Prométhée : 415 jours de déploiement

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Prométhée : 415 jours de déploiement

Détail d'impacts (obturés) sur la coque du pétrolier espagnol Munguia attaqué à l'arme légère et à la roquette anti-char par les vedettes des Pasdaran iraniens. En 1987, 162 navires de commerce ont été attqués dans la zone par les deux adversaires à l'origine du conflit - © P. Lecomte / ECPAD / Défense
Détail d'impacts (obturés) sur la coque du pétrolier espagnol Munguia attaqué à l'arme légère et à la roquette anti-char par les vedettes des Pasdaran iraniens. En 1987, 162 navires de commerce ont été attqués dans la zone par les deux adversaires à l'origine du conflit - © P. Lecomte / ECPAD / Défense
Le porte*avions Clémenceau assure la protection aérienne de la force. Il est également, par sa simple présence, un atout de poids dans le cadre des négociations diplomatiques entre les pays de la zone et la France. A l'image : Catapultage d'un Crusader, intercepteur qui équipait la Marine avant la mise en service du Rafale Marine
Le porte*avions Clémenceau assure la protection aérienne de la force. Il est également, par sa simple présence, un atout de poids dans le cadre des négociations diplomatiques entre les pays de la zone et la France. A l'image : Catapultage d'un Crusader, intercepteur qui équipait la Marine avant la mise en service du Rafale Marine
Août 1987. Les avions du "Clem" s'apprêtent à effectuer des reconnaissances photographiques au-dessus de l'Iran. Le but : ramener des images des rampes de missiles installées sur la côte, face au détroit d'Ormuz. Afin d'améliorer la disrétion visuelle des aéronefs, il a été nécessaire de rajouter une couche de peinture grise avant leur départ en mission - © P. Lecomte / ECPAD / Défense
Août 1987. Les avions du "Clem" s'apprêtent à effectuer des reconnaissances photographiques au-dessus de l'Iran. Le but : ramener des images des rampes de missiles installées sur la côte, face au détroit d'Ormuz. Afin d'améliorer la disrétion visuelle des aéronefs, il a été nécessaire de rajouter une couche de peinture grise avant leur départ en mission - © P. Lecomte / ECPAD / Défense
Les spécialistes de la maintenance de l’armement aéronautique installent les leurres sur les Super Etendard. Les « Boum » sont reconnaissables sur le pont d’envol à leur maillot rouge orné d’une barre noire verticale. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Les spécialistes de la maintenance de l’armement aéronautique installent les leurres sur les Super Etendard. Les « Boum » sont reconnaissables sur le pont d’envol à leur maillot rouge orné d’une barre noire verticale. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Pendant Prométhée, les hommes et les matériels ont soufferts. Sur les ponts, les températures dépassent les 40° C à l’ombre et descendent rarement en-dessous de 45° en machine. Les taux d’humidité de l’air dans la zone sont supérieurs à 80 %. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Pendant Prométhée, les hommes et les matériels ont soufferts. Sur les ponts, les températures dépassent les 40° C à l’ombre et descendent rarement en-dessous de 45° en machine. Les taux d’humidité de l’air dans la zone sont supérieurs à 80 %. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Premier plan : une frégate russe de type « Sovremennyy ». Second plan : un chasseur de mines russe de type « Natia » à couple d’un bâtiment base de sous-marin de type « Ugra ». Plus loin, le trafic maritime du détroit d’Ormuz. La concentration de forces de toutes nationalités dans un espace de manœuvre étroit, combinée à la menace d’embarcations rapides attaquant en groupe et de nuit avec des armes ayant 3 000 mètres de portée pose des problèmes d’identification et donc de riposte. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Premier plan : une frégate russe de type « Sovremennyy ». Second plan : un chasseur de mines russe de type « Natia » à couple d’un bâtiment base de sous-marin de type « Ugra ». Plus loin, le trafic maritime du détroit d’Ormuz. La concentration de forces de toutes nationalités dans un espace de manœuvre étroit, combinée à la menace d’embarcations rapides attaquant en groupe et de nuit avec des armes ayant 3 000 mètres de portée pose des problèmes d’identification et donc de riposte. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
20 décembre 1987. Hangar aviation du Clemenceau. Le ministre de la Défense, M. André Giraud, accompagné du président de la commission de la Défense à l’Assemblée nationale, M. François Fillon, visite la Task Force 623. La dimension diplomatique du déploiement est réaffirmée. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
20 décembre 1987. Hangar aviation du Clemenceau. Le ministre de la Défense, M. André Giraud, accompagné du président de la commission de la Défense à l’Assemblée nationale, M. François Fillon, visite la Task Force 623. La dimension diplomatique du déploiement est réaffirmée. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
M. André Giraud accompagné par le vice-amiral Lanxade, commandant la zone maritime et les forces maritimes de l’océan Indien (Alindien) au central opérations du chasseur de mines Orion. Sécuriser les lignes maritimes commerciales en déminant la zone est l’une des priorités du gouvernement. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
M. André Giraud accompagné par le vice-amiral Lanxade, commandant la zone maritime et les forces maritimes de l’océan Indien (Alindien) au central opérations du chasseur de mines Orion. Sécuriser les lignes maritimes commerciales en déminant la zone est l’une des priorités du gouvernement. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Identifier les mines pour mieux les détruire est indispensable. Les équipages en dressent des schémas. Les mines à orin utilisées par les belligérants se désolidarisent parfois des crapauds qui les maintiennent sur place et dérivent en surface au gré des courants. Pour les bâtiments qui empruntent ces eaux, les repérer est vital. La navigation de nuit est périlleuse. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Identifier les mines pour mieux les détruire est indispensable. Les équipages en dressent des schémas. Les mines à orin utilisées par les belligérants se désolidarisent parfois des crapauds qui les maintiennent sur place et dérivent en surface au gré des courants. Pour les bâtiments qui empruntent ces eaux, les repérer est vital. La navigation de nuit est périlleuse. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
L’aviso-escorteur (AE) Protêt est l’un des quatre bâtiments (Commandant Bory, Victor Schœlcher et Doudard de Lagrée) qui participent, au sein du TG 623.1, à la mission de protection de la navigation commerciale française. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
L’aviso-escorteur (AE) Protêt est l’un des quatre bâtiments (Commandant Bory, Victor Schœlcher et Doudard de Lagrée) qui participent, au sein du TG 623.1, à la mission de protection de la navigation commerciale française. ©P. LECOMTE/ECPAD/Défense
Au moment où il quitte le commandement du Clemenceau, le capitaine de vaisseau Lefebvre décore les appelés du contingent de la médaille de la Défense nationale. A la fin des années 1980, tant sur le Foch que sur le Clemenceau, de nombreux marins de l’équipage sont des appelés du contingent. Par exemple, les conducteurs et le personnel de pont d’envol (CONEV et PONEV) le sont tous à l’époque. ©Philippe LECOMTE/ECPAD/Défense
Au moment où il quitte le commandement du Clemenceau, le capitaine de vaisseau Lefebvre décore les appelés du contingent de la médaille de la Défense nationale. A la fin des années 1980, tant sur le Foch que sur le Clemenceau, de nombreux marins de l’équipage sont des appelés du contingent. Par exemple, les conducteurs et le personnel de pont d’envol (CONEV et PONEV) le sont tous à l’époque. ©Philippe LECOMTE/ECPAD/Défense