Parti de son port base de Papeete depuis le 22 mai dans le cadre de sa mission PACIFIC AÏTO, le Bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) Bougainville a été déployé dans les eaux internationales qui bordent le Nord et l’Est de la Zone économique exclusive (ZEE) de Polynésie française.

Après 19 jours de patrouille de police des pêches, le Bougainville a interrogé près d’une quinzaine de palangriers et projeté à bord de 5 d’entre eux son équipe de visite afin de procéder à une inspection détaillée. Au cours de ces actions de police des pêches, le Bougainville a fait appliquer les mesures édictées par la Western and Central Pacific Fishery Commission (WCPFC), une organisation régionale de gestion des pêches qui régule la pêche des poissons pélagiques dans l’ouest de l’Océan Pacifique.

Chaque infraction constatée est relevée et consignée dans un procès-verbal d’inspection : contrôle de la validité des licences de pêche à la vérification des espèces pêchées dans les cales et du contrôle de conformité du système d’émission Vessel Monitoring System (VMS), etc. Le procès-verbal d’inspection est ensuite envoyé à la WCPFC qui s’occupe des suites à donner.

Le Bougainville poursuit désormais sa mission dans les eaux polynésiennes afin d’affirmer l’engagement des armées dans la protection et la surveillance des approches maritimes françaises et la lutte contre les activités illicites dans sa ZEE.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud.

Parti de son port base de Papeete depuis le 22 mai dans le cadre de sa mission PACIFIC AÏTO, le Bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) Bougainville a été déployé dans les eaux internationales qui bordent le Nord et l’Est de la Zone économique exclusive (ZEE) de Polynésie française.

Après 19 jours de patrouille de police des pêches, le Bougainville a interrogé près d’une quinzaine de palangriers et projeté à bord de 5 d’entre eux son équipe de visite afin de procéder à une inspection détaillée. Au cours de ces actions de police des pêches, le Bougainville a fait appliquer les mesures édictées par la Western and Central Pacific Fishery Commission (WCPFC), une organisation régionale de gestion des pêches qui régule la pêche des poissons pélagiques dans l’ouest de l’Océan Pacifique.

Chaque infraction constatée est relevée et consignée dans un procès-verbal d’inspection : contrôle de la validité des licences de pêche à la vérification des espèces pêchées dans les cales et du contrôle de conformité du système d’émission Vessel Monitoring System (VMS), etc. Le procès-verbal d’inspection est ensuite envoyé à la WCPFC qui s’occupe des suites à donner.

Le Bougainville poursuit désormais sa mission dans les eaux polynésiennes afin d’affirmer l’engagement des armées dans la protection et la surveillance des approches maritimes françaises et la lutte contre les activités illicites dans sa ZEE.

Les Forces armées en Polynésie française (FAPF) constituent un dispositif interarmées prépositionné à dominante maritime. Les FAPF ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans la zone Asie-Pacifique. Elles confirment son statut de nation souveraine et riveraine, soucieuse de la stabilité régionale. Environ 900 militaires sont engagés dans des missions de sauvegarde des espaces maritimes, de police des pêches et de lutte contre les trafics illicites. Ils sont également en mesure de de répondre, sous court préavis, à des crises sécuritaires ou environnementales. Les FAPF disposent d'un savoir-faire spécifique en matière d’assistance aux populations, l’Humanitarian Assistance and Disaster Relief (HADR), qu'elles partagent régulièrement avec les pays du Pacifique Sud.

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

En mission dans le Pacifique Ouest dans le cadre de son déploiement de longue durée, la Frégate multi-missions à capacité de défense aériennerenforcée (FREMM-DA) Lorraine a intégré le Carrier Strike Group américain n°5 (CSG-5) articulé autour du porte-avions USS Ronald Reagan. La Lorraine a ainsi opéré conjointement avec les unités alliées et partenaires du CSG-5 durant 14 jours en mer des Philippines.

La Lorraine a participé en mer des Philippines à des manœuvres de « Tri Carrier Operations » rassemblant trois porte-avions et porte-aéronefs. Pendant les trois premiers jours, la Lorraine a été engagée dans ce Multiple Big Deck Exercise (MBDE) articulé autour des porte-avions américains Ronald Reagan et Nimitz et du porte-aéronefs japonais Izumo en mer des Philippines.

Cet exercice a rassemblé près de dix escorteurs de quatre nations riveraines du Pacifique (États-Unis, Japon, Canada, France) , illustrant notre attachement au droit international et à la liberté de navigation.

Le 13 juin, la Lorraine a accueilli le Rear Admiral Donnelly, commandant la Task force 70 (CTF70) et embarqué avec son état-major à bord de l’USS Ronald Reagan. Alors que la FREMM-DA achevait sa première semaine d’intégration au CSG-5, l’objectif était de présenter au CTF70 l’étendue des capacités des FREMM-DA en matière de défense aérienne.

Dotée de capacités renforcées en défense aérienne, la FREMM-DA Lorraine a ainsi contribué à la défense aérienne du porte-avions américain USS Ronald Reagan en participant au contrôle de chasse depuis le centre opérations de la Lorraine des avions engagés dans des missions de Combat Air Patrol (CAP).

Le bilan de ces 14 jours d’opérations avec le Reagan est très positif puisque le système de combat a été éprouvé dans un environnement tactique chargé et complexe. Ces résultats contribueront au processus d’Admission au service actif (ASA) du bâtiment mais aussi à la préparation de futurs déploiements de bâtiments de premiers rang dans la région, avec nos partenaires et avec nos alliés.

Dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont franchi le canal de Panama le 15 juin pour passer de l’Océan Pacifique à la mer des Caraïbes.

Une première pour un PHA et un défi pour l’équipe en passerelle qui a mené le bâtiment, sous l’autorité du pilote du canal, sur les 46 nautiques de navigation durant 13 heures. D’autant plus que le Dixmude, bâtiment de 22 000 tonnes et de 32 mètres de large, est passé dans une suite d’écluses de seulement 33.5 mètres de large.

L’appui des locomotives, nommées les mules, sur chaque côté de l’écluse permet d’accompagner et de sécuriser le passage des bateaux dans le canal. Le Dixmude et le La Fayette se sont suivis pour traverser l’écluse de Miraflores puis celle de Pedro Miguel, la tranchée Gaillard, le lac intérieur Gatún et enfin l’écluse d’Agua Clara. Le niveau du lac étant supérieur d’une trentaine de mètres par rapport au niveau de l’Océan, les écluses servent à élever puis abaisser les bâtiments pour permettre leur passage à chaque nouveau plan d’eau.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, la flottille amphibie du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.

Dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont franchi le canal de Panama le 15 juin pour passer de l’Océan Pacifique à la mer des Caraïbes.

Une première pour un PHA et un défi pour l’équipe en passerelle qui a mené le bâtiment, sous l’autorité du pilote du canal, sur les 46 nautiques de navigation durant 13 heures. D’autant plus que le Dixmude, bâtiment de 22 000 tonnes et de 32 mètres de large, est passé dans une suite d’écluses de seulement 33.5 mètres de large.

L’appui des locomotives, nommées les mules, sur chaque côté de l’écluse permet d’accompagner et de sécuriser le passage des bateaux dans le canal. Le Dixmude et le La Fayette se sont suivis pour traverser l’écluse de Miraflores puis celle de Pedro Miguel, la tranchée Gaillard, le lac intérieur Gatún et enfin l’écluse d’Agua Clara. Le niveau du lac étant supérieur d’une trentaine de mètres par rapport au niveau de l’Océan, les écluses servent à élever puis abaisser les bâtiments pour permettre leur passage à chaque nouveau plan d’eau.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, la flottille amphibie du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.

Dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont franchi le canal de Panama le 15 juin pour passer de l’Océan Pacifique à la mer des Caraïbes.

Une première pour un PHA et un défi pour l’équipe en passerelle qui a mené le bâtiment, sous l’autorité du pilote du canal, sur les 46 nautiques de navigation durant 13 heures. D’autant plus que le Dixmude, bâtiment de 22 000 tonnes et de 32 mètres de large, est passé dans une suite d’écluses de seulement 33.5 mètres de large.

L’appui des locomotives, nommées les mules, sur chaque côté de l’écluse permet d’accompagner et de sécuriser le passage des bateaux dans le canal. Le Dixmude et le La Fayette se sont suivis pour traverser l’écluse de Miraflores puis celle de Pedro Miguel, la tranchée Gaillard, le lac intérieur Gatún et enfin l’écluse d’Agua Clara. Le niveau du lac étant supérieur d’une trentaine de mètres par rapport au niveau de l’Océan, les écluses servent à élever puis abaisser les bâtiments pour permettre leur passage à chaque nouveau plan d’eau.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, la flottille amphibie du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.

Dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude et la frégate La Fayette ont franchi le canal de Panama le 15 juin pour passer de l’Océan Pacifique à la mer des Caraïbes.

Une première pour un PHA et un défi pour l’équipe en passerelle qui a mené le bâtiment, sous l’autorité du pilote du canal, sur les 46 nautiques de navigation durant 13 heures. D’autant plus que le Dixmude, bâtiment de 22 000 tonnes et de 32 mètres de large, est passé dans une suite d’écluses de seulement 33.5 mètres de large.

L’appui des locomotives, nommées les mules, sur chaque côté de l’écluse permet d’accompagner et de sécuriser le passage des bateaux dans le canal. Le Dixmude et le La Fayette se sont suivis pour traverser l’écluse de Miraflores puis celle de Pedro Miguel, la tranchée Gaillard, le lac intérieur Gatún et enfin l’écluse d’Agua Clara. Le niveau du lac étant supérieur d’une trentaine de mètres par rapport au niveau de l’Océan, les écluses servent à élever puis abaisser les bâtiments pour permettre leur passage à chaque nouveau plan d’eau.

La mission Jeanne d’Arc 2023 est un déploiement opérationnel de longue durée autour du monde, grâce auquel la France assure sa présence dans plusieurs zones d’intérêt stratégique majeur, tout en offrant un cadre de formation concret, réaliste et de qualité aux officiers-élèves embarqués. Pour mener ses missions à bien, le groupe école est constitué du porte-hélicoptères amphibie Dixmude, de la frégate La Fayette, et embarque des détachements de la Flottille 35F, la flottille amphibie du 3e RHC, du 1er RS, de la 13e DBLE, du 1er REG et du 3e RAMa.