêmes missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre avec le MdCN et la capacité de mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et par son hangar de pont.

Le SNA Duguay-Trouin sera prochainement mis à l’eau, le Suffren est le premier d’une série de six SNA qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030.

Source : Marine nationale


Admission au service actif du SNA Suffren

publié le Vendredi 10 juin 2022

 Admission au service actif du SNA Suffren

Admission au service actif du SNA Suffren

© Marine nationale

M Sébastien Lecornu, ministre des armées, s’est rendu à bord du SNA Suffren en escale à Brest le 3 juin à l’occasion de son admission au service actif.

Débutées à la réception de bâtiment le 6 novembre 2020 et entrecoupées de deux périodes d’entretien, ces phases, appelées vérifications des caractéristiques militaires (VCM) visaient à acquérir avec certitudes la maitrise des différents domaines de lutte.

Il s’agissait donc de tester le fonctionnement des d’armes mais aussi d’expérimenter et de s’approprier pleinement l’emploi comme la maitrise des systèmes d’armes du bâtiment dans  tous les types de zones maritimes. 

Les équipages ont réalisé le programme d’essais à la mer du bâtiment en apportant leurs expertises pour évaluer ses capacités opérationnelles. Ils développé de nouvelles tactiques, appréhendé de nouveaux usages et éprouvé le bâtiment dans des conditions d’emploi différentes. 

L’acquisition des domaines de lutte s’est faite à travers un processus progressif de maîtrise lors de scénarii de plus en plus complexes, dont le point culminant fut la participation à l’exercice Polaris où le sous-marin fut opposé à toute une force navale comportant plusieurs frégates modernes.

Le SNA Suffren reprendra les mêmes missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre avec le MdCN et la capacité de mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et par son hangar de pont.

Le SNA Duguay-Trouin sera prochainement mis à l’eau, le Suffren est le premier d’une série de six SNA qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030.

Source : Marine nationale


Admission au service actif du SNA Suffren

publié le Vendredi 10 juin 2022

 Admission au service actif du SNA Suffren

Admission au service actif du SNA Suffren

© Marine nationale

M Sébastien Lecornu, ministre des armées, s’est rendu à bord du SNA Suffren en escale à Brest le 3 juin à l’occasion de son admission au service actif.

Débutées à la réception de bâtiment le 6 novembre 2020 et entrecoupées de deux périodes d’entretien, ces phases, appelées vérifications des caractéristiques militaires (VCM) visaient à acquérir avec certitudes la maitrise des différents domaines de lutte.

Il s’agissait donc de tester le fonctionnement des d’armes mais aussi d’expérimenter et de s’approprier pleinement l’emploi comme la maitrise des systèmes d’armes du bâtiment dans  tous les types de zones maritimes. 

Les équipages ont réalisé le programme d’essais à la mer du bâtiment en apportant leurs expertises pour évaluer ses capacités opérationnelles. Ils développé de nouvelles tactiques, appréhendé de nouveaux usages et éprouvé le bâtiment dans des conditions d’emploi différentes. 

L’acquisition des domaines de lutte s’est faite à travers un processus progressif de maîtrise lors de scénarii de plus en plus complexes, dont le point culminant fut la participation à l’exercice Polaris où le sous-marin fut opposé à toute une force navale comportant plusieurs frégates modernes.

Le SNA Suffren reprendra les mêmes missions que les SNA de type Rubis, avec des capacités bien supérieures. Il dispose en particulier d’une capacité de frappe contre terre avec le MdCN et la capacité de mettre en œuvre des forces spéciales par un sas nageurs et par son hangar de pont.

Le SNA Duguay-Trouin sera prochainement mis à l’eau, le Suffren est le premier d’une série de six SNA qui remplaceront les SNA Rubis à l’horizon 2030.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

marine 2030

© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

marine 2030

© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


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marine 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


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La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale


PLAN MERCATOR - PROJECTION VERS 2030

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© Marine nationale

La loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui s’appuie sur l’évolution du contexte géopolitique décrit dans la revue stratégique, vient d’être votée par la représentation nationale. Elle définit les moyens nécessaires pour répondre aux enjeux actuels et futurs. Le renouvellement de la flotte est assuré et les lacunes capacitaires seront progressivement comblées. 

Afin de fixer le cap à tous les marins, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, a dévoilé son plan stratégique pour 2030 : le plan Mercator, du nom du célèbre cartographe flamand du XVIe siècle. Ce plan se décline en quatre « amers » : une marine d’emploi qui navigue sur toutes les mers du monde, une marine de combat qui s’appuie sur un entraînement poussé, une marine en pointe qui innove pour conserver l’ascendant sur l’adversaire et, enfin, une marine qui compte sur chacun. Pour cela, il faut des marins épanouis tant dans leur métier qu’auprès de leurs familles.

Source : Marine nationale

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