POLARIS 21 - Le fruit d’une nouvelle ambition

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POLARIS 21 - Le fruit d’une nouvelle ambition

Poste de combat pour franchissement d’un détroit à bord de la frégate multi-missions à capacité de défense aérienne renforcée (FREMM-DA) Alsace. Entraînement réalisé dans les tout premiers jours de Polaris 21, consacrés à la montée en puissance et à l’intégration dans la force, à l’instar d’un transit vers la zone d’opérations. Admise au service actif le 22 novembre, l’Alsace est pleinement intégrée au sein du groupe aéronaval. Elle participe à la protection du porte-avions Charles de Gaulle.
Poste de combat pour franchissement d’un détroit à bord de la frégate multi-missions à capacité de défense aérienne renforcée (FREMM-DA) Alsace. Entraînement réalisé dans les tout premiers jours de Polaris 21, consacrés à la montée en puissance et à l’intégration dans la force, à l’instar d’un transit vers la zone d’opérations. Admise au service actif le 22 novembre, l’Alsace est pleinement intégrée au sein du groupe aéronaval. Elle participe à la protection du porte-avions Charles de Gaulle.
Le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren, l’un des moyens les plus modernes de la Marine, déployé dans cet exercice de haute intensité. Pendant Polaris 21, l’équipage du Suffren s’entraîne sur tout le spectre de ses capacités : localisation et engagement de bâtiments de combat ennemis, mise en œuvre répétée de forces spéciales, tirs de missiles de croisière contre des cibles à terre.
Le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Suffren, l’un des moyens les plus modernes de la Marine, déployé dans cet exercice de haute intensité. Pendant Polaris 21, l’équipage du Suffren s’entraîne sur tout le spectre de ses capacités : localisation et engagement de bâtiments de combat ennemis, mise en œuvre répétée de forces spéciales, tirs de missiles de croisière contre des cibles à terre.
A bord du porte-avions Charles de Gaulle, la détermination se lit sur les visages des marins, lors d’une séquence complexe de tirs coordonnés de missiles de croisière sur des cibles stratégiques. Près de cinquante tirs sont ainsi précisément planifiés et déclenchés depuis plusieurs navires français et américains, en Méditerranée et en Atlantique, depuis le SNA Suffren en immersion et depuis les Rafale Marine du groupe aérien embarqué.
A bord du porte-avions Charles de Gaulle, la détermination se lit sur les visages des marins, lors d’une séquence complexe de tirs coordonnés de missiles de croisière sur des cibles stratégiques. Près de cinquante tirs sont ainsi précisément planifiés et déclenchés depuis plusieurs navires français et américains, en Méditerranée et en Atlantique, depuis le SNA Suffren en immersion et depuis les Rafale Marine du groupe aérien embarqué.
Polaris 21 se joue sur deux théâtres, en Atlantique, la frégate multi-missions (FREMM) Aquitaine prend part aux frappes stratégiques dans la profondeur, coordonnées par l’état-major du groupe aéronaval. L’équipage A de l’Aquitaine conduit également un tir de torpilles anti-sous-marines, avant de se confronter à la force adverse qui s’appuie sur la frégate anti-sous-marine (FASM) Latouche-Tréville.
Polaris 21 se joue sur deux théâtres, en Atlantique, la frégate multi-missions (FREMM) Aquitaine prend part aux frappes stratégiques dans la profondeur, coordonnées par l’état-major du groupe aéronaval. L’équipage A de l’Aquitaine conduit également un tir de torpilles anti-sous-marines, avant de se confronter à la force adverse qui s’appuie sur la frégate anti-sous-marine (FASM) Latouche-Tréville.
Premier tir Aster de la FREMM-DA Alsace avant son admission au service actif. Lancé à plus de Mach 4, l’Aster 30 – guidé dans un premier temps par l’Alsace – intercepte sa cible quelques dizaines de secondes plus tard. Cette réussite, en plein Polaris 21, valide les efforts de l’équipage et conforte la crédibilité de l’Alsace pour opérer au sein de la Task Force 473, constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle.
Premier tir Aster de la FREMM-DA Alsace avant son admission au service actif. Lancé à plus de Mach 4, l’Aster 30 – guidé dans un premier temps par l’Alsace – intercepte sa cible quelques dizaines de secondes plus tard. Cette réussite, en plein Polaris 21, valide les efforts de l’équipage et conforte la crédibilité de l’Alsace pour opérer au sein de la Task Force 473, constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle.
Depuis le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Tonnerre, le groupement tactique embarqué de la 13e division blindée de la Légion étrangère est au cœur d’une manœuvre amphibie « coup de poing » de la force rouge, la Task Force 472. Après un raid nautique de nuit de 5 heures, les marins déploient leurs camarades légionnaires qui manœuvrent à terre pour neutraliser un système de défense antiaérien utile à la force bleue, qui protégeait le littoral et un détroit.
Depuis le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Tonnerre, le groupement tactique embarqué de la 13e division blindée de la Légion étrangère est au cœur d’une manœuvre amphibie « coup de poing » de la force rouge, la Task Force 472. Après un raid nautique de nuit de 5 heures, les marins déploient leurs camarades légionnaires qui manœuvrent à terre pour neutraliser un système de défense antiaérien utile à la force bleue, qui protégeait le littoral et un détroit.
Pendant Polaris 21, les aviateurs français déploient une douzaine d’aéronefs ainsi qu’une batterie de systèmes sol-air à moyenne portée Mamba et un radar Girafe. Leur objectif : protéger le littoral conquis par la force rouge et interdire l’accès à la région aux moyens de la force bleue. La densité des moyens déployés par les armées françaises participe directement au réalisme du scénario de l’exercice et ainsi à la crédibilité de nos forces.
Pendant Polaris 21, les aviateurs français déploient une douzaine d’aéronefs ainsi qu’une batterie de systèmes sol-air à moyenne portée Mamba et un radar Girafe. Leur objectif : protéger le littoral conquis par la force rouge et interdire l’accès à la région aux moyens de la force bleue. La densité des moyens déployés par les armées françaises participe directement au réalisme du scénario de l’exercice et ainsi à la crédibilité de nos forces.
Pour le groupe aérien embarqué, Polaris 21 est l’occasion de conduire de nombreux vols opérationnels depuis le porte-avions Charles de Gaulle : reconnaissance de sites, frappes antinavires ou contre des cibles stratégiques dans la profondeur, départs sur alerte pour protéger la force navale, mais aussi possibilité de réaliser des tirs réels.
Pour le groupe aérien embarqué, Polaris 21 est l’occasion de conduire de nombreux vols opérationnels depuis le porte-avions Charles de Gaulle : reconnaissance de sites, frappes antinavires ou contre des cibles stratégiques dans la profondeur, départs sur alerte pour protéger la force navale, mais aussi possibilité de réaliser des tirs réels.
Polaris 21 mobilise l’ensemble des domaines de lutte du combat aéromaritime, dans des actions de forces symétriques mais aussi asymétriques. À l’occasion d’un passage de détroit, l’équipage de la frégate italienne Carlo Bergamini fait face à une embarcation simulant une attaque terroriste. Dans le même temps, une équipe de plongeurs démineurs intervient sur un zodiac piégé pendant que le reste de la force veille tous azimuts.
Polaris 21 mobilise l’ensemble des domaines de lutte du combat aéromaritime, dans des actions de forces symétriques mais aussi asymétriques. À l’occasion d’un passage de détroit, l’équipage de la frégate italienne Carlo Bergamini fait face à une embarcation simulant une attaque terroriste. Dans le même temps, une équipe de plongeurs démineurs intervient sur un zodiac piégé pendant que le reste de la force veille tous azimuts.
Sur le pont d’envol du porte-avions Charles de Gaulle, un fusilier marin se tient prêt à neutraliser une menace drone. Polaris 21 restitue les conditions du combat de haute intensité avec réalisme, exigeant des équipages une capacité à détecter et à contrer des menaces de toutes natures.
Sur le pont d’envol du porte-avions Charles de Gaulle, un fusilier marin se tient prêt à neutraliser une menace drone. Polaris 21 restitue les conditions du combat de haute intensité avec réalisme, exigeant des équipages une capacité à détecter et à contrer des menaces de toutes natures.
Pour la première fois, la Marine conduit un exercice qui reproduit la diversité des milieux et des champs du combat moderne, en adéquation avec la réalité des menaces actuelles. Polaris 21 intègre les champs cyber avec l’exercice E=MC21 du centre de soutien cyber et électromagnétique.
Pour la première fois, la Marine conduit un exercice qui reproduit la diversité des milieux et des champs du combat moderne, en adéquation avec la réalité des menaces actuelles. Polaris 21 intègre les champs cyber avec l’exercice E=MC21 du centre de soutien cyber et électromagnétique.
Florence Parly, ministre des Armées, vient se faire présenter le bilan de l’exercice à bord du porte-avions Charles de Gaulle, en présence de l’amiral Vandier, chef d’état-major de la Marine. Polaris 21, préparation au combat la plus complète jamais conduite par les armées françaises, a éprouvé et aguerri les équipages, dans des conditions de tension, de fatigue et de mauvais temps au plus proche des véritables conditions de combat.
Florence Parly, ministre des Armées, vient se faire présenter le bilan de l’exercice à bord du porte-avions Charles de Gaulle, en présence de l’amiral Vandier, chef d’état-major de la Marine. Polaris 21, préparation au combat la plus complète jamais conduite par les armées françaises, a éprouvé et aguerri les équipages, dans des conditions de tension, de fatigue et de mauvais temps au plus proche des véritables conditions de combat.
Après deux semaines d’opérations aéromaritimes dont pas moins de 6 jours de combat en situation réaliste, Polaris 21 a redéfini les normes de la préparation au combat de haute intensité. Dans un format qui n’attend qu’à être repris en France et par les armées alliées, il marque un changement d’ambition dans la préparation opérationnelle à la complexité de la guerre aéromaritime de demain.
Après deux semaines d’opérations aéromaritimes dont pas moins de 6 jours de combat en situation réaliste, Polaris 21 a redéfini les normes de la préparation au combat de haute intensité. Dans un format qui n’attend qu’à être repris en France et par les armées alliées, il marque un changement d’ambition dans la préparation opérationnelle à la complexité de la guerre aéromaritime de demain.